Citations de Lomig (69)
La montagne est en moi, dans chacun de mes nerfs, pénétrant par chacun de mes pores. Je vibre avec le vent et les arbres, l'eau et la roche, la terre, le ciel et les rayons du soleil.
Il y a tant de voix autour de nous, qui nous disent ce que nous sommes censés faire, que nous oublions bien souvent de nous écouter nous-mêmes.
Nous nous sommes toujours focalisés sur ce qui nous distingue, au lieu de percevoir l'immensité de ce qui nous unit à toute chose. Je sais à présent que nous ne sommes ni jeunes, ni vieux, ni sains, ni malades, mais immortels. Nous sommes les multiples reflets d'une seule et même énergie.
Rien ne peut incommoder un anglais, tant qu'il lui reste de quoi prendre un thé.
La nature me manque tant. Il me tarde de me baigner à nouveau dans ses eaux et de pouvoir me réchauffer à l'éclat de ses fleurs. Je ne crois pas qu'il puisse y avoir de meilleur remède pour un homme que de se perdre dans ces solitudes.
Il y a tant de voix autour de nous, qui nous disent ce que nous sommes censés faire, que nous oublions bien souvent de nous écouter nous-mêmes. Et nous finissons par nous égarer.
- C’est les cerfs qui vont se régaler !
- Eh non, gros malin... Dans le livre il est écrit qu’ils ne mangent pas les tulipes.
- Ah bon ? Eh bien, j’espère qu’ils ont lu le même bouquin que toi.
Ces forêts antiques de chênes, d'ormes et de noyers composent, pour chaque regard, un tableau de maître qui vient louer la beauté inépuisable de la nature.
La vie peut être vraiment incroyable si on se donne la peine de la manœuvrer selon ses goûts. Faut-il juste encore parvenir à les déterminer.
Au bord de la Merced se penchent des pommiers, des noisetiers et des cornouillers, comme s'ils tendaient l'oreille aux douces confidences de l'eau.
J'ai appris à comprendre le langage des plantes, celui des animaux, du vent et de la tempête...
Finalement l'électricité n'aura été qu'un accident passager d'à peine deux siècles, autant dire une poussière de temps à l'échelle de l'Histoire de notre monde.
Mon projet est simple.
Je souhaite entreprendre le voyage de mes rêves.
Découvrir toutes les merveilles de la vie sauvage et recueillir des végétaux inconnus, afin de pouvoir les étudier à mon retour.
- J'étais prisonnier des pendules, des calendriers, des ordres et des devoirs. Jamais, je n'avais assez de temps pour faire tout mon travail puis je rentrais chez moi, seul et éreinté.
C'est comme si nous n'étions qu'un paquet de besoins qui épuisent le monde.
Vous allez me prendre pour un sacré original, mais je souhaiterais que les médecins prescrivent ne serait-ce que quelques semaines dans ces grands espaces sauvages à tous leurs patients. Je suis sûr qu'ils s'en trouveraient déjà en bien meilleure santé. Et peut être que leurs agissements changeraient naturellement, suite à cette expérience.
C'est aussi dans l'harmonie que la tempête semble puiser son inspiration...
C’est ainsi qu’Eva s’est mise à danser au rythme implacable du métronome. Elle a appris à convoquer sa propre musique. C’était comme si sa nature sauvage luttait pour sortir.
Je me surprends même parfois à entendre la musique sur laquelle elle danse.
J'espère que des temps meilleurs viendront où les hommes placeront tous leurs frères mortels dans leurs coeurs.
Il n'y a plus aucun endroit où nous nous sentions en sécurité.