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J`ai lu [corriger]

A la demande d`Henri Flammarion en 1958, Frédéric Ditis créé la maison d`édition française J`ai lu, qui publie principalement en format poche. Sa ligne éditoriale est variée, allant de la littérature générale à la science-fiction, en passant par le roman policier et le roman d`amour. Les éditions J`ai lu publient chaque année plus de 400 nouveautés au format poche.

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Poltergeist : La vengeance des fantômes

J’avais lu ce livre -et vu le film - lorsque j’étais ado et je les avais adoré. La sauce à moi pris après toutes ces années.



C’est l’histoire d’une famille sans histoire dont la petite fille entend des voix via la télévision et qui va disparaître . Les fantômes, esprits frappeurs, le bien, le mal seront au centre du livre.



Ce livre est tiré du film et pas l’inverse ; il est donc assez fidèle au film. La relecture a été sympa, le style est très simple et certains passages qui se passent « dans une autre dimension » m’ont semblé longuets.



Malgré tout je suis contente d’avoir pu relire ce livre mais c’est là que je vois que mes goûts et mes envies ont évolué. J’adorais ce type de live ado et maintenant, mouais…



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L'exorciste

Votre enfant projette par la force de son esprit, ses doudous et poupées à travers la pièce et déplace les meubles renversant les objets au passage? Il fait pipi partout et possède un ami imaginaire ? Il vous tape ? Il vous manipule émotionnellement ? Il vous insulte en latin et sumérien d’une voix gutturale, lévite au-dessus de son lit et utilise des crucifix de manière inappropriée ? Alors le verdict est sans appel, il est probablement possédé. En tant que parent, on se sent parfois impuissant face aux émotions de nos enfants, alors imaginez vivre de ce que madame MacNeil va subir. Vous connaissez le film, je ne vais pas vous faire l’affront d’un résumé. Mais je vais vous dire ce qu’il n’y a pas dans le film, et qui rend le roman milles fois plus intéressant.



Attention, je ne retire pas les lauriers du film en tant que chef d’œuvre horrifique du genre, qui a traumatisé quelques générations, grâce aux talents d’un maquilleur hors du commun (Dick Smith), d’un bon réalisateur (William Friedkin) et d’une jeune actrice plutôt douée à l’époque (on n’a pas vécu sa vie, on ne peut pas savoir ce qui a merdé chez Linda Blair). Et des scènes mythiques moults fois parodiées telles que la projection de vomi vert ou une tête qui tourne à 360°.



Mais dans le roman de William P. Blatty, il n’y aura pas de vomi vert, ni de tête qui tourne, ni de descente d’escalier en Spider-walk, non car le roman n’en avait pas besoin, il use et re-use et re-re-use de psychologie pour nous terroriser, avec d’excellents dialogues, très malheureusement condensés dans l’adaptation, absolument captivants et riches en réflexion dans l’original.



Dans le roman, Regan est effrayante parce que tout le monde est désarmé face à son comportement destructeur ainsi que par son langage d’une vulgarité choquante. Imaginer vivre une telle épreuve avec votre enfant, représentation de l’innocence, qui s’inflige beaucoup de souffrances physiques, dont le corps se transforme pour devenir monstrueux, qui parle plusieurs langues, qui est violent et vulgaire et qui connaît tous vos secrets pour vous manipuler et vous provoquer sans la moindre empathie. C’est un enfant, ce n’est plus un enfant, qu’est-ce que c’est ?



Le roman offre un développement beaucoup plus profond des personnages. Les sentiments des protagonistes sont plus explorés. On ressent l’impuissance des adultes face à des phénomènes surnaturels, Chris MacNeil, la mère et sa culpabilité, son sentiment d’échec à protéger sa fille (les guides parentaux à la poubelle), le père Karras en lutte avec sa foi. Certains personnages sont plus développés le Père Dyer (absent complet du film), ami et confident du Père Karras, le détective Kiderman qui enquête.



On est sur un thème où la théologie est très présente, donc l’approche des questions philosophiques, l’introspection et les croyances sont plus poussées. Ce sont des passages que j’ai beaucoup appréciés.



Il explore également brièvement quelques maladies mentales comme le trouble dissociatif de l’identité (auparavant le dédoublement de personnalité), intensifiant le combat de la lutte intérieur et de la transformation, interrogeant sur la dualité de l’être humain. Mais également, ce qu’on pensait de l’Hystérie féminine, posant ainsi le doute sur la folie humaine ou le mal comme entité fantastique. Mais au fur et à mesure du récit, il devient évident.



L’Exorciste de William P. Blatty transcende les frontières du simple divertissement horrifique pour explorer les profondeurs de la psychologie humaine et certaines croyances métaphysiques. C’est une œuvre riche et captivante qui mérite d’être redécouverte.

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La toute petite reine

Au vu du nombre de critiques positives pour ce roman, je me suis lancée dans sa lecture. Malheureusement au bout de 150 pages j'ai abandonné...je n'ai pas accroché. L'histoire pouvait être intéressante mais elle traine en longueur, au fil des pages l'auteure se répète et peine a faire avancer l'histoire. Bilan je me suis ennuyée d'autant plus que je trouve la narration simpliste.
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