Maintenant, je pense à la vie et j’enrage d’avoir à la quitter. Je pense au Seigneur et l’idée de sa bonté ne suffit pas à apaiser ma peine. Je crois que j’ai trop aimé les hommes pour pouvoir me résoudre à les abandonner. Si au moins je pouvais avoir la certitude d’avoir, de temps à autre, des nouvelles de Montepuccio.