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Pionnier de la psychologie positive en France, Yves Le Bihan décrit comment les chocs peuvent être vecteurs de changement dans son premier roman.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
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Le héros du Bordelais Laurent Queyssi s’interroge sur le pouvoir de la création littéraire sur la liberté et la résistance aux oppressions
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
Tout ceci contribue à faire de ce tome final une jolie réussite, et à confirmer toutes les qualités de l'oeuvre de Mi Tagawa. Satisfaisante d'un bout à l'autre, Le Renard et le Petit Tanuki se révèle être une très belle fable animalière, susceptible de plaire à tous les publics !
Lire la critique sur le site : MangaNews
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Les animaux devenus seuls maîtres à bord de la Terre depuis son évacuation par les hommes vers Mars, Terra Animalia de Patrick Mallet (Le Comte de Monte-Cristo) et Tom Tirabosco au dessin (Femme sauvage) est un superbe découverte, une aventure unique, très bien amenée, pleine de vie et d’espoir en fait. Le dessin fait partie de la fête. On a une œuvre aux valeurs à la foi symboliques et prophétiques qui s’impose avec une belle facilité.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
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Corps en souffrance, disparition mystérieuse, misère : tous les maux semblent s'être abattus sur l'île de Saint-Spyridon où Metin Arditi situe l'intrigue de « L'île de la Française ». À de bonnes intuitions littéraires succède bien vite une narration tortueuse, le récit insulaire s'émousse et le lecteur finit par s'impatienter.
Lire la critique sur le site : LesEchos
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Les profils sont très variés (déportés pour des faits de résistance ou simplement parce qu'ils sont juifs), ce qui fait de l'ouvrage un panorama historique solide, complété par des pages documentaires. Une totale réussite pour transmettre la mémoire de ces derniers survivants.
Lire la critique sur le site : CNLJ
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Les dessins d’Anthony Pastor sont d’un réalisme troublant et sa « peinture » de la neige donne froid dans le dos. Le choix d’illustrations monochromes dans une gamme de gris-bleus plus ou moins foncés y contribue largement en uniformisant toute chose.
Lire la critique sur le site : Actualitte
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Rarement un titre ne m’a balladé·e comme Horizons Obliques l’a fait. L’univers peint par Richard Blake parvient à se projeter et nous troubler. La plongée vers les inconnus de son héroïne estb tout autant la notre. Et surtout, c’est magnifique dans sa composition et ses détails.
Lire la critique sur le site : LesComics
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Construit autour d’une relation émouvante entre deux êtres que rien ne devait rapprocher, sur une confrontation entre réel et imaginaire et des contrastes qui font l’essence de la condition humaine, Le Partage des mondes incite à la réflexion, est message d’espoir et surtout émeut. Seule la bande dessinée peut charger autant les mots et les couleurs simultanément.
Lire la critique sur le site : BDGest
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Au-delà du schéma très linéaire et des intrigues qui peuvent manquer de niaque de prime abord, Satoru Nii parvient à mettre au centre du récit Sakura et ses dilemmes internes et le faire progresser, tout en le plaçant au sein du grand ensemble qu'est le lycée Fûrin. En quelques mots : Wind Breaker confirme son charme, et pousse ses arguments encore un peu plus loin.
Lire la critique sur le site : MangaNews
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Édouard Louis puise dans la violence la source de ses récits. “Monique s’évade” : cinquième interpellante démonstration.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
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Le vieil homme et l'enfant : un vieux campeur et une jeune gitane en fuite sont les deux héros du nouveau roman plein de surprises de l'écrivain italien, « Les règles du mikado ». Un « road book » existentiel qui explore la complexité des êtres jetés dans le monde, entre élans du coeur et mécanique du hasard.
Lire la critique sur le site : LesEchos
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"J'ai regardé la nuit tomber" est le premier livre de la comédienne Lolita Chammah, dans lequel elle revient sur la mort de son fils à l'âge de 12 jours.
Lire la critique sur le site : Culturebox
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Il suffirait de peu pour que Peuple de verre passe de la fiction au documentaire tant la crise du logement, qui en est le pilier, a pris de l’ampleur !
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
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L’histoire entre Yamada et Ichikawa évolue petit à petit et continue d’aborder des nouveaux sujets comme le rapport au travail, ou d’en approfondir d’autres comme le complexe d’infériorité. Les entraves d’Ichikawa reviennent, mais ses efforts constants lui demandent alors beaucoup de courage et le rendent particulièrement touchant. En lisant The Dangers in my Heart, on est touché et suit avec plaisir le développement de cette relation.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
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L'affrontement va occuper plus de la moitié du tome et va être riche en surprises...difficile de ne pas spoiler, mais la conclusion est vraiment étonnante, pour ma part je n'avais pas vu venir les choses ainsi, pensant que l'auteur comptait encore exploiter le personnage en question...il décide d'exploiter l'autre...mais là encore on n'est pas à l'abri de surprises.
Lire la critique sur le site : MangaNews
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Déjà connu dans nos contrées pour le poignant L'Épouse d’Amman, Fadi Zaghmout nous propose cette fois-ci un récit de science-fiction futuriste, qui porte un regard sur la société tout en se montrant très intimiste. Après son engagement envers les causes féministes et LGBT+, l’auteur brise cette fois-ci un autre tabou : la mort.
Lire la critique sur le site : Syfantasy
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En 1982, Chantal Thomas part enseigner dans l’Arizona. Elle y tient pendant six mois le journal de sa vie, ses découvertes, ses rencontres… et surtout de ses dépaysements.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
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Match de rugby, anecdotes, loto, la vie qui va et vient, émotion. Des malfrats tentés par le magot de la vieille, qui a des origines célèbres mine de rien faut de tout pour faire un monde, même un piano. Suspens total et très sympa.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
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L’œil d’Odinn est excellent jusqu’au dérapage de fin. Au vu de la qualité d’édition et des dessins, je vous conseille de vous forger votre propre avis. Peut-être que vous serez moins déçu que moi par la partie finale.
Lire la critique sur le site : LesComics
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« — Bon Dieu ! mais la critique, la sainte critique ! dit Lucien imbu des doctrines de son Cénacle.
— Mon cher, dit Lousteau, la critique est une brosse qui ne peut pas s'employer sur les étoffes légères, où elle emporterait tout. »
Honoré de Balzac - Illusions perdues