En 1942, symbole suprême, la rédaction [de Je suis partout] émigre du quartier d'Alésia à la rue de Rivoli. Malgré l'abandon de Pierre Gaxotte, l'équipe est, il est vrai, plus dynamique que jamais. Elle perd Claude Roy, passé insensiblement à la Résistance et au communisme, mais elle gagnera d'autres jeunes, Claude Maubourguet, F.-C. Bauer, Michel Mohrt, Lucien Combelle surtout, ancien secrétaire de Gide. Elle s'assure plus que jamais les signatures d'Anouilh (leocadia) et de Marcel Aymé (Travelingue), de Drieu et de La Varende.