Né(e) : 1971
Virginy L. Sam (un pseudonyme) est réalisatrice pour la télévision et le cinéma et auteure de pièces de théâtre, de chansons, de sketches et de romans
Elle est l'auteur du roman "Princesses" (Florent Massot, 2004) et de livres de jeux et de cuisine chez First, Solar et Gründ. Elle sort aussi aux éditions de la Marinière avec Marie-Anne Abesdris, la série "Journal d'une peste".
Elle enseigne également le théâtre à des enfants et des adolescents.
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Maëlys à la Comédie- Française, en juin 2015, a lu un extrait de "Le journal d'une peste" lors de l'évènement "Les petits champions de la lecture".
En fait; il était resté sur l'accoudoir d'un fauteuil comme d'hab.
La punition a été à la hauteur du mensonge (chez nous on est imaginatifs de père en fille) : j'ai été obligée de dormir pendant une semaine avec ses chaussures pleine de bouse au pied de mon lit.
(...)
La seule fois où, toi, tu as trouvé quelque chose de dur dans ta part de galette à la cantine, ça n'avait rien à voir avec une fève et ça n'avait surtout rien à faire là.
(p 165 )
Définition de Parents:
Personnes égoïstes qui font des enfants pour leur plaisir et qui oublient que leurs enfants ne sont pas leurs clones, et que, par conséquent, ils n'ont pas forcément les mêmes envies qu'eux!
Quelle est la pire situation que peut connaitre une fille qui déteste avoir des tas d'yeux braqués sur elle ?
Réponse :
Rejoindre une nouvelle classe au milieu de l'année scolaire.
Du haut de mes 12 ans, c'est la cinquième fois que je subis cette situation cruelle.
Mon avis sur le livre: ce livre est un livre très humoristique, j'ai adoré la façon de Fannette de nous transmettre ses techniques (que j'ai mis en pratique...), avec des dessins très bien illustrés et bien représentatifs par rapport au livre, je dirais même que les dessins sont ce qui m'a le plus attiré dans ce livre.
Dés que j'ai ouvert le livre, j'ai su que j'allais avoir un vrai moment de plaisir et de détente.
Laylla S.
(ça, c'est de la citation!)
Normandie : 1870
"Pendant plusieurs jours de suite des lambeaux d’armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n’était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avançaient d’une allure molle, sans drapeau, sans régiment. […] Les Prussiens allaient entrer dans Rouen, disait-on." [...] Il y avait cependant quelque chose dans l'air, quelque chose de subtil et d'inconnu, une atmosphère étrangère intolérable, comme une odeur répandue, l'odeur de l'invasion. Elle emplissait les demeures et les places publiques, changeait le goût des aliments, donnait l'impression d'être en voyage, très loin, chez des tribus barbares et dangereuses." La débandade de l'armée française, l'occupation prussienne en Normandie, le cortège des horreurs de la guerre de 1870 servent de motif à de nombreux contes et nouvelles de Maupassant où sa férocité s'exerce avec maestria dans la plus connue et réussie de toutes dont le titre est le sobriquet de l'héroïne principale : "Boule de Suif". Mais quel est l'état-civil de Boule de suif dans le récit ? 👩🦰👩🦰👩🦰
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