>
Critique de Phoenicia
Une dystopie young adult, ce n'est, en général, pas ma tasse de thé. Aussi, je savais qu'en commençant ce titre je me lançais dans quelque chose. Mais vu le tumulte autour de lui, je voulais essayer.
Ce ne fut pas un coup de coeur. Ce fut même, par moments, une lecture que j'ai songé à abandonner.
Il y a, de prime abord, une multitude de protagonistes. On finit un peu par s'y perdre, d'autant que les personnalités ne sont pas toutes marquées. En revanche, on apprécie pleinement Prym, Ed et San qui sont des protagonistes attachants et vis-à-vis desquels j'ai trouvé une psyché plus travaillée.
Concernant lesdits protagonistes, Margot Dessenne n'hésite pas à en sacrifier un certain nombre, en les faisant mourir ou en faisant d'eux des traîtres. le fait de pas avoir trop d'empathie pour certains est donc plutôt pas mal sous cet angle de vue.
L'univers est intrigant. On est dans un univers post-apo. Une mystérieuse arme, la Chose, est enfermée à Varsovie. Tous les ans, cent jeunes sont envoyés dans cette ville pour essayer de la tuer.
Un bon point de départ aux allures d'une réécriture de Thésée et du Minotaure, sous fond de dictature militaire. Pour autant, et c'est ce que je déplore, c'est que ce tome est surtout un tome introductif. On découvre les différents clans qui se partagent Varsovie, on finit par faire de la mission un enjeu secondaire, si bien qu'on apprend peu de choses sur la Chose elle-même. Des bribes. L'enjeu devient tout autre, se complexifie avec les mutations et l'idée de base n'avance pas, devient même frustrante. Pour revenir au coeur des choses sur la fin, réglée d'une manière très particulière, sans avoir plus d'explications. Alors qu'en parallèle, l'action devient trépidante, les trahisons fusent de partout, on a enfin un rythme haletant et une fin qui nous laisse comme deux ronds de flan.
Sans le dernier quart, c'est sûr mon voyage avec Absolu ce serait terminé avec le tome 1. Cette fin et ces nombreuses questions sans réponses me donnent envie de lire le tome 2 mais très vite sinon je sens que l'envie passera.
Ce ne fut pas un coup de coeur. Ce fut même, par moments, une lecture que j'ai songé à abandonner.
Il y a, de prime abord, une multitude de protagonistes. On finit un peu par s'y perdre, d'autant que les personnalités ne sont pas toutes marquées. En revanche, on apprécie pleinement Prym, Ed et San qui sont des protagonistes attachants et vis-à-vis desquels j'ai trouvé une psyché plus travaillée.
Concernant lesdits protagonistes, Margot Dessenne n'hésite pas à en sacrifier un certain nombre, en les faisant mourir ou en faisant d'eux des traîtres. le fait de pas avoir trop d'empathie pour certains est donc plutôt pas mal sous cet angle de vue.
L'univers est intrigant. On est dans un univers post-apo. Une mystérieuse arme, la Chose, est enfermée à Varsovie. Tous les ans, cent jeunes sont envoyés dans cette ville pour essayer de la tuer.
Un bon point de départ aux allures d'une réécriture de Thésée et du Minotaure, sous fond de dictature militaire. Pour autant, et c'est ce que je déplore, c'est que ce tome est surtout un tome introductif. On découvre les différents clans qui se partagent Varsovie, on finit par faire de la mission un enjeu secondaire, si bien qu'on apprend peu de choses sur la Chose elle-même. Des bribes. L'enjeu devient tout autre, se complexifie avec les mutations et l'idée de base n'avance pas, devient même frustrante. Pour revenir au coeur des choses sur la fin, réglée d'une manière très particulière, sans avoir plus d'explications. Alors qu'en parallèle, l'action devient trépidante, les trahisons fusent de partout, on a enfin un rythme haletant et une fin qui nous laisse comme deux ronds de flan.
Sans le dernier quart, c'est sûr mon voyage avec Absolu ce serait terminé avec le tome 1. Cette fin et ces nombreuses questions sans réponses me donnent envie de lire le tome 2 mais très vite sinon je sens que l'envie passera.
