Marc tourne avec délicatesse le premier feuillet, une lettre, pour en découvrir un autre, puis un autre... Dans l’atelier de reprographie, il n’avait fait qu’aller vite. Là, l’attention devient nouvelle. Il s’attarde. Il hume et goûte presque l’atmosphère de cette époque. Il constate que les documents portent un en-tête. Certains, plus urgents, pourrait-on croire, ne sont pas stigmatisés, si ce n’est par la présence d’un simple seing de haute noblesse.