La sélection BD des meilleurs titres sortis en avril et mai :
Partie 1 :
-Introduction 00:00
-Les 5 terres Demeus Lor par lewelyn et Guinebaud chez Delcourt 01:05
-Fidji par Cano, Goux et Pinchuk chez Delcourt 03:05
-Le combat ordinaire intégrale de Manu Marcenet chez Dargaud 04:42
-Nero tome 3 des Mamucari chez Dupuis 07:04
-Habemus Bastard de Vallée et Schwartzmann chez Dargaud 08:50
-Once upon a time at the end of the world de Aaron et Tefengki chez Urban 10:52
-Snow angels de Lemire et Jock chez Urban 13:00
-Horizons obliques de Richard blake chez Urban 15:01
-Les nouvelles aventures de Bruce J.Hawker l'oeil du Marais de Puerta et Bec chez Le Lombard 17:04
-Petit Pays de Faye Savoia et Sowa chez Aire Libre 18:53
-La cuisine des Ogres de Vehlmann et Andreae chez Rue de Sevres 21:04
-Le Dieu fauve de Vehlmann et Roger chez Dargaud 23:58
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Depuis l’arrivée de ce connard syphilitique de Christophe Colomb, les blancs ont afflué sur nos rivages pour prendre sans demander. A nous, les Lakota, ils ont pris les Balck Hills, notre Paha Sapa (terre, montagne sacrée). Ils ont pris les troupeaux de bisons et la prairie où ils vagabondaient. Ils ont pris la fierté et la dignité d’une grande nation, ne lui donnant que la misère en retour. Après avoir été spoliés, disgraciés, massacrés comme du bétail durant des centaines d’années… Il est grand temps de commencer à leur rendre la faveur. Nous allons te demander réparation Amérique Blanche… Pièce par pièce s’il le faut. Et lorsque nous auront récupéré notre dû, alors tous ces gens que j’ai flingués, poignardés, scalpés, pendus et enterrés en chemin… Tous ces pauvres bougres ne seront pas morts pour rien. Et pour la première fois depuis longtemps…peut-être que mes rêves l’emporteront sur mes regrets.
Quel homme veut connaître l’heure de sa mort ? Surtout quand on ne peut rien y changer.
Plus je m'approche des 40 ans, plus je suis convaincu que l'essentiel de la vie d'un homme n'est qu'une série de moments sans importance.
On mange, on dort, on baise, on bosse, on regarde la télé, on cause, on cause et on cause.
Certains de ces moments peuvent sembler importants sur l'instant, mais au bout du compte, c'est plus du cartilage que de la viande.
Des conneries qu'on fait parce qu'on est vivants et parce qu'il faut bien faire quelque chose pour passer le temps.
Les moments vraiment importants, ils n'arrivent que tous les trente-six du mois.
Des fois, on s'en rend compte au moment où on les vit. D'autres fois, on ne s'en aperçoit que bien après.
Ces brefs petits moments révélateurs peuvent paraître anodins comparés à tout le reste de votre vie.
Mais ce sont eux qui définissent quel genre d'homme vous avez été sur cette terre.
Ce sont ces moments que vous ne voulez pas foirer.
Même dans les nuits de plaisir, il vaut mieux garder son épée avec soi.
[Obi-Wan Kenobi] J'attirais quand même les ennuis. Même au milieu du désert. Mais ces ennuis ne parviendraient jamais jusqu'à Luke. Pas tant que je vivrais. Et s'il y avait une chose pour laquelle j'étais devenu très doué au cours des années, à part attirer les ennuis...c'était ne pas mourir. Demandez à Dark Maul, le comte Dooku ou le général Grievous.
Le Cimmérien avait parcouru le monde et pour lui, la plupart des hommes étaient des imbéciles. Mais malgré son mépris pour la bêtise et sa nature sombre, il était attiré par la compagnie des autres. Conan savait qu’il n’était pas voué à la solitude.
Le Seigneur donne, l'obus de mortier 82 reprend.
La plupart du temps, être un chef consiste à prendre des décisions difficiles. À rester fort en toutes circonstances. Rappeler aux gens qu'il y a des limites à ne pas franchir. Mais, d'autres fois... D'autres fois, ça consiste à faire des compromis. Et parfois, on ne peut même plus faire la fichue différence.
RED CROW : Alors contente-toi de savoir qu’ici… je suis le père, le fils et cet enfoiré de Saint-Esprit réunis.
Les forêts au-delà du Fleuve Noir étaient aussi épaisses qu’un immense mur vert, et impénétrables sauf pour les bêtes sauvages dont c’était le territoire. Mais aux dires des colons aquiloniens qui habitent de l’autre côté du fleuve, aucun de ses animaux n’étaient aussi féroce que certains bipèdes.