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4.21/5 (sur 138 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Ednah Walters est diplômée de chimie (PhD), mais elle a choisi d'être mère au foyer pour s'occuper de ses cinq enfants. Elle est aussi auteure à succès consacrée par le USA Today.

Sa série primée, best-seller international pour jeunes adultes, est une aventure paranormale et sentimentale. Elle commence avec le roman "Runes" et comprend six tomes à ce jour. Le dernier, "Witches", publié en anglais en mars 2015, a remporté le prix des lecteurs Readers' Favorite Book Awards.

Elle écrit également des romans sentimentaux contemporains sous le nom de E. B. Walters. La série "The Fitzgerald Family" commence avec "Slow Burn" et comprend six tomes. Sa nouvelle série, "Infinitus Billionaire", s'ouvre sur le roman "Impulse".

sites :
http://www.ednahwalters.com/
https://www.author-ebwalters.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/AuthorEdnahwalters/timeline?ref=page_internal
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Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
— Je n’ai aucune intention de devenir une Norne.
— Tant mieux, parce que je ne le permettrai pas.
— Le permettre ? Et qui t’a remis les clés de mon avenir ?
Il s’arrêta et m’examina attentivement. Je déglutis sous la chaleur de son regard. Il me lâcha la main et se pencha pour écarter les cheveux de mon visage.
— Toi, quand tu as traversé la pelouse en courant pour te jeter à mon cou comme si tu m’appartenais. Quand tu me regardes avec un mélange d’étonnement innocent, de charme séducteur et assez de défi dans les yeux pour dissuader un homme moins armé que moi.
Il me souleva le menton et passa son pouce sur ma lèvre inférieure. Mon souffle resta suspendu. Il afficha un sourire de satisfaction qui me fit chavirer.
— … Quand je te touche et que tu retiens ton souffle.
Lentement, sans me quitter des yeux, il baissa la tête.
— … Quand tu oublies de respirer parce que je m’apprête à t’embrasser.
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Je fondis droit sur Marj et m’arrêtai juste devant elle pour la regarder dans les yeux.
— Ne vous approchez plus de moi, de mes amis ou de ma famille. Vous avez eu l’occasion de protéger Eirik et vous avez échoué. Malgré tous vos pouvoirs, il y a une chose que vous êtes incapables de ressentir et de donner, et c’est l’amour. Moi, j’en ai à revendre. Pour lui. Pour Torin. Pour quiconque j’ai envie d’aimer. Eirik est maintenant sous ma protection, et il se portera très bien sans votre aide ou votre stupide artavus.
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Il souleva ses lunettes de soleil, révélant ses yeux d’un bleu pur. Il avait perdu son espièglerie et me dévisageait avec une intense solennité. Enfin, il se détourna, une tristesse infinie dans le regard.
 
— Qu’y a-t-il ? demandai-je.
 
— Les règles, toujours les règles.
 
Il me regarda et sourit, mais ses yeux ne reflétaient aucune joie.
 
— Je veux ce que je ne peux pas avoir et j’éprouve un besoin que je ne devrais pas éprouver.
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— Maintenant, je sais quoi dire quand tes visions te rendront folle à lier, dit-il en déposant un baiser sur mon nez.
J’aurais dû me vexer qu’il me traite de folle, mais pour l’instant, je n’avais qu’une seule envie : être dans ses bras. Je m’agrippai à ses épaules et enfouis mon visage au creux de son cou avant d’éclater en sanglots.
Je le sentis bouger lorsqu’il se redressa, puis se leva. Sans vaciller, il m’emmena à l’étage. Il me déposa délicatement sur le lit avec d’infinies précautions. Pendant ce qui me sembla durer une éternité, il resta lové contre moi, ses bras autour de ma taille.
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— Je me demande s’il est conscient de la chance qu’il a d’avoir ton amour et ton dévouement désintéressé, fit Torin dans mon dos.
Je m’arrêtai et le dévisageai en ouvrant de grands yeux, stupéfaite par ses paroles. Il avait l’air triste.
[...]
— Je t’aime, Torin St James. Mais si tu doutes de mes sentiments ou si tu les compares avec ce que je ressens pour qui que ce soit d’autre, tu ferais mieux de courir aussi vite que tu le prétends, parce que quand je te rattraperai, tu le regretteras
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— Alors quand tu dis que tes sentiments te rendent faible, je me demande ce que les miens font de moi, parce que tu es toute mon existence. Ma raison de respirer. De sourire. De rire. De vivre. Tu m’as appris à ressentir à nouveau. À aimer. Tu m’as appris à faire confiance. Je peux enfin entrevoir un avenir bien plus épanouissant que mon infinie solitude. Tu me donnes une raison de me lever le matin.
Il eut un petit rire sans joie.
— Mais si jamais tu décidais que cette relation ne te convient pas, je te laisserais partir parce que, plus que tout, au-delà de ma douleur et de mes besoins, ton bonheur est primordial à mes yeux
[...]
— Chaque soir, quand je te laisse pour grimper dans mon lit froid, ça me fait mal. Je ne parle pas de frustration sexuelle. Le besoin de te tenir dans mes bras dépasse l’envie physique. J’ai besoin de respirer à travers toi. De te sentir. Chaque fois que tu me regardes dans les yeux et que tu me dis que tu m’aimes, je te donne une part de mon être. Mon âme se nourrit de mon amour pour toi. En t’embrassant, j’affirme ce que je crois au plus profond de moi : toi et moi, nous sommes faits pour être ensemble.
Il écrasa une larme sur ma joue.
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J'avais l'impression qu'il me manquait une partie de moi, comme si un trou avait été creusé dans ma poitrine et qu'il s'étendait un peu plus chaque jour.
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— Tu représentes tout pour moi, Frimousse. Rien n’a d’importance sans toi dans ma vie.
Ses yeux s’assombrirent et son regard balaya mon visage comme s’il cherchait à mémoriser chacun de mes traits.
— Je reviendrai. Pas pour le match. Pas pour les âmes. Pour toi. Je reviendrai pour te faire mienne, Raine Cooper.
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— J’aime beaucoup tes taches de rousseur.
La réalité me rattrapa et je reculai.
— Ne fais pas ça.
— Faire quoi ?
— Tout. Ne joue pas avec mes cheveux. Ne me fais pas de compliments. Et ne me regarde surtout pas comme tu viens de le faire.
— Comment ?
— Comme tu l’as fait il y a quelques secondes.
Un sourire malicieux recourba le coin de ses lèvres.
— Et tu n’as pas non plus le droit de me sourire de cette façon. Allons-y avant que je change d’avis.
Il secoua la tête et chaussa ses lunettes de moto.
— Tu es la fille la plus tenace que je connaisse.
Je lui adressai un sourire rayonnant.
— Merci.
— Ce n’était pas un compliment. Tu peux remplacer tenace par casse-pied.
— Pour moi, ça reste un compliment.
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— C’est qui, Écho ? demanda Roger.
— Le type sur qui elle craque. C’est à cause de lui qu’elle est aussi coincée en ce moment. Ce n’est pas comme ça qu’elle réussira à garder Écho, si tu veux mon avis.
Si un regard avait le pouvoir de tuer, il serait déjà réduit en bouillie.
— J’irai à cette rencontre, mais ne te sens surtout pas obligé de m’accompagner, abruti. Je ne veux pas que tu viennes. Et pour info, je ne craque pas sur lui, ajoutai-je en serrant les dents. Oh, et je n’ai plus besoin de tes services ce soir. Tu peux sortir, aller danser, je m’en fiche.
Je quittai les lieux, mais Andris me suivit de près.
— Attends, Cora, lança-t-il.
Je l’ignorai.
— D’accord, je te présenterai mes excuses, mais arrête de taper du pied comme Attila le Hun. Les filles sont censées marcher avec grâce.
Je m’arrêtai net et fis volte-face.
— Quand on dépasse les bornes avec quelqu’un, on est censé lui demander pardon au lieu de lui lancer d’autres insultes en pleine face !
Il leva les mains pour faire mine de capituler et eut un petit sourire taquin.
Je haussai les sourcils.
— J’attends toujours des excuses.
— Quand ai-je dépassé les bornes ? En te traitant de coincée, en disant que tu craquais pour un certain Grimnir ou en t’expliquant comment le garder ?
La colère me quitta aussitôt. J’étais incapable de rester fâchée contre lui, même s’il m’agaçait en permanence. Il était mignon et il s’était montré formidable pendant toute la semaine. Et puis, j’adorais ses sarcasmes.
— Laisse tomber.
— Alors j’ai besoin d’un câlin. Viens ici.
Il tendit les mains vers moi. En levant les yeux au ciel, je le serrai dans mes bras. Sa main glissa un peu plus bas.
— Si tu me touches les fesses, Andris, je te donne un coup de genou si violent que tes bijoux de famille remonteront dans ta gorge.
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