J’ai compris que d’avoir regardé pendant toute mon enfance la télévision sept, huit heures par jour, m’inscrivait dans une histoire particulière, l’appartenance au monde des déshérités, des pauvres, de ce que les riches voient de l’extérieur comme des enfances perdues. J’ai compris que pour eux étudier aussi naturel que de ne pas étudier chez nous.