Sofia, tu sais quoi ? En couchant toutes mes angoisses par écrit, je me rends compte que notre relation fictive m'aura permis de comprendre au moins une chose : ce n'est finalement pas tant le célibat qui me pèse, mais plutôt la terreur existentielle d'être à la traîne. Une peur qui m'empêche en permanence de souhaiter le bonheur des autres.