Parfois, dans les confins de la nuit, il m’arrive d’avoir peur, peur d’être sans lui, de ne plus sentir sa main, son épaule sur laquelle je m’appuie lorsque nous sommes en moto. Et alors, j’ai envie de hurler, mais je ne cède pas à ce sentiment. À chaque fois, la colère passée, je redeviens toujours celle que je suis : déterminée, fonceuse, opiniâtre, ultra-positive, qui n’a peur de rien, qui a tout connu et qui peut tout combattre.