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4.25/5 (sur 119 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : 29/09/1985
Biographie :

Coiffeuse de formation, Enel Tismaé découvre l´écriture en coécrivant une fan fiction. Prise de passion pour cet art, elle se forme en continuant à rédiger diverses fan fictions puis décide de se lancer dans ses propres récits.

Après près de 3 années de travail où l´écriture est devenue un besoin quasi vital, elle choisit de tenter sa chance auprès des maisons d´éditions et son premier roman, Les temps d´une vie (2013), est finalement sélectionné par Nats Éditions.

L´écriture n´est cependant pas sa seule passion. Cette grande créatrice dans l´âme propose également une multitude de bijoux très souvent inspirés de ses propres lectures.

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Remise du Prix de la Mission Locale Picardie Maritime à Enel Tismaé pour son roman "Rencontre avec Chronos (Les temps d'une vie T1)". Salon du Livre d'Abbeville le 18 mars 2017 www.nats-editions.com blog.nats-editions.com Boutique de l'éditeur : http://www.nats-editions.com/produit/les-temps-dune-vie-t1-rencontre-avec-chronos/ Amazon.fr : https://www.amazon.fr/Rencontre-avec-chronos-Enel-Tisma%C3%A9/dp/3944812247/ref=sr_1_3_twi_pap_2?ie=UTF8&qid=1490009449&sr=8-3&keywords=enel+tisma%C3%A9


Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
— L’examen de passage est terminé ? demanda-t-il, moqueur. Je sais que je suis agréable à contempler, mais tout de même, tu vas finir par me faire rougir, là !
Il avait suffi qu’il ouvre la bouche pour que le charme soit rompu ! Rien n’était pire qu’un homme prétentieux pour horripiler Kayla au plus haut point !
— Mouais, t’es beau gosse, faut bien le reconnaître. Néanmoins, pour un type qui vit parmi les dieux grecs, je m’attendais à mieux !
Et v’lan, dans les dents ! pensa-t-elle en souriant, alors que Samuel avait perdu le sien !
_Je commence à comprendre pourquoi on t’a confiée à moi ! Après avoir côtoyé les chiens de l’Enfer, ils ont dû songer que tu allais être une mission à ma hauteur ! Tu baves et tu aboies autant qu’eux, semble-t-il ! Reste à savoir si tu mords ! répliqua-t-il avec un sourire en coin, fier de lui.
Kayla lui fit un doigt d’honneur, joliment agrémenté de sa bague-montre, et tourna les talons, folle de rage. Le sourire de Samuel s’élargit encore plus et c’est tout joyeux qu’il la suivit.
— On ne va pas s’ennuyer tous les deux, je le sens, murmura-t-il pour lui-même.

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Sam ne se fit pas prier pour répondre à son baiser. Il passa une main dans les cheveux de Kayla et appuya l’autre sur les reins de la jeune femme pour la maintenir au plus près de lui. Leurs langues se caressèrent mutuellement et, bien trop vite à son goût, Kayla dut reprendre son souffle, délaissant ce pauvre Sam qui avait bien plus d’endurance qu’elle.
— Je ne pensais pas t’avoir autant manqué, la charria-t-il en lui touchant la joue du bout des doigts.
— C’est l’hôpital qui se fout de la charité, là ! C’est bien ta langue qui était dans ma bouche, non ?
— Je ne faisais que répondre à ton initiative, moi. Tu te souviens quand j’affirmais que tu allais finir par succomber à mon charme ? Je crois que c’est fait, dit-il avec un haussement de sourcil amusé.
— Sam… ferme-la ! Ça vaudrait mieux, plutôt que de dire des âneries, râla Kayla en le repoussant pour s’enfuir.
Elle se dégagea et s’empressa de quitter les lieux d’un bon pas, mais Sam la retint par le poignet et la plaqua de nouveau contre le mur, tout contre son corps.
— Tu es aussi têtue que moi, susurra-t-il dans son cou.
— C’est pour ça qu’on s’entend si bien, rétorqua Kayla, le souffle court.
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À chaque endroit où il fixait son regard, il découvrait une femme en tenue de combat. Il déglutit en se disant qu’il devrait agir vite. Si les Amazones avaient l’occasion de donner l’alerte, il était cuit. Surpassé par le nombre, même un ange guerrier tel que lui ne pourrait s’en sortir indemne. Elles lui arracheraient les plumes et les lui feraient avaler avant qu’il n’ait compris ce qui lui arrivait !
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-Ma chérie, aimes-tu ce que tu vois dans le miroir ?
– Oui, maman.
– Te trouves-tu trop petite ? Trop maigre ? Trop moche ?
– Non, je m’aime comme je suis.
– Alors, c’est tout ce qui compte, mon ange. Toi et
seulement toi. Tant que tu aimes ton reflet, tu n’as rien
à changer.
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Elle sourit en pensant à lui. Ça ne faisait que deux heures qu’il était parti pour le bureau et il lui manquait déjà. Pendant un instant, elle fut tentée de l’appeler juste pour entendre le son de sa voix, mais se trouva idiote. Qu’imaginerait son merveilleux mari si elle lui téléphonait sans raison ? Elle préféra lui envoyer un SMS afin de ne pas le déranger s’il était en réunion. Mais visiblement, lui aussi songeait à elle, car il lui répondit immédiatement. Un message plein d’amour et de tendresse qui rendit la journée de Kayla encore plus belle.
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L’individu qui se tenait devant elle était bien un dieu, elle n’avait plus aucun doute là-dessus ! Il était immense, avec une carrure d’athlète et un visage à damner une sainte. Un grand front, un nez fin, des joues légèrement creuses recouvertes par une barbe fine. Des cheveux poivre et sel en broussailles, mais le plus troublant pour Kayla était ses yeux. Deux prunelles d’un bleu presque translucide se posèrent sur elle, et elle se sentit fondre. Il avait abandonné le bermuda pour un jean et une chemise en lin ouverte sur un buste bronzé par le soleil.
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Vêtu d’un simple jean noir sur une paire de baskets blanches, il aurait pu passer pour un étudiant. Pendant qu’elle le détaillait, elle sentit son regard sur elle et comprit alors qu’il la dévisageait également. Les prunelles bleues de Kayla croisèrent les noires de Samuel. Bien qu’habituellement forte, elle ne put s’empêcher, cette fois-ci, de baisser les yeux. Quelque chose chez lui l’intimidait, ce qui le fit sourire encore plus.
- L’examen de passage est terminé ? demanda-t-il, moqueur. Je sais que je suis agréable à contempler, mais tout de même, tu vas finir par me faire rougir, là !
Il avait suffi qu’il ouvre la bouche pour que le charme soit rompu ! Rien n’était pire qu’un homme prétentieux pour horripiler Kayla au plus haut point !
- Mouais, t’es beau gosse, faut bien le reconnaître. Néanmoins, pour un type qui vit parmi les dieux grecs, je m’attendais à mieux !
Et v’lan dans les dents ! pensa-t-elle en souriant, alors que Samuel avait perdu le sien !
- Je commence à comprendre pourquoi on t’a confié à moi ! Après avoir côtoyé les chiens de l’Enfer, ils ont dû songer que tu allais être une mission à ma hauteur ! Tu baves et tu aboies autant qu’eux, semble-t-il ! Reste à savoir si tu mords ! répliqua-t-il avec un sourire en coin, fier de lui.
Kayla lui fit un doigt d’honneur, joliment agrémenté de sa bague-montre, et tourna les talons, folle de rage. Le sourire de Samuel s’élargit encore plus et c’est tout joyeux qu’il la suivit.
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— Tu mens ! siffla-t-elle, hors d’elle et tentant de dominer la douleur qui lui vrillait la poitrine.
— Vraiment ? Tu devrais rentrer au manoir. Tu serais surprise de ce que tu y trouveras. Oh et, quand tu y seras, regarde sous mon lit, je t’ai laissé un souvenir, dit-il avec un clin d’œil. À bientôt, ma douce.
Il raccrocha, la salua, puis disparut en quelques secondes. Irina retourna au bar pour remettre le combiné en place et sa haine monta encore d’un cran.
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Elle s’attendait à ce qu’il réponde par la pensée, mais il se contenta de balancer sa grosse tête de gauche à droite puis elle retomba lourdement sur le matelas. Quelques secondes plus tard, il ronflait comme une locomotive lancée à plein régime. Puisqu’il dormait, c’est qu’il n’y avait rien à craindre. Kayla se coucha donc et décida de faire la même chose que son compagnon canin, le bruit de locomotive en moins.
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Alana, qui gardait le contrôle en toutes circonstances, ne pouffa pas, mais Irina la vit sourire franchement, avant qu’elle ne lui adresse un signe de tête.
— Angie, libère Edwin, vous aurez tout le temps de jouer plus tard.
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