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Critiques de Jean-Gaël Deschard (51)
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Les Semi-Déus, tome 1 : La Fabrique des enfan..

Club N°56 : BD non sélectionnée

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Jolie BD, héroïque fantasy légère.



Le cliffhanger à la fin de ce tome 1 est bien amené.



Je ne suis pas super fan de certains aspects du dessins (grands yeux d'inspiration manga ?), mais comme beaucoup de choses en BD, c'est une affaire de gout ;-)



Lorenzo

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Kami, tome 1 : Omegama

Une B.D très lumineuse pour évoquer les croyances.



Nura est une jeune prêtresse gardienne d'un temple quasiment abandonné de trois divinités. Parmi de maigres offrandes elle reçoit un message d'un Duc requérant de l'aide. Belsem, la divinité la plus importante lui demande de l'emmener auprès de ce Duc, voyant là un moyen de retrouver de la force.

Nura et Belsem vont découvrir que les hommes prient et s'entourent de multiples divinités mineures. Le Duc quant à lui semble être manipulé ou prisonnier d'une entité singulière.



J'ai beaucoup aimé le dessin, les couleurs plutôt dans les tons pastel et surtout le traitement de la lumière sur ces pages!

Pour ce qui est de l'histoire, elle est assez claire et nous plonge aussitôt dans un monde fantastique et fantaisiste plutôt amusant. On sent bien toutefois qu'ils 'agit d'un premier volume destiné à présenter le décor et les personnages, et on reste un peu sur sa faim...
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Les Semi-Déus, tome 1 : La Fabrique des enfan..

Résumé : A cause de mauvaises récoltes, Asmodée est vendue par son père à la reine Bérénice, qui va la transformer en Semi-Déus, lui donnant le pouvoir de se métamorphoser. Mais ce don, acquis au prix de nombreuses souffrances, sert surtout les intérêts de la reine.



Mon avis : Voici un premier tome d’une série au scénario original, mettant en avant des enfants qui ont été dotés de pouvoirs, comme celui de soigner, de dupliquer les objets, de lire dans les pensées, ou de se transformer, comme Asmodée.



Cette dernière a été vendue quand elle était petite à la reine, car sa famille risquait de mourir de faim à cause des mauvaises récoltes. La reine lui a fait boire un liquide qui l’a fait terriblement souffrir, et lui a donné le pouvoir de se métamorphoser en qui elle veut. Depuis, Asmodée vit sans la crainte de manquer de nourriture, et se met dans des situations impossibles avec son amie Oni, vendant des objets dupliqués qui ne durent que quelques heures.



Mais leurs pouvoirs suscitent la convoitise des royaumes voisins, qui aimeraient bien s’emparer de la formule permettant les transformations, tandis qu’à l’intérieur du royaume règne l’envie de régner à la place de la reine, les prétendants guettant dans l’ombre, même si la vieille reine semble avoir suffisamment de pouvoir pour faire régner la crainte dans les cœurs.



Ce premier tome d’introduction permet de mettre en place l’ambiance et les personnages, avec une reine méchante à souhaits, une jeune héroïne qui n’a pas froid aux yeux, des pouvoirs surnaturels, et des intrigues de palais intéressantes. Les symboles sont forts, comme celui de la reine-araignée qui englue dans sa toile tous ses sujets, et manipule les enfants à sa guise. Cela donne envie de savoir quel destin attend Asmodée.



Merci aux éditions Vents d’Ouest et à Babelio de m’avoir proposé cette BD dans le cadre du Masse Critique Graphique.
Lien : https://docbird.over-blog.co..
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Kami, tome 1 : Omegama

Enchaînant les romans, j'ai eu une soudaine et fulgurante envie de buller (oui, jeu de mots pourri, je sors... lol)

Cela fait très longtemps que je n'ai pas lu ni BD ni manga. Je suis très contente d'avoir retrouvé, pour un break, le monde des bulles.





J'ai choisi la BD "KAMI" sur un coup de tête en me fiant uniquement à la couverture. Je la trouve superbe : les couleurs sont vives, j'aime le côté manga du dessin, et au premier coup d'oeil elle m'a évoqué le monde de l'imaginaire. Bref, j'adore. Bravo Jungle, la couverture est vraiment très réussie. Elle m'a donné envie.

Le graphisme intérieur, lui, est plus doux. Les couleurs sont plus nuancées et elles sont principalement dans les tons pastels. Il y a deux couleurs dominantes : le vert et le rose. Ce n'est pas pour me déplaire, car j'aime ces nuances, elles apportent de la douceur. Mais j'aurai aimé retrouver ce "pep's" qu'il y a sur la couverture. En revanche, le côté manga du dessin se confirme sur toutes les planches.





Au niveau de l'histoire, ce tome 1 m'a un chouia frustré car ce n'est vraiment qu'une mise en bouche. J'aurai bien aimé avoir le tome 2 sous le coude. Il a par contre su retenir mon attention et je lirai la suite avec plaisir. Les personnages de Nura et Belsem m'ont conquis. Nura est une héroïne très manga avec ses grands yeux violets et son côté sexy. Elle est la prêtresse de Belsem, un Dieu plutôt charismatique (malgré son apparence dans ce tome 1), mais un peu prétentieux et frustré (il ne le dit pas mais ça se sent par moment...). Leur complicité m'a touchée.

Même si j'ai parlé de ce tome 1 comme d'une mise en bouche (peut-être suis-je trop habituée aux romans aussi...?), il laisse présager pour la suite un univers bien développé, riche et construit. En effet, à la fin de cette BD vous retrouverez une sorte de petit dossier (très appréciable) sur "Le monde de Kami". Ainsi vous découvrirez, entre autres, une carte et le descriptif de plusieurs divinités.





Un bon premier tome très fortement inspiré du milieu Asiatique dont la réputation se fera en fonction de la qualité de sa suite. Une bonne découverte.
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Bunny - Intégrale

On aurait aimé davantage de punch et de mordant pour restituer pareille intrigue.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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Bunny, tome 1

Mio est une jeune fille gâtée, capricieuse et glandeuse. Dans l'ombre de sa soeur mannequin à qui tout semble sourire, Mio ne fait rien de sa vie. Son père n'est pas d'accord. Alors il l'envoie sur un île étrange. Le contrat: gagner sa vie ou survivre sur l'île pour que le paternel allonge la grosse somme qui permettra à Mio de glander jusqu'au bout de sa vie...



Déjà, ce genre de contrat, c'est un peu pourave. Soit les auteurs jouent avec le lecteur. Soit ils pensent avoir LA bonne idée qui fera un bon livre. Laissons leur le bénéfice du doute.



Mio se rend vite compte que la vie sur l'île va être agitée. Il faut rassembler 50.000 unités de monnaie locale, le Desta (si mes souvenirs sont bons) pour racheter sa liberté. Soit on bosse à l'usine pour 100 Destas. Soit on tue des gens endettés, car leur dette s'ajoute dans son propre portefeuille électronique. Des visions de Hunger Games, de Battle Royale, de Squid Game... la BD date de 2013 (mais je pense que même en 2013 cette idée n'était pas spécialement novatrice).



Petit à petit, Mio découvre l'île et ses "habitants". L'usine. Les tueurs. Les endettés. Tout le monde, elle comprise, possède un tatouage. Ces tatouages ont une signification, liée à la présence des gens sur l'île. Cafards, têtes de mort... Mio possède un lapin... et il semblerait que ce tatouage soit unique... mais il se dit qu'une jeune fille, qui évoque la propre soeur de Mio, l'ait déjà porté il y a quelque temps.



Voilà pour un pitch assez complet, qui ne dévoile pas énormément. Tout cela est dit assez rapidement dans la BD. Présentée comme cela, la BD pourrait être plutôt sympa.



Les écueils sont néanmoins présents. Et nombreux. La mise en couleur est glacée, très froide malgré des couleurs supposées chaudes. Psychologie des personnages assez superficielle. D'ailleurs, "superficiel" est l'adjectif qui correspond bien à l'ensemble. Et les incohérences dans le dessin, le manque de perspective parfois, les mouvements mal rendus... Peu à peu l'attention du lecteur s'érode et on tourne les pages (peu de textes et dialogues assez plats, cela aide). Bof, donc.
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Les Semi-Déus, tome 1 : La Fabrique des enfan..

Lecture mitigée pour ce premier tome des Semi-Déus.



Si l'univers intrigue immédiatement grâce à une couverture efficace et jolie, j'ai eu du mal à être happée par le récit qui semble un peu trop ambitieux.

C'est difficile à expliquer, mais j'ai eu l'impression que les auteurs cherchaient à raconter plusieurs récits en un et qu'ils essayaient de mettre trop de choses à la fois dans ce tome d'introduction.



Dès le départ, on sent qu'on n'est pas là pour rigoler avec l'ambiance pesante qui est plantée : les récoltes du peuple sont de plus en plus maigres et on comprend vite que la Reine est aussi vénérée que crainte à cause de ses immenses pouvoirs divins.

5 ans après le premier chapitre, nous retrouvons la protagoniste avec un nouveau nom, une nouvelle identité et surtout, des pouvoirs. La jeune fille est devenue une Semi-Déus, contre son gré, et n'apprécie pas sa vie actuelle. Afin de "s'occuper", elle et son acolyte commettent de menus larcins en volant des babioles à des nobles : elle en se métamorphosant en quelqu'un d'autre, lui en dupliquant des objets.



En parallèle, nous suivons plusieurs Semi-Déus adultes, dont les enjeux personnels paraissent tous converger dans une intrigue politique plus globale. En effet, le règne de la Reine ainsi que ses façons de procéder ne sont pas au goût de tous (même parmi les alliés du royaume), et la menace vient de tous les côtés.

De l'extérieur ou depuis l'intérieur de la cour, qui osera tenter de renverser l'ordre établi ?

En plus de tout ceci, la fin appelle clairement à une mise en avant sur tous les plans de l'héroïne, qui sera certainement mise en grand danger.



Mon gros problème avec cette BD est que j'ai eu le sentiment que les auteurs tentaient de parler à deux publics en même temps : un public jeunesse à travers le récit de la jeune fille, et un public adulte avec le grand nombre de points de vue adultes.

J'ai trouvé que ça créait un décalage trop grand. Je comprends tout à fait l'idée d'apporter gravité et profondeur à un récit jeunesse car les jeunes lecteurs sont tout à fait capables de lire des choses matures ; mais je trouve que ça ne fonctionne pas bien.



L'écart dans les propos et les thématiques abordés amène aussi un problème de rythme entre les intrigues : on a l'impression que l'action des enfants passe un peu au second plan et paraît moins importante et très lente comparée à la frénésie que l'on ressent du côté des adultes.



Malgré une maladresse et un déséquilibre dans les narrations, cette nouvelle série magique garde un bon potentiel. L'univers mélangé entre mythologies gréco-romaine et japonaise (et univers Ghibli) est plutôt sympathique et ne demande qu'à être poussé encore plus. A voir avec le deuxième tome !
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Kami, tome 2

Petite déception pour cette suite qui n'est pas du tout à la hauteur du 1er tome.

Je n'ai pas retrouvé la magie et l'émerveillement du démarrage.



Les planches sont toujours très belles et l'univers intrigant, mais on creuse ici cet univers de manière plus technique que dans le tome précédent, sans parvenir à soulever beaucoup d'émotion.



A se demander s'il n'aurait pas fallu se concentrer sur un one-shot un peu plus épais plutôt que de diluer ainsi le concept !
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Kami, tome 1 : Omegama

J’ai choisi de lire cette bd grâce au graphisme que je trouve très jolie. C’est un univers que l’on retrouve de plus en plus dans la littérature jeunesse.



La couverture est vraiment très réussie et est très intrigante. On voit une jolie jeune fille, avec des grands yeux violets couchée dans l’eau. A ces côtés, une sorte de petit poisson jaune avec des tentacules. Sa couleur rappelle celle des feuilles délicatement tombées à la surface de l’eau. Un très beau travail graphique de Jean-Gaël Deschard et Juliette Fournier.



Les influences asiatiques ont marqué aussi bien les dessins, avec par exemple d’énormes yeux pour les personnages humains. Que dans le scénario où on évoque des dieux par thématique, en parlant des kamis, de l’influence des uns par rapport à la croyance… On retrouve cela dans les quelques sociétés polythéistes qui restent. Toutefois, l’univers et les personnages présents sont facilement identifiables. Ils n’y a aucun risque que le jeune lecteur puisse se perdre dans l’incompréhension. En plus, en cas de doute, il y a à la fin quelques pages explicatives. Certaines divinités pourront même leur rappeler certains pokémon.



J’ai apprécié la lecture de cette bd car l’univers graphique aux couleurs douces est vraiment très bien réalisé. C’est un vrai régal pour les yeux. Par contre, je trouve l’intrigue se résout un peu trop vite. On passe presque de l’entrée de Nura dans le palais à son retour dans son chez elle, sur le sol en pleur. J’aurais aimé avoir un peu plus d’intrigue et pas forcément un happy end à la fin, au moins pour la vie au château. Mais ne faut-il préserver l’innocence de ces chères têtes blondes ? J’aurais tendance à dire non vu ce qu’ils voient à la télé et dans leurs jeux vidéo, un petit mort de les traumatisera pas. Ce choix n’a pas été fait ici alors restons quand même bienveillant.



Une adorable bande dessinée qui vous emmènera aux confins des territoires où l’homme s’en remet à des divinités pour son destin. L’espoir reste à celles qui sont moins populaires ainsi que l’affection réelle des prêtresses. Toutefois, c’est avec tout leur cœur qu’elles vont défendre ceux qui lui demanderont son aide.
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Kami, tome 1 : Omegama

Tout d'abord, j'ai été attirée par cette splendide couverture, je ne me lasse pas de la regarder !



Nura est une prêtresse qui s'occupe de trois divinités auxquelles plus personne ne croit et qui sont donc en train de dépérir. Seul Belsem a encore un peu d'énergie. Pour le sauver, il faudrait que de nombreuses personnes se remettent à le prier, à croire en ses bienfaits. Ca tombe bien, la province de Luchénia a besoin d'aide, son souverain est malade et personne ne sait le guérir. Peut-être est-ce la mission qui permettrait de montrer à tous que Belsem est encore puissant ? A moins qu'il ne s'agisse d'un piège...



Nura et Belsem (qui exceptionnellement a pris une forme qui lui permet de voyager) s'en vont sur les routes pour rejoindre Luchénia. Leur amitié est à toutes épreuves, mais Nura devra donner beaucoup pour sauver son dieu...



Les dessins et les couleurs sont superbes tout au long de la BD.



Une belle histoire, peut-être un peu complexe toutefois. Ce qui est bien c'est que ce premier tome peut se lire seul, même si l'ouverture nous présage de bons moments pour le tome 2...
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Kami, tome 1 : Omegama

Nura est une jeune prêtresse dévouée. Elle passe ses journées au temple, à lire et à veiller sur les trois divinités qui y résident. Elle converse avec Belsem, le seul à avoir encore assez de forces pour échanger avec les hommes. Belsem a peur. Depuis plusieurs années, il constate que les hommes ne croient plus dans les dieux et se tournent vers d’autres occupations, ce qui a un effet direct sur la force vitale des dieux. Belsem sait que si la situation ne change pas, il est condamné à mourir, comme ses deux acolytes.



C’est pourquoi, lorsque le frère du duc sollicite leur aide, Belsem convainc Nura qu’il faut aller à sa rencontre. Si quelque part, des hommes croient encore dans les dieux originels, il ne faut pas rater l’occasion de leur tendre la main ; cela permettra peut-être aux hommes de retrouver le chemin du temple. C’est ainsi que Nura et Belsem font la connaissance de Dénos, le frère cadet du duc. Dénos leur explique que le Duc est atteint d’une maladie orpheline mais personne ne semble capable de trouver le remède pour la soigner. Et si Dénos se montre inquiet quant à la santé de son frère, Nura fera le désagréable constat que ses intentions ne sont pas aussi louables qu’il n’y paraît.







A l’instar de « Diosphère » et de « Bunny » (deux séries publiées aux Editions Emmanuel Proust), Jean-Gaël Deschard et Juliette Fournier (« Morphine ») réalisent un album à quatre mains. Ils créent un univers fantastico-médiéval qui reprend à la fois les codes de l’héroïc-fantasy et s’en détache pour construire un monde assez nouveau. Face au récit comme au graphisme, place à la découverte et au divertissement. Les paysages sont beaux et détaillés ; il y a un côté majestueux que les auteurs ont voulu travailler (le trait est fin, les couleurs donnent une impression de luminosité). On pourra tiquer sur le côté trop « propret » des illustrations : pas un cheveu qui rebique, pas un vêtement élimé, des visages absolument symétriques… C’est la faiblesse de l’album car à première vue, ces personnages souriants et parfaitement parfaits manquent de reliefs et de profondeur. Il est nécessaire de s’appuyer sur les dialogues pour comprendre qu’il y a une pointe d’hypocrisie ou de sarcasme dans la scène qui se déroule. Pour faire simple : c’est fade et le fait que les couleurs soient légèrement estompées renforce cette impression… L’album aurait mérité que l’ambiance soit plus élaborée, plus oppressante sur certains passages mais la palette de couleurs ne varie pratiquement pas, peu de jeux d’ombre et de lumière. Dommage.



Ce n’est pas le cas du scénario qui rythme bien les temps du récit. L’intrigue est présentée en quelques pages, de façon claire et succincte ce qui laisse tout le loisir de profiter de sa lecture sans buter sur des incompréhensions. Le lecteur (et d’autant plus quand il est jeune) accroche vite, profite de rebondissements inattendus sans être farfelus. Tout se tient. En prime, le récit se structure autour d’une très belle amitié et fait réfléchir sur la question des décisions importantes que l’on doit prendre ; la manière dont chacun fixe ses priorités influencera son choix final. Un questionnement intéressant que l’enfant s’approprie totalement.
Lien : https://chezmo.wordpress.com..
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Bunny, tome 1

Très sympa

je n'avais jamais entendu parler de cette BD et c'est une très bonne découverte !

Il y a de l'action, les persos sont sympa, ca se lit très vite !

Le style graphique est simple mais beau et le livre en lui-même est très joli !

Je recommande !
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Kami, tome 1 : Omegama

Dans un monde imaginaire, la jeune prêtresse Nura veille dans un temple en ruine sur des dieux que plus personne ne vient honorer. Elle reçoit un jour une lettre lui demandant de venir en aide à un souverain voisin. Accompagnée du dieu Belsem à qui elle est attachée, elle part donc à la rencontre du jeune duc de Luchénia. Le graphisme est magnifique. Mais l'histoire ne m'a guère accrochée.
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Kami, tome 1 : Omegama

Quand j'ai vu cette bande dessinée en magasin, j'ai tout de suite été attirée par le dessin et son résumé.

On suit Nura, jeune prêtresse s'occupant du dieu Belsem. Alors que les offrandes et requêtes se font de plus en plus rares, une demande d'aide de la ville voisine se présente.

Nura et Belsem partent alors vers la ville...



Mon avis : Un monde intéressant, une histoire sympathique, plus profonde qu'il n'y paraît, et des personnages attachants. Les dessins et les couleurs en font une bande dessinée douce que je conseille aux plus jeunes comme aux plus grands !
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Les Semi-Déus, tome 1 : La Fabrique des enfan..

Je vais commencer par parler de la fin afin d’évacuer ma frustration. C’est un tome très introductif et à la dernière page, on comprend la grosse intrigue qui va se mettre en place dans la suite (et qui a l’air géniale)… Sauf que bah justement, c’est la fin et moi je voulais continuer ma lecture !!



Ce tome nous montre donc petit à petit l’univers dans lequel va se dérouler l’histoire. Il pose les bases et on comprend qu’on est bien loin d’un monde tout beau et gentil. Entre intrigues politiques, complots, sombres desseins, pouvoirs mystérieux… Il y a de quoi donner une histoire palpitante et pleine de rebondissements. Je pense que j’aurais aimé en découvrir un peu plus pour me faire une idée plus précise, mais en tout cas, je suis vraiment curieuse de la suite qui promet d’être mouvementée et riche en rebondissements...



Les personnages ont l’air très chouettes, je pense qu’Asmodée sera une héroïne touchante et très intelligente ! J’ai aussi beaucoup apprécié les illustrations et leurs belles couleurs. C’était plaisant à lire et à admirer, j’aime prendre le temps de détailler les illustrations !



En bref, un premier tome prometteur qui donne terriblement envie de découvrir la suite !!

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Les Semi-Déus, tome 1 : La Fabrique des enfan..

Dès les premières pages, cette BD nous entraîne dans une histoire captivante, où l'héroïne, issue d'une famille modeste, est vendue à la redoutable reine Bérénice, plongeant ainsi dans un univers où la magie et la cruauté règnent en maîtres. L'intrigue nous transporte au cœur d'une élite mystérieuse, les Semi-Déus, chacun doté de pouvoirs surnaturels, où les destins se nouent dans les méandres d'une société à la fois sombre et fascinante.



L'écriture de l'auteur transcende les conventions du genre pour explorer des thèmes profonds tels que la quête d'identité et le pouvoir, tandis que les illustrations époustouflantes nous plongent dans un monde magnifique et inquiétant à la fois, où chaque détail contribue à créer une fresque envoûtante. Cette BD est bien plus qu'une simple histoire fantastique ; c'est un voyage épique au cœur de la noirceur et de la splendeur, où les destins s'entrelacent dans un ballet magistral entre le bien et le mal.



https://www.litteraturesadolescentes.fr/les-semi-deus-tome-1
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Kami, tome 1 : Omegama

Un curieux mélange entre le style manga et les couleurs de la BD, on sent trop la digitalisation. Un univers mythologique plutôt occidental mêlé à une idée des dieux japonais. Le projet était risqué et le résultat est mitigé. Je n'ai pas été transcendée, mais ce n'était pas une lecture désagréable.

Pour jeune public.
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Les Semi-Déus, tome 1 : La Fabrique des enfan..

Je n’aurais qu’un mot “voilà” parce que Glénat a tout dit dans son résumé ci-dessus. Mais développons quand même un peu.. La couverture est engageante, une impression de Studio Ghibli avec cette dame en arrière-plan, visage carré, chignon grisonnant laissant apparaître les rides de son front. Difficile de ne pas penser à la mamy légendaire de Miyazaki. Le graphisme de notre duo d’auteurs est d’ailleurs d’inspiration nippone, indéniablement !

Alors, on n’hésite pas à commencer notre lecture avec cette carte en début. Par ce biais, Juliette Fournier & Jean-Gaël Deschard nous plongent directement dans l’ambiance et l’univers qu’ils ont créés. Pour un public jeune, (pré)ado, c’est intéressant. Ils sont subtilement happés hors des mangas qu’ils plébiscitent davantage, vers le format classique d’une bande-dessinée. Les plus aguerris, quant à eux, auront peut-être plus de mal avec ce mélange un peu fourre-tout. Visuellement, chaque planche renvoie l’idée de capture d’écran d’un animé riche par ses décors et ses personnages, l’histoire quant à elle exhale un maximum d’inspirations venant de toutes parts.

Les personnages semblent tirer leurs noms de divinités du monde entier, comme la petite Mery qui va devenir, une fois Semi-Déus, va s’appeler Asmodée (un des seigneurs de l’Enfer dans la Bible quand même, rien que ça). Même si le dessin est précis et minutieux, lui aussi semble venir de partout, comme une cabane occidentale, un château asiatique, ... heureusement que nous sommes dans une légende fantasy.

Du coup, il faut véritablement se mettre dans la tête d’un (pré)ado pour apprécier ce premier titre, “La fabrique des enfants dieux”, à sa juste valeur. Une série qui engage les jeunes dans la voie de la BD et peut-être permettre aux connaisseurs de conseiller des titres avec lesquels on pourrait trouver des similitudes, comme tous les chefs d’œuvres des studios Ghiblis, en passant par “Freya, dans l’ombre du prince”, ... mais tout ceci fleure bon le manga, non ?!
Lien : https://sambabd.net/2024/03/..
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Les Semi-Déus, tome 1 : La Fabrique des enfan..

Autant le dire tout de suite, j'ai adoré.

Nous plongeons dans un monde antique dans lequel surgit du fantastique : certains enfants obtiennent des pouvoirs et deviennent des semi déus...

Le graphisme est fin et coloré, retransmet tout de suite l'ambiance, les rues, les temples...

Ce premier tome met intelligemment les choses en place, les personnages dans leurs rôles et leurs interactions.

La reine fait visuellement penser un peu à un personnage du voyage de Chihiro!

C'est bien mené et prometteur. J'attends déjà le tome suivant pour savoir ce que Asmodée va devenir.
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Kami, tome 1 : Omegama

C’est la couverture qui m’a convaincue de m’y essayer.

Je ne connaissais rien à l’histoire et je n’ai pas lu le résumé, mais avec un titre comme Kami, je me suis dit que cela parlait de dieux japonais (rappelons que Kami en japonais signifie dieu – ça signifie aussi papier, mais cette définition ne m’a même pas effleuré l’esprit). En définitive, ce n’est pas exactement cela, mais je ne suis pas tombée si loin : la bande-dessinée parle bien de dieu, mais ceux d’un monde imaginaire.

On découvre Nura, prêtresse du trois anciennes divinités. La jeune fille veille sur un vieux temple abandonné qui abrite trois anciennes divinités à deux doigts de disparaître, oubliées des hommes. Lorsqu’ils reçoivent une missive du palais ducal demandant de l’aide, elle s’y rend accompagnée de Belsem, le dieu le moins faible des trois.



Je suis contente de l’avoir emprunté. Non seulement les illustrations sont à la hauteur de la couverture, mais le scénario est intéressant : les apparences sont trompeuses, les dieux ne sont pas forcément les “maîtres”… rien n’est tout blanc ou tout noir.

Les couleurs s’harmonisent bien. Le character design de Nura m’a bien plu, le seul bémol c’est sa tenue qui dépareille avec celles des autres femmes : courte (en comparaison des autres) et fendue sur les côtés – cette différence peut s’expliquer du fait qu’elle est prêtresse, mais ça jure avec cet univers de type médiéval-fantastique, ça sonne incohérent.

L’univers semble sympathique, on en voit quand même pas suffisamment pour juger, quelques planches de-ci de-là. À la fin, on a quand même une carte du monde accompagnée de textes explicatifs ainsi qu’un lexique des dieux.



J’ai adoré cette lecture et ma fille également. On a toutes deux lu les deux tomes de cette bande-dessinée à la suite l’une de l’autre et ce fut un régal.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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