Je songeai à l'expression "beau à en mourir". Il était si beau que je l'aurais en effet volontiers mis à mort, vidé, empaillé, et accroché au-dessus de ma cheminée comme un trophée.
Et si je te disais que tu es seulement la deuxième fille a me tenir la main et que la première était ma mère ?
-Comment t'appelles-tu ?
Pour la première fois, je vois la colère déserter son visage. Elle se dirige vers l’embrasure de la fenêtre où est posée une rose, une seule, dans un vase. Elle pointe le doigt.
-C'est ravissant. Mais comment t'appelles-tu ?
Elle désigne de nouveau la rose.
-Quoi ? Tu veux que je l'arrose ? Ce n'est pas à toi de faire ça ?
Elle tend le doigt avec plus d'emphase.
-Oh, ton nom ! Ton nom est... vase ?
Elle secoue la tête, puis commence à décrire des cercles autour de la fleur avec sa main.
-Cercle ! Tu t'appelles Cercle !
Le fusil automatique avec lequel je pourrais tirer ? Il est juste à côté de moi, mais je ne voudrais pas passer pour une désespérée.
"Je commençai à m'impatienter. Allions-nous devoir attendre quatre tomes et des milliers de pages avant qu'il se passe quelque chose?"
-Tu penses certainement que nous sommes tous des monstres, dit-il.
Il me fusille du regard, et ma respiration s'accélère. Je ne sais pas trop si je dois répondre, ou hocher la tête, ou bien garder le silence, ou encore faire la roue. Dans le doute, je rote.
Je t'aime plus que tout ce qui existe dans la galaxie concentré dans un chewing-gum à la fraise au goût qui ne finit jamais !
Mon bien-être émotionnel dépend bien trop de ta présence pour que je m'éloigne une seule seconde.
Je compte onze coups de trombone triste. S'il y a un coup de trombone par tribut, sachant qu'il y a vingt-quatre tributs au départ, qu'une journée compte vingt-quatre heures et les Jeux durent depuis moins d'une heure, qu'il y a soixante minutes dans une heure et qu'il m'a fallu deux heures pour pousser aussi loin mon équation, alors il doit rester au moins quarante tributs ! La compétition bat son plein.
Tout est si confus, tout va si vite, car les auteurs condensent notre histoire pour en accentuer l’effet comique.