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Un peu hors-sujet puisque l'action se déroule en 1923 avant le coup d'état de Primo de Rivera. Je l'inclus cependant dans la liste parce qu'y figurent Lluis Campanys Jover, Manuel Casal Gomez, Antonio Escobar Huertas et Buenaventura Durruti.

Asturias. Les grèves de 1934.

Dali, à l'aube de la guerre civile. Dans l'Espagne des années trente, peu avant la guerre civile, un homme appelé Jonas se rend à Cadaquès, petit village côtier de Catalogne, pour y travailler chez le célèbre peintre Salvador Deseo. Petit à petit, il va s'apercevoir que les habitants de Cadaquès vivent dans la crainte du peintre excentrique et de sa femme Galatea, avant d'en comprendre la raison: pour trouver l'inspiration, Deseo a besoin de démembrer les villageois dans sa cave - il les utilise comme modèles pour ses toiles surréalistes! En s'inspirant - librement! - de la vie et de l'oeuvre de Salvador Dalí, Paco Roca lui rend un superbe hommage, tout en nous offrant un album splendide et totalement atypique qui plaira autant aux amateurs de bandes dessinées qu'à ceux du deuxième peintre le plus célèbre du monde.

El guionista Felipe Hernández cava firma junto al dibujante Miguel navia una obra que invita a mirar la guerra Civil española desde diversos ángulos Estampas 1936 agrupa un ramillete de historias que discurren en los primeros compases de la guerra Civil. Piezas de un mosaico cuyas formas se revelan a medida que avanza la lectura. Los republicanos si ti a dos de Madrid, las fuerzas golpistas, los agentes secretos, los extremistas de ambos bandos, los corresponsales extranjeros, las tropas marroquíes del ejército de Franco, campesinos, terratenientes, mendigos, mujeres, niños y, en general, las víctimas de los muchos bandos que emergieron al estallar el conflicto pueblan las páginas de este preciso artefacto narrativo que posa su mirada en los anónimos, los arrastrados por la historia.

La Guerra Civil española de Paul Preston, uno de los hispanistas de mayor prestigio internacional, es uno de los textos de referencia sobre el conflicto que asoló España entre 1936 y 1939 y que marcó el resto del siglo XX. Al reconstruir la compleja trama del enfrentamiento bélico con precisión y lucidez, constituye un libro imprescindible a la hora de abordar la violenta realidad que vivió este país. Ahora, cuando se cumplen ochenta años del golpe de Estado que desencadenó la guerra, el joven historietista José Pablo García adapta el libro de Preston al formato cómic ofreciéndonos una historia en imágenes que pretende aproximar a las nuevas generaciones el relato común de aquella tragedia colectiva, pero sobre todo contribuir a preservar la memoria de lo que ocurrió, algo imprescindible para el ejercicio cotidiano de la democracia.

Espagne, 1937, la ville de Guernica est ravagée par une attaque aérienne sans précédent. Ce crime de guerre entrera dans l'histoire comme le premier bombardement aérien de civils et comme la source d'inspiration pour Pablo Picasso d'un de ses tableaux les plus célèbres. Guernica de Bruno Loth, est une fenêtre ouverte sur la destinée de ceux dont la vie fut anéantie, en même temps que leur ville. Il met ce récit en parallèle avec le cheminement artistique de Pablo Picasso, qui voudrait exprimer sa rage de voir son pays ravagé par la guerre, menacé par le fascisme mais qui peine à trouver l’inspiration pour ce faire. Dans cet album, Bruno Loth nous plonge dans l’intimité des habitants et de l’artiste pour donner les clés d'une œuvre majeure de l'art.

Antesala de la segunda guerra mundial, la confrontación española y su revolución son el último eco europeo del ímpetu insumiso que nace en Rusia en 1917. Comienza en 1931, cuando la rebeldía popular derroca a la dictadura de Miguel Primo de Rivera e instaura la II República. Desde entonces, el pueblo intenta poner fin a la concentración de la propiedad y colectivizar la tierra, separar Iglesia y Estado, alfabetizar a millones de niños y adultos y reconocer la autonomía de las comunidades regionales. Una profunda transformación social que, aún con lamentables divisiones entre los revolucionarios, trastoca el orden eterno de los poderosos. Semejante osadía es aplastada ferozmente, a sangre, tortura y fuego por los dueños de España y su brazo armado. Grandes terratenientes, capitalistas, inversores extranjeros y el alto clero se encolumnan detrás de los generales Francisco Franco y Emilio Mola, jefes del golpe de estado del 18 de julio de 1936. Tras tres años de resistencia heroica –con asesinatos al por mayor, cárceles, campos de concentración, trabajos forzados, exilios…– la rebeldía republicana del pueblo español —milicianos obreros y obreras, campesinos, maestros, poetas, intelectuales…— cae luchando bajo la bota franquista; Hitler, Mussolini y algunas potencias “democráticas” contribuyen.

La Guerra Civil española contada de forma escueta, objetiva y rigurosa, sin clichés partidarios ni etiquetas fáciles, en textos de Arturo Pérez-Reverte e ilustrada de forma espléndida por Fernando Vicente. «Hace casi ochenta años, entre 1936 y 1939, en tiempos de nuestros abuelos y bisabuelos, una espantosa guerra civil tuvo lugar en España. Causó miles de muertos, destruyó hogares, arruinó el país y llevó a mucha gente al exilio. Para evitar que tan desoladora tragedia vuelva a repetirse nunca, es conveniente recordar cómo ocurrió. Así, de aquella desgracia podrán extraerse conclusiones útiles sobre la paz y la convivencia que jamás se deben perder. Lecciones terribles que nunca debemos olvidar.»

Tancrède ARDANT, gentleman, voleur et aventurier, propose son aide au comte Montaner de Vallejo afin de lui ramener Lya, sa fille, et son magot, tous deux cachés en Espagne. Mais le pays est à feu et à sang, la guerre civile y fait rage. Franchir les frontières, retrouver la jeune femme et mettre la main sur le trésor, en plein conflit, ne seront pas chose simple. D’autant que Tancrède ARDANT va trouver sur sa route Felipe Cuevas, Commissaire Politique de la nouvelle Armée Populaire, un homme puissant et déterminé à se venger du comte et de Lya…

26 avril 1937. Un déluge de bombes franquistes s’abat sur Guernica, emportant la femme et l’enfant de Tomka. En quelques instants, sa vie bascule. La loi de son peuple exigeant que les coupables soient condamnés à mort, le gitan rejoint l’armée républicaine, bien décidé à abattre les assassins de sa famille. Enrôlé auprès des « Gadjé », cet étranger qui n’a plus soif que de vengeance survit à la faim et à la discipline militaire qu’il juge absurde. Au siège de Huesca, il rencontre une belle et courageuse combattante basque, Amalur. Tandis que la passion qui naît aussitôt entre eux les aide à surmonter les épreuves et semble les protéger de la folie meurtrière des hommes, sur le chemin de l’exil, un ultime drame les attend… Grâce à des images puissantes et des dialogues vifs, Massimo Carlotto et Giuseppe Palumbo plongent au coeur d’un conflit, à un tournant de notre histoire contemporaine où pourtant, durant un instant, « les paroles de chansons et le sens des rêves ont eu une chance de devenir réalité », selon Carlotto. Faisant défiler les faits historiques en toile de fond, ils donnent un relief éloquent à leurs personnages, tous inéluctablement happés par l’engrenage infernal de la guerre civile espagnole. À travers l’histoire de Tomka, celle d’un syndicaliste noir américain fuyant le Ku Klux Klan ou encore celle d’un militaire marocain devenu chair à canon des franquistes, c’est la mémoire de tous ceux qui se sont battus contre le fascisme pour leurs idéaux qui se rallume.

La vie quotidienne pendant la guerre, excellent. Avec sa série en quatre tomes de "36-39 malos tiempos", Gimenez a voulu dessiner la réalité de la Guerre Civile du point du vue du peuple. Dans cette vision de la guerre civile, Gimenez ne s?occupe pas des généraux, des militaires et des hautes sphères du pays mais se centre sur le peuple de Madrid mais aussi celui des campagnes. Ce peuple qui meurt de faim, qui vit dans la peur et dans la survie. Au fil des pages, on découvre chaque personnage qui pourrait être un de nos aïeux, un de ceux qui ont tentés de vivre dans le froid et la peur. Avec un graphisme bien connu, Gimenez dessine sans tabous et montre la cruelle réalité, celle que les généraux de l'époque ne voulaient pas montrés. Au fur et à mesure des pages et des tomes, on apprend à connaitre la vie de chacun des personnages : ceux qui resteront fidèles à la République, ceux qui s?enrichiront avec le régime fasciste, ceux qui joueront double jeu? Chaque personnage est un espagnol moyen : que ce soit ce vieil épicier qui ne ferme jamais aux fins de s'enrichir, ces jeunes assoiffés de pouvoir qui deviendront franquistes ou ceux dont les valeurs seront par-dessus tout et combattrons Franco jusqu?au bout.

1938. En plena Guerra Civil, Madrid recibe a diario los bombardeos de la aviación nacional. Las bombas hacen carne en la capital. La rabia crece en los corazones de los milicianos y el sabor metálico de la venganza se extiende por sus gargantas, que gritan al unísono: « Venganza!». Un odio que tiene como objetivo a los antiguos militares que son vistos como el enemigo, como la quinta columna que amenaza a la República. El cainismo español recorre las páginas de esta obra, personajes que muestran los sentimientos más primarios en el hombre. Ojo por ojo y diente por diente, muertos por muerte. Un grito de terror recorre las calles Masacre, masacre!

A través de historias reales y testimonios sobre el genial poeta granadino, en esta novela gráfi ca descubriremos la imborrable huella que Federico García Lorca dejó en todos los que lo conocieron en Granada, Madrid, La Habana o Nueva York, incluyendo al propio padre del dibujante. Carlos Hernández y El Torres reconstruyen la fi gura de García Lorca a través de los ojos de aquellos que compartieron su vida... y su muerte.

Lorca.

'La voz que no cesa' es la nueva edición de la biografía en cómic del poeta Miguel Hernández, la historia de un humilde cabrero que quería ser escritor, un poeta que vivió una vida corta pero intensa de superación frente a las adversidades del establishment literario, la guerra y su miseria. Coincidiendo con el 75.º aniversario de su muerte, se añaden en la presente publicación varias escenas de la estancia del escritor en la cárcel, así como nuevas imágenes de su trágico final en el año 1942, que en la primera edición de 2013 de la desaparecida EDT no se incluían. Esta obra pretende ser un merecido homenaje y un necesario ejercicio de memoria histórica. También quiere rescatar la poesía, la bondad y la humanidad de un poeta que han retratado otros autores como Joan Manuel Serrat, quien ha escrito el prólogo con especial delicadeza.

En 1910 nacía en Orihuela Miguel Hernández Gilabert; tras unos años de estudios en el colegio jesuita de Santo Domingo, su padre decidió que sería más útil cuidando el rebaño de cabras de la familia. Pero Miguel entendió muy pronto que su destino era escribir versos y teatro. Con esa determinación empezó una larga lucha por hacerse un hueco en el panorama literario del Madrid de los años treinta, hasta lograr codearse con nombres de la talla de Pablo Neruda, Vicente Aleixandre, Maruja Mallo, Rafael Alberti o Federico García Lorca. Por el camino descubrió el amor y, tras varios desengaños amorosos, sería con Josefina Manresa con quien acabaría casándose. Miguel, que había sido criado en el entorno cultural-eclesiástico de la Orihuela de la época, fue descubriendo otras formas de pensar tras su integración en el ambiente madrileño y, al comenzar la Guerra Civil, tomó partido y compromiso con la República y con el Partido Comunista, convirtiéndose en uno de los principales poetas del período bélico y llegándose a ganar los apelativos de Poeta de la Revolución o Poeta del Pueblo. En 1939, acabada

Esta obra vuelve a los años de la Guerra Civil española, para comprobar cómo vivieron los españoles.

Une nouvelle femme fait son entrée dans la collection de bandes dessinées « Grands Destins de Femmes » : La Pasionaria ! Les deux auteurs, Michèle Gazier et Bernard Ciccolini, retracent la vie de Dolorès Ibárruri, mieux connue sous le nom de La Pasionaria, figure légendaire de la Guerre d'Espagne. Personnage complexe et obstiné, La Pasionaria, dont le surnom est une référence à la Passion du Christ, a mis son existence au service de ses idées et en a toujours payé le prix. Éclairant des pans parfois méconnus de son histoire, notamment les années qui précèdent et qui suivent la guerre elle-même, ce récit dessiné entend représenter la vie héroïque d'une femme que rien, a priori, ne destinait à devenir un tel mythe. De sa naissance en 1895, dans un milieu très modeste de Biscaye, province du Pays Basque espagnol, à sa mort à Madrid en 1989, en passant par un exil forcé de plus de trente ans en URSS suite à la victoire des forces franquistes, c'est un siècle de l'histoire espagnole, européenne et mondiale qui est donné à voir.

Par les dessinateurs Alfonso López (Silencios, la juventud del Capitán Trueno), Pepe Gálvez (Historias rotas: La guerra del 36 en cómic ), Joan Mundet (El capitán Alatriste) Sur Miguel Núñez González (1920- 2008), membre historique du PCE (Partido Comunista de España) et l?un des fondateurs du PSUC (Partido Socialista Unificado de Cataluña).

La impresionante y conmovedora historia de los 3.000 heroicos voluntarios estadounidenses que llegaron a España en 1937 para luchar contra el fascismo durante la Guerra Civil al lado del Gobierno de la República, elegido democráticamente.

Orwell est passé à la postérité grâce à 1984, qu'il a écrit en 1948, et à son invention prophétique de Big Brother, préfigurant, il y a soixante-dix ans, le contrôle des médias, Internet et la manipulation des données personnelles. Mais sa vie fut tout aussi passionnante que ses livres : elle montre un homme toujours en avance sur son temps, étudiant à Eton et flic en Birmanie, combattant de la guerre d'Espagne, antistalinien et journaliste – ses enquêtes firent d'ailleurs grand bruit. Pierre Christin se plonge avec délectation dans cette vie hors norme.

Ce récit du destin croisé de trois femmes (Fé, Esperanza et Caridad) est constitué de trois chapitres relatant les événements dramatiques majeurs survenus successivement en Espagne et en France, tels que successivement perçus par les trois héroïnes: la révolte des Asturies (1934), la fin de la Guerre civile espagnole (1938) et un raccourci de la défaite, de l?occupation et de la libération de la France (1939- 1945). Les principaux faits historiques sont fidèlement retracés, y compris pour des événements ponctuels souvent méconnus. Mais au delà de cette dimension historique, reste l?essentiel du récit : l?amitié de ces trois femmes combattant dans la guerre, comme dans leur vie quotidienne... La liberté romanesque exercée dans le prologue et l?épilogue fait aussi intervenir Albert Camus, à deux moments clés de son existence.

18 juillet 1936 : le jeune gouvernement espagnol des républicains, issu de l'alliance des partis de gauche, est renversé par les troupes du général Franco, plongeant le pays dans trois années de guerre civile puis presque quarante de dictature répressive. Pour Isabel, courageuse couturière, ce sera également le début d'une vie nouvelle, faite de lutte et de résistance. Proche du syndicat anarchiste CNT qu'elle a rejoint quelques mois auparavant, elle va devoir prendre la fuite au côté de son futur mari, Jaime, l'un des leaders de leur cellule locale. Après "Les guerres silencieuses", au sein desquelles Jaime Martin se penchait sur la jeunesse de son père au coeur de la décolonisation espagnole, c'est maintenant à la jeunesse de ses grands-parents qu'il dédie ce dense roman graphique. Conté depuis les yeux d'Isabel et Jaime, "Jamais Je n'aurai vingt ans" est une plongée dans la guerre d'Espagne avec la sensibilité et l'efficacité graphique inhérentes au travail du talentueux auteur ibérique.

Obra centrada en la historia de su propio suegro, Pablo Uriel, quien comenzó a trabajar como médico en el pueblo riojano de Rincón de Soto cuando estalló la Guerra Civil Española

Suite de Un medico novato.

Hommage d'un fils à son père, Fransico Gallardo, combattant républicain rentré en Espagne. Textes, dessins, et documents personnels en fin de volume.

Les souvenirs de Julio Ribera.

En plena ofensiva fascista, en algún lugar del Ebro, un anciano parece anclado a un puente, incapaz de reaccionar. No se sabe si espera la muerte o huye de ella. Se ha visto forzado a abandonar su pueblo natal y lo ha perdido todo por culpa de la barbarie de la guerra. Mientras los republicanos evacúan el lugar, el narrador, un soldado encargado de reconocer las inmediaciones, se dirige a él. En una situación tan efímera como el encuentro en un puente entre un anciano y un soldado, Hemingway condensa la trayectoria de toda una existencia. Perfila, sin dibujarla, la línea de una vida anterior y sugiere, sin contarlo, lo que está sucediendo en ese mismo instante y las posibilidades que emergen de una vida futura -o truncada-. Sin embargo, esta prosa sumergida se erige como la parte más importante de la historia. Más aún que la punta del iceberg: en apariencia, un relato sencillo sin acción; o el retrato de un héroe duro y resistente, elegante en el sufrimiento, como los que le gustaba retratar en sus obras. Hemingway compuso este relato cuando trabajaba en España como corresponsal durante la Guerra Civil, a partir de una noticia que envió por cable el 17 de abril de 1938, Domingo de Resurrección. El viejo del puente vería la luz ese mismo año, en forma de relato y no de crónica, primero en la revista Ken Magazine, y poco después, como parte del libro Cuarenta y nueve primeros cuentos. El epílogo de Ian Gibson, especialista en historia contemporánea, ofrece de forma precisa y rigurosa la contextualización de los hechos que subyacen bajo el cuento.

El 17 de Julio de 1936 en España comenzó un conflicto bélico y social con una duración de 2 años 8 meses y 15 días. La Guerra Civil. Los datos apuntan a más de medio millón de muertos. Basado en hechos reales, y sobre el escenario de la ciudad de Barcelona, este relato cuenta la historia de como Vicenç Segarra, un ciudadano común, dedicado a su familia, su trabajo y su afición a la lectura, vivió ese fatídico suceso. Tenía 35 años cuando todo empezó?

Les combats qui déchirent les habitants de la ville de Martillo.

Une bande dessinée parue à l'origine de 1956 à 1957 dans "Mireille" un journal pour les jeunes filles.

Un ouvrage remarquable sur la vie des enfants dans les centres de l'assistance publique sous le régime de Franco.

Quand la vie d'une fillette de six ans et demi est bouleversée par la guerre... En pleine guerre civile espagnole, Lola va devoir apprendre à se débrouiller seule lorsqu'elle voudra rejoindre ses parents. Denis Lapière et Ricard Efa signent un récit poignant en choisissant de raconter les ravages de la guerre du point de vue d'une enfant.

La guerre civile espagnole vue par un jeune orphelin.

Manuel Pitarch García tenía veintiún años cuando estalló la Guerra Civil en España, sin pensarlo dos veces decidió alistarse como voluntario en el bando republicano. Después de pasar varios meses en Madrid fue destinado a Guadalajara, donde se incorporó en la 49.ª Brigada Mixta del Ejército Popular. En este cómic Manuel le cuenta a su hijo cómo vivió la guerra, todos los lugares por donde pasó, las batallas en las que estuvo presente, y, por supuesto, un buen puñado de anécdotas que nos ayudarán a entender una parte del conflicto menos conocida para quienes tenemos la suerte de no haberlo vivido.

Durruti, Cipriano Mera, Garcia Oliver, Simone Weil, Soledad Estorach, Casilda la milicienne, Felix Likiniano? Les personnages d'Au c?ur du rêve sont des c?urs révolutionnaires. Des c?urs libertaires. Tout au long de l'été et de l'automne 1936, ces c?urs, hommes et femmes, ont avançé par une faille inconnue de l'histoire qui aurait bien pu changer le monde. Traversés par des conflits entre les idées et les nécessités guerrières, par les euphories des victoires et le désespoir des défaites, les coeurs de cette histoire sont les signes d'une formidable dignité, de la passion pour la liberté et la justice, du désir irréductible de construire un monde nouveau. Par delà le fond, il y a du Tardi dans le dessin en noir et blanc.

Un jeune républicain en cavale trouve refuge dans un phare.

Tante Wussi, la tía-abuela de la guionista de este relato, describe en primera persona una dura historia familiar entre la Guerra Civil en Mallorca y la Segunda Guerra Mundial en Alemania. La pequeña Wussi abandona tierras germanas junto con el resto de su familia a comienzos de los años del imparable ascenso del nazismo para instalarse en Mallorca, donde se dedicarán a la fotografía. Tras unos años felices, estalla la contienda armada española, que obliga a Wussi y parte de sus allegados a regresar a Alemania sin saber que allí les espera una situación aún peor, dado el origen judío de su madre. Las discriminatorias leyes raciales de Núremberg afectan también a las hermanas mayores de Wussi establecidas en Mallorca, desembocando en dramáticas situaciones... Esta novela gráfica dibujada por el autor de La casa azul (Astiberri, 2014), que muestra una realidad entre emocionante y aterradora, se alzó, ya como proyecto, con el premio Ciutat de Palma, galardón que les permitió dar forma a la novela gráfica que ahora ve la luz. Los autores, buscando el máximo rigor en la recreación de los hechos y de los protagonistas, se embarcaron en un laborioso proceso de documentación: Katrin Bacher con continuas entrevistas con su tía-abuela, y Tyto Alba, rebuscando en libros, en el gran archivo fotográfico de la familia Orsinger, en el archivo histórico de la ciudad alemana de Karlsruhe y visitando diversos parajes alemanes y mallorquines.

Une biographie romancée de Tina Modotti centrée sur son séjour en Espagne pendant la guerre civile.

Dimanche 29 août 1937, à Brest. Un sous-marin républicain espagnol fait surface au milieu des eaux brumeuses, en rade du port militaire. Des réparations sur l?engin sont nécessaires. Sous la houlette de l?affreux Troncoso, un commando franquiste s?organise à toute allure dans le but de conquérir le navire. Proches des phalangistes, ils savent pouvoir s?appuyer sur les fascistes locaux. La belle Mingua leur est associée. Collaboratrice de charme, elle est prête à tout pour optimiser la réussite de l?entreprise nationaliste. Mais les forces de gauche, communistes et anarchistes en tête, sont décidées à faire front et résister. « No pasaràn ! Mort au fascisme ! » Férus de littérature et d?histoire, les auteurs bretons Kris et Bertrand Galic ont écrit ensemble une fiction pour raconter cette histoire mal connue aujourd?hui. Ils se sont appuyés sur l?essai Nuit franquiste sur Brest de l?historien Patrick Gourlay, mais ils ont aussi ranimé les souvenirs des vieux brestois pour écrire au plus près d?une réalité tue, arpentant le port militaire, les rues de Brest et retournant sur les lieux emblématiques de cette bataille mêlant espions, fascistes et extrême gauche.

Une série ,FAFL, qui raconte les aventures d'un pilote, Gabriel Messine, pendant la deuxième guerre mondiale, à travers l'Europe et l'Afrique du Nord (de la guerre civile espagnole à la bataille d'Angleterre, en passant par la résistance en France).

Espagne 40.

Claude Vincent a choisi d'aller pour les vacances sur une plage du nord de la France.C'est la que l'Histoire lui donne rendez vous.Claude va croiser les fantomes de ces heros qui organiserent une chaine de solidarite envers les republicains espagnols.

Le destin d'un militant anarchiste.

Francia, 1953. Picasso, con 72 años de edad y afincado en la Costa Azul, es desde hace tiempo el artista más reconocido del siglo XX, un genio siempre activo que crea de forma compulsiva. Pero, atormentado por la situación de una España dominada por la dictadura franquista, y recordando que nunca pudo combatir en la Guerra Civil, tiene la siguiente idea: ¿Y si a través de la historieta pudiéramos someter a la tenaz realidad y transformarla en lo que debería haber sido? En Picasso en la Guerra Civil Daniel Torres, uno de los autores más relevantes del cómic español, nos ofrece una cautivadora historia sobre los límites de la ficción y su poder para transformar la realidad.

L'opération secrète des franquistes pour détruire le chef d'oeuvre de Picasso : Guernica. 1937... La guerre d'Espagne entre dans sa période la plus sanglante. En réponse aux bombardements incessants des populations civiles par les troupes fascistes alle- mandes et italiennes, Picasso, le peintre, mondialement reconnu, compose à la demande du gouvernement républicain espagnol une oeuvre monumentale : Guernica.

Pratt revient sur les épisodes importants de la vie de Saint-Ex, dont la guerre d'Espagne.

Robert Capa dresse le bilan d'une vie passée à couvrir les champs de bataille du monde entier. Loin de l'image de tête brûlée qui lui colle à la peau et qui a fait de lui une légende du photojournalisme, il se raconte sans fard et dévoile la blessure originelle qui a décidé de toute son existence...

18 juillet 1936. Barcelone se prépare pour les Olympiades populaires, réponse pacifiste et antifasciste aux JO de Berlin. Mais l'ambiance n'est pas à la fête : l'armée nationaliste s'est soulevée contre la République. À 21 et 24 ans, Hans Namuth et Georg Reisner ignorent encore qu'ils ne sont qu'aux premières heures d'une longue guerre fratricide qu'ils vont couvrir, armés de leur seuls appareils photos. Habitués des reportages en immersion, Raynal Pellicer et Titwane livrent un portrait tout en humanité de deux photographes plongés dans la tourmente de la guerre d'Espagne. Un récit poignant aux accents tristement actuels.

Dover W. Smith dit Winston : né à Douvres en 1903, écrivain et journaliste anglais. Décédé accidentellement en France en 1984. Après avoir étudié à Eton, il part en Chine en pleine tourmente révolutionnaire. Compagnon d'armes de George Orwell sur le front d'Aragon en Espagne, agent du MI-6 pendant la Seconde Guerre mondiale, la vie et l'oeuvre de Smith sont imprégnées des grands bouleversements de la première moitié du XXe siècle. Au début des années 50, il séjourne en Afrique équatoriale, avant de s'installer en Californie où il devient scénariste pour Hollywood. Il se retire dans les Alpes françaises au début des années 70 où il disparaîtra au cours d'une promenade en juin 1984. Smith laissera une autobiographie inachevée dans laquelle il se livre sans concession (Une vie, Gallimard, 1985). Cette autobiographie, Christian Perrissin la découvre chez un bouquiniste, et la première lecture est un enchantement. Une vie est l'adaptation de cette autobiographie. Elle relate une de ces existences comme ont pu l'être celles d'Hemingway, Graham Greene ou Kessel... Une formidable génération d'écrivains qui vivaient le plus intensément possible, aux quatre coins du monde, pour ensuite pouvoir livrer à leurs lecteurs des récits qui n'auraient pu être écrits par aucun autre. Une existence hors du commun qui devient, grâce à Christian Perrissin et Guillaume Martinez, la peinture de toutes les espérances d'une époque

1945. Les Alliés marchent sur les camps et le monde découvre l'horreur nazie. À Dessau, en Allemagne, une rescapée reconnaît sa délatrice et la gifle. Henri Cartier-Bresson, alors sur place, capture ce geste dans une image qui deviendra emblématique. Avant d'accompagner les Américains dans la Libération, puis, plus tard, de cofonder l'agence Magnum, Henri Cartier-Bresson était déjà un photoreporter majeur du XXe siècle. Fait prisonnier en 1940, il parviendra à s'échapper en 1943 et reviendra témoigner en images avec une précision du geste, une science du moment, un talent du cadrage qui feront de lui, selon les mots de Pierre Assouline, "L'oeil du siècle". Tout à la fois roman graphique et biographie, Henri Cartier-Bresson, Allemagne 1945 raconte "l'homme libre", profondément humaniste, qu'était Cartier-Bresson. L'ouvrage est accompagné d'un portfolio et d'un dossier documentaire rédigé par Thomas Todd, spécialiste de l'oeuvre du photographe, sous l'égide de la fondation Cartier-Bresson. Le format des albums de la collection "Aire Libre / Magnum Photos" a été entièrement repensé : format classique d'un roman graphique et plus de densité (90 pages de BD et plus de 40 pages de portfolio et de dossier).

Robert Capa et Gerda Taro.

La llegada de los voluntarios de las Brigadas Internacionales representó, para la República Española, la solidaridad de la ciudadanía frente a la falta de ayuda de sus naciones de procedencia.Cuando el gobierno los licencia, algunos vuelven a sus casas. Otros no pueden regresar por estar perseguidos en sus países de origen, convirtiéndose en apátridas. Markus Babinsky uno de esos brigadistas, enrolado en las filas de la Resistencia Francesa, se verá obligado a volver a España para cumplir una nueva y peligrosa misión. La Pitillera Húngara es una historia bélica de compañerismo, pero también de suerte. Sus protagonistas recorren los escenarios de la Guerra de España y de la II Guerra Mundial, pero no será la preparación y el adiestramiento militar, sino el azar quien dicte vida o muerte.

Naissance d’un agent double Moscou, 1988. Exilé en Russie loin de son Angleterre natale, Kim Philby retrouve un vieil ami : il lui raconte comment est né sa vocation pour l’espionnage. Enfant timide issu d’une famille bourgeoise, diplômé de Cambridge, rien ne le prédestinait en effet à trahir son pays pour la cause soviétique. Tout commence en 1930. Alors que Hitler est en pleine ascension, Philby s’engage dans la lutte contre le fascisme. Devenu communiste, il est recruté par les services de renseignements russes et sera désormais prêt à tout pour défendre ses convictions… « Pour trahir, il faut d’abord appartenir. » Kim Philby

Espagne 1938. Un déserteur, officier de la Légion étrangère, tente de sortir du sanglant guêpier de la guerre civile espagnole. Le capitaine Lacombe se la coule douce à Alger, avec la femme de son colonel. Mais il se fait pincer et ça dégénère salement. Le voici obligé de quitter l'Algérie clandestinement pour Marseille. La traversée de la Méditerranée vire au cauchemar quand son bateau croise un navire italien à destination de l'Espagne pour ravitailler les troupes de Franco. Déserteur ou pas, le voici accusé d'espionnage et débarqué directement dans les geôles franquistes, dans l'attente d'un jugement expéditif. Heureusement pour lui, il n'y a pas que les troupes du Caudillo à avoir la gâchette facile. Un commando de républicains prend la prison d'assaut, et le voici embarqué dans la guerre civile. Les brigades internationales lui ouvrent leurs bras, au moment où les soviétiques commencent à éliminer les anarchistes et les non-staliniens..

Brigades internationales.

?A punto de embarcar en avión desde Buenos Aires hacia Ushuaia, pienso en las tres horas de retraso que sufrimos, el amontonamiento de turistas en el aeropuerto, la mezcla de idiomas: portugués, hebreo, castellano. Pienso en el fastidio que siento en la espera y la ansiedad por realizar el vuelo hacia el fin del continente para pasar una semana investigando. De pronto, surge la inevitable comparación: Simón Radowitzky viajó en el fondo de un barco de carga a vapor entre otros miserables, tragando el polvo de hulla, el humo que se filtraba desde la chimenea al exterior y las cadenas y la barra de hierro fijada a sus pies. Pienso en los 25 días de vaivén en el mar a oscuras; el sudor, mezcla de adrenalina y mugre, y la espera miserable hasta llegar al presidio de Ushuaia. Simón Radowitzky pasó 21 años encerrado en una jaula. ¿Cuánto puede resistir un hombre por un ideal? ¿Qué hace que éste lo haga invencible? Simón Radowitzky fue de esas raras anomalías que trascendió el mito para volver a ser, luego de miseria, horror e ignominia, lo que quiso: un hombre común y corriente que luchó por la justicia?. Ésta es su historia.

Hiver 1936. L'Espagne est en pleine guerre : les Républicains s'opposent aux Nationalistes de Franco. Désireux de soutenir le gouvernement espagnol, Staline fournit plusieurs chasseurs de type « Mosca » aux Répubilicains. Roman Kapulov est l'un des aviateurs envoyés par la Russie et remporte victoire sur victoire, ce qui lui vaut le surnom d' « El rey de las Moscas ». Intervenant alors que des religieuses se font brutaliser par des soldats espagnols, Roman rencontre la belle Lulia Montago, jeune milicienne que sa réputation précède. Il ne faut qu'un seul regard pour que Roman et Lulia tombent éperdument amoureux. Mais cette Espagne n'est certes pas propice à l'amour : entre trahisons et complots, intérêts stratégiques soviétiques et nazis, on ne sait plus très bien sur qui on peut réellement compter... Les sentiments de Roman et de Lulia seront-ils assez forts pour pouvoir survivre à l'horreur de la guerre ?

L'engagement d'un jeune militant anarchiste français dans les brigades internationales.

Brigadistes et Espagnols rejoignent les troupes républicaines en 1937.

La guerre est un sport exigeant, qui nécessite un engagement total. Le c?ur gonflé, le souffle haletant, sept athlètes choisissent l?épreuve du feu. Au nom de la liberté? Quel genre de médailles récolteront-ils à l?arrivée ? Barcelone, juillet 1936. Pour contrer les Jeux olympiques de Berlin et la propagande nazie déjà planifiée, des sportifs du monde entier investissent la capitale catalane et organisent leur propre cérémonie. Mais, à la veille de l?inauguration, Franco s?empare du pouvoir. La guerre d?Espagne débute? Parmi les athlètes pris au piège, sept hommes et femmes font le choix des armes. D?origines diverses mais d?idéaux communs, ils vont s?unir à la vie, à la mort? et à l?amour aussi.

L'agent secret Fridman et l'Espagne en guerre.

Espionnage.

Boro est de retour, canne à la main, Leica au point et en cette année 1936, il va avoir fort à faire ! En France, le Front populaire émerge et l'extrême droite se déchaîne. En Espagne c'est le début de la guerre civile.

A bord de la barque paternelle, chargée d'armes trouvées chez un salopard d'extrême droite, Mattéo et ses deux amis fuient Collioure et la gendarmerie. Ils débarquent à Barcelone dans la confusion : les armes, de fabrication italienne, les rend suspects aux yeux soupçonneux des républicains. Très vite innocentés, Mattéo, Amélie et Robert proposent leur "bonne volonté combative". Combattre ? D'accord. Contre qui ? C'est facile. Mais avec qui ? Socialistes ? Communistes ? Anarchistes ? C'est là où les choses vont singulièrement se gâter. Robert, le communiste, et Mattéo, l'anarchiste, vont diverger dans le choix de leur unité combattante, et c'est leur amitié qui va faire les frais de cette divergence. Robert va partir de son côté, tandis que Mattéo et Amélie vont se retrouver à attaquer le village d'Alcetria, choisi par Mattéo. Alcetria ? Pourquoi Alcetria ?

écit romanesque de haute tenue, composé de quatre époques, Mattéo raconte la destinée singulière d’un homme qui, de la guerre de 14 à la Seconde Guerre mondiale, en passant par la révolution russe, le Front Populaire et la guerre d’Espagne, traversera époques tumultueuses et passions exacerbées... Finalement, comme malgré lui, Mattéo sera de toutes les guerres, celles qui auront embrasé les premières décennies du XXe siècle en mettant à mal son pacifisme militant, comme celles qui meurtriront son cœur d’amoureux éconduit.

Récit romanesque de haute tenue, composé de six époques, Mattéo raconte la destinée singulière d'un homme qui, de 1914 à 1940, de la guerre de 14 à la Seconde Guerre mondiale, en passant par la révolution russe, le Front Populaire et la guerre d'Espagne, traverse époques tumultueuses et passions exacerbées.

Louis la Guigne brigadiste.

1938. Après 8 ans passés au Congo, Thomas revient dans ses Ardennes natales. Alice, son amour de jeunesse, est maintenant la mère des enfants de son frère Charles. Déchirée entre les rexistes pro-nazis de Léon Degrelle et ses querelles intestines, la Belgique peine à se déterminer au sein de cette Europe trouble, agitée par les conquêtes hitlériennes et la guerre d'Espagne. Une page sombre de l'Histoire, au prisme de la vie d'un village des plus tranquilles... en apparence!

Suggestion de Carlos.

Suggestion de Carlos.

Comme tous les ans, je passais mes vacances, entre amis, sur la Costa del Sol. Mon emploi du temps était très simple : journée à la plage, lecture et poisson frit. Jusqu?à cette promenade sur la Promenade des Canadiens. Alors que nous nous interrogions sur l?origine de ce nom, un vieil homme s?est adressé à nous en ces termes : « Elle est belle cette promenade? Ce fut pourtant une route de la mort. » Et désignait une plaque « à la mémoire du soutien du peuple canadien, de Norman Bethune, aux fugitifs de Málaga en février 1937 ». Ce fut le point de départ d?une enquête qui nous a conduits à l?un des plus grands drames humains de la guerre d'Espagne.

L’incendie qui éclaira l’Amérique. Diane Hunter, la jeune journaliste canadienne partie à la recherche des descendants du vieil indien Ahota aux dons hors du commun, est faite prisonnière par les nazis alors qu’elle tente de sauver le premier d’entre eux, Peter Braun. Libérée par ce dernier du camp de Dachau, elle poursuit sa mission à travers une Europe au bord de l’explosion et retrouve le second descendant sur les barricades de la Guerre d’Espagne à Barcelone. Mais c’est sans compter la présence des Chevaliers Spirit d’Hitler envoyés à Madrid pour accélérer l’entrée en guerre de l’Espagne...

It’s the Spanish Civil war. Four soldiers dive into a pit to wait out the bombs, and it turns out it’s two on two, a Nazi and an Irishman fighting for the same side, a Spaniard and a socialist Brit. But they’re all there for the same purpose – shelter – and besides, no one has any weapons, so a quick truce is agreed upon for the night. Some time passes, and then, as humans are ought to do, people get to talking and telling their tales. The German starts, and Ennis uses this as a method for quickly getting the “but why are they all in this particular hole?” question out of the way, providing enough info for the reader to accept it and allow it, via one of the smoothest executions of “thanks for that info but that’s not what I asked you” in narrative history. And thereafter we get four well-paced, very different experiences that turned men into soldiers. The idealist, the fighter, the follower, and then the voice of reason. All are valid, all feel absolutely real, and though Ennis can’t avoid some pokes here and there, because they are delivered by the appropriate parties (different nationalities, different sides of a war) they just liven the story and enrich these character’s realism. It all just works in wonderful concert, and summarizes each point of view the War Story books have covered in a compressed format that nonetheless feels more informed and patient than some of the other entries in the series.

Suggestion de Chirimoya.

Un ouvrage collectif sur Hitler, les camps et Mathausen.

La déportation des Espagnols à Mauthausen.

Comme beaucoup de ses camarades déportés dans le camp de Mauthausen, Francisco Boix ne pensait qu'à survivre à ce cauchemar éveillé. Mais lorsqu'il croise le chemin du commandant Ricken, esthète nazi des plus pervers, qui prend plaisir à photographier l'horreur, le jeune homme comprend qu'il tient là un témoignage unique. A condition de parvenir à faire sortir les photos du camp... L'histoire vraie d'un témoin à charge du procès de Nuremberg, et de son combat pour la vérité et le souvenir.

La historia de los 9.300 españoles cautivos en campos de concentración nazis. «Antonio Hernández Marín pasó cuatro años y medio encerrado tras las alambradas nazis de Mauthausen. Más de cinco mil quinientos españoles solo pudieron abandonar los campos de la muerte de Hitler a través de las chimeneas de los siniestros crematorios, convertidos en humo y cenizas. La historia de todos ellos fue enterrada por el franquismo y olvidada, después, por nuestra democracia. Para recuperar la Memoria de estos hombres y mujeres, entre enero y mayo de 2015 Antonio Hernández Marín resucitó en Twitter como @deportado4443; un portavoz de todos sus compañeros que narró minuto a minuto, tuit a tuit, lo que iba ocurriendo en el campo de concentración de Mauthausen. Ese agujero virtual en el tiempo cautivó a cerca de cincuenta mil internautas que siguieron con emoción su relato. Poco después de que terminara de narrar su historia, Ioannes Ensis contactó conmigo para proponerme ilustrar los tuits que había ido leyendo durante aquellos tres meses y medio. Su objetivo era contribuir a evitar que las tristes peripecias de estos héroes y heroínas cayeran en el olvido. El resultado final es esta obra. Un trabajo hecho desde el más absoluto rigor histórico, sin margen alguno para la invención. Todo lo que se muestra en estas páginas se basa en el testimonio de los pocos supervivientes y en las pruebas documentales existentes. El fruto son unas magníficas ilustraciones, llenas de emoción y de sentimiento, que reflejan todo el horror que sufrieron nuestros deportados a manos de los sádicos miembros de las SS.» Carlos Hernández de Miguel

Siete mil españoles dejaron su vida en Mathausen. Paco Aura, fiel al juramento que realizaron los supervivientes, según el cual no permitirían que su historia cayese en el olvido, da una conferencia ante un auditorio abarrotado. A partir de sus recuerdos se narra las penalidades de los republicanos españoles: el paso por la frontera, los campos de refugiados, la línea Maginot, la huida a Suiza... pero nada, ni siquiera estar curtido en el campo de batalla, le había preparado para lo que iba a venir: Mathausen. Allí los prisioneros entonan una canción, teñida de nostalgia y esperanza. Su título: "Esperaré siempre tu regreso".

Entre 1936 y 1939 se desarrolló en España la que se denominaría, de forma tan poética como alejada de la realidad, la última guerra romántica. Atrapando a los participantes no por ideología, sino por ubicación geográfica, fue un preludio de lo que muy poco después se desencadenó a nivel mundial. Jordi Peidro reconstruye en Aquella guerra que sufrimos ese momento histórico a partir de testimonios reales, de tal forma que cobra vida una narración caleodoscópica, rica en puntos de vista de toda índole. Conocemos así desde el frente hasta la retaguardia: se describe el proceso de socialización de las industrias, los bombardeos, los alistamientos, la llegada de ayuda internacional, las purgas y asesinatos, la hambruna, los hospitales, todo ello retratado con un honda humanidad. Vuelve el autor de Esperaré siempre tu regreso con una obra que aporta un enfoque nuevo a nuestra historia. El libro se completa con 12 páginas de extras: dos artículos sobre los hechos narrados que aportan información adicional, un conmovedor testimonio de la Guerra Civil en primera persona, una galería fotográfica con imágenes de la época y un epílogo del autor en el que recapitula sobre el proceso de creación de esta obra.

La mythique Nueve.

La retirada et les camps de concentration français.

Exil du cinéaste aux Etats-Unis

Retirada et camps de concentration français.

Retirada et camps de concentration français. Dessins de Josep Bartoli.

Aurel, Jean-Louis Milesi, Audrey Rebmann D’après le film Josep de Aurel, sur un scénario de Jean-Louis Milesi Février 1939. Complètement submergé par le flot de Républicains fuyant la dictature de Franco, le gouvernement français parque ces Espagnols dans des camps de concentration où beaucoup d’entre eux vont périr faute de soins et de nourriture. Dans un de ces camps, deux hommes, séparés par des fils de fer barbelés, vont se lier d’amitié. L’un est gendarme, l’autre est Josep Bartolí (Barcelone 1910 - New York 1995), combattant antifranquiste et dessinateur.

Déroutée par la soudaine capacité de sa mère, pourtant sujette à des trous de mémoire, à parler espagnol, Nathalie s’interroge : pourquoi veut-elle se faire appeler Dolorès ? Et d’où proviennent ses cauchemars persistants dans lesquels se côtoient les fascistes, Franco et un mystérieux bateau ? Pour répondre à ces questions, Nathalie décide d’enquêter sur le passé de sa mère, en Espagne. L’occasion pour elle de découvrir, et de nous faire découvrir, l’histoire de ce pays et les profonds changements qu’il a connus au cours du siècle dernier... Du 28 janvier au 15 février 1939, plus de 500 000 républicains espagnols tentent de fuir Franco et la guerre civile. Parmi eux, au moins 70 000 enfants atteindront la France. Est-ce là l’exil forcé que connut Marie, la mère de Nathalie avant son arrivée à l’orphelinat de Montpellier ? Un one shot sensible et terriblement actuel, construit comme un passionnant jeu de piste

Verdad a huit ans. Elle vit avec sa grand-mère dans un petit village des Pyrénées. De sa mère, elle sait peu de choses : essentiellement, qu’elle avait rejoint Monte Verità, en Suisse, sur les rivages du lac Majeur. Monte Verità, une communauté anarchiste et matriarcale où, au début du XXe siècle, quelques idéalistes, désireux de fuir la frénésie des villes et de se rapprocher de la nature, pratiquaient le végétalisme, le nudisme et l’amour libre. Devenue adulte, lorsqu’éclate la guerre civile, Verdad part pour Barcelone rejoindre les Brigades internationales et combattre le franquisme…

L'Odyssée du Winnipeg à travers les yeux d'une petite fille.

Le convoi des 927 et les camps de concentration français.

Bel ouvrage sur l'internement des prisonnières républicaines dans les prisons franquistes.

Une BD très riche sur les lendemains de la guerre civile, la résistance, l'exil et la vengeance.

Corre implacable 1947, undécimo año triunfal del glorioso Alzamiento Nacional. Tras cumplir de cabo a rabo su condena en el último campo de concentración para prisioneros de la República, Pepe Gazuza sale como transeúnte a un país tomado por el que campan los fantasmas del hambre, la picaresca del estraperlo y la humanidad de los pobres. Sin oficio ni beneficio, Gazuza vagará por las calles de una España yerma donde todo son secundarios buscándose las habichuelas. Entre ellos Ingrid, una rutilante fatale que guarda ausencia a su misterioso marido; Petro, criada multitarea que ha dejado el pueblo para servir en la capital, donde se dejará cortejar por el fascista Alfredi o, o Prosapio Pérez, viajante de lo inverosímil y mientras, los americanos, los rusos y hasta los andorranos, acechan.

Pour "Barcelone 1937" et "La ficelle aux Illustrés"

Una ambiciosa novela gráfica que aborda uno de los episodios más controvertidos del franquismo: la creación de la división azul. mediante un mecanismo retroactivo de recuerdos, Víctor Barba va hilando la biografía de Teodoro Recuerdos, un campesino extremeño que se alista en falange para salvar la vida y, más adelante, se alista en la división azul para vencer al hambre.Su relato reivindica el papel de una generación maltratada, abocada por el huracán de la historia (y por la ambición de una élite sin escrúpulos) a elegir entre convertirse en parias, exilados o carne de cañón.

La division Azul et le front de l'Est.

Guerre d'Espagne : Tandis que les églises brûlent, Soeur Angels de Santa Maria est violée. Des années après, déguisée en homme, elle rejoint la Division Bleue, en chemin pour envahir l'Union Soviétique. Elle a un plan bien particulier pour lutter contre le communisme : poursuivre et tuer chacun des miliciens républicains qui ont détruit sa vie.

María Pérez Lacruz, conocida como María la Jabalina, fue la última mujer asesinada por el franquismo en la Comunidad Valenciana. En 1942, con tan solo 25 años, fue fusilada en El Terrer, el tristemente conocido muro de Paterna (Valencia). La joven anarquista de las Juventudes Libertarias había crecido alrededor de la fábrica del Puerto de Sagunto, donde se respiraba el ambiente de la lucha obrera. Con tan solo 18 años tuvo el valor de alistarse como miliciana en la Columna de Hierro, donde ejerció como enfermera. Fue probablemente la primera mujer herida en la guerra civil. Durante la represión de la posguerra fue delatada, detenida y acusada injustamente de delitos que nunca pudo haber cometido. Cristina Durán y Miguel Ángel Giner Bou, ganadores del Premio Nacional del Cómic por El día 3 (Astiberri, 2018), reavivan una de las muchas historias silenciadas de mujeres que lucharon por la paz y la libertad y, además, se hacen eco del deseo más profundo de la madre de la Jabalina: que una injusticia tan grande nunca caiga en el olvido. María la Jabalina se ha realizado gracias a la iniciativa y apoyo de la Concejalía de Memoria Histórica del Ayuntamiento de Sagunto y se publica tanto en castellano como en valenciano.

En 1963, Francisco Granado et Joaquin Delgado, deux militants anarchistes, sont condamnés à tort et sous de faux prétextes pour tentative d'attentat contre Franco.

A sus 103 años, Francisco es memoria viva tanto del siglo XX como de su tierra natal, Lérida. Hombre de inquietudes sociales, se afilió al POUM de Andreu Nin, participó en la Guerra Civil y acabó en la cárcel modelo de Barcelona. La narración, mezcla de realidad y de ficción, nos acerca a su experiencia y su visión de los agitados, y bélicos, años treinta y nos sirven de puente para entender a un país y a sus gentes que dieron lo mejor y peor de ellos mismos en circunstancias extremas.

Quand un père d'origine espagnole, dessinateur de son état, raconte à son fils de 5 ans les souvenirs familiaux liés à son grand-père et à ses parents, cela donne un magnifique ouvrage sur la transmission. On y parle de la guerre civile espagnole, du franquisme, de l'exil en Argentine, de la création, de gens étranges que l'on rencontre, du hasard et de jolies femmes.

dont des Espagnols.

Post-guerre, Franquisme.

La verdadera historia de Alexandre de Fisterra, el inventor del futbolín. TRAS DE una monumental labor de documentación textual y de campo, Alessio Spataro ha erigido una magnífica novela gráfica, impresa solamente en rojo y azul (como los jugadores del futbolín), con la que recorre la vida de Alexandre Campos Ramírez, el gallego que patentó la versión moderna del célebre juego. La historia de su evolución es el hilo conductor de los sucesos del libro, que atraviesan la Guerra Civil española, la Segunda Guerra Mundial, la dictadura franquista, el exilio de los intelectuales y la consagración de las democracias europeas. Con ese telón de fondo, la vida de Campos Ramírez se cruzó con las de las de Neruda, Camus, Sartre... y dejó una marca indeleble en nuestra cultura. Futbolín es un libro apasionante, rebosante de humor y emociones, porque sus páginas son pinceladas de la Historia en mayúscula, el vivo retrato de quienes lucharon por un ideal de libertad que siempre, aún hoy, sigue en amenazado.

Les bouleversantes mémoires d'un auteur majeur : Julio Ribéra. 2 septembre 1954, une date inoubliable pour Julio Ribéra et sa femme Carmen. Mariés le matin, ils débarquent l'après-midi sur cette terre qui fait briller leur regard : la France. Pour eux qui fuient l'Espagne et la dictature de Franco, Paris fait figure de Paradis. Dans cette ville magnifique, on trouve de tout et en abondance et surtout cette liberté à laquelle ils aspirent tant. Julio peut s'acheter une voiture flambant neuve, emménager dans un appartement confortable et surtout exercer à sa guise son métier d'illustrateur. Un rêve d'enfant qui peut s'effondrer à tout instant : pas de couverture sociale, une charge de travail croissante, des rémunérations en baisse... Mais qu'importent les peines quand on a la passion ! Julio Ribéra participe aux premières heures de la bande dessinée moderne.

La vie quotidienne sous Franco.

A las diez de la noche del 30 de diciembre de 1969, Francisco Franco se dirigió a los españoles desde El Pardo en su ya tradicional mensaje de fin de año. El director general de Radio y Televisión, Adolfo Suárez, supervisó personalmente dicha transmisión. «Respecto a la sucesión a la Jefatura del Estado, sobre la que tantas maliciosas especulaciones hicieron quienes dudaron de la continuidad de nuestro Movimiento, todo ha quedado atado, y bien atado, con mi propuesta y la aprobación por las Cortes de la designación como sucesor a título de Rey del Príncipe Don Juan Carlos de Borbón. Dentro y fuera de España se ha reconocido, tanto con los aplausos como con los silencios, la prudencia de esta decisión trascendental», dijo el jefe del Estado. Esta novela gráfica recorre los años de la llamada Transición española a la democracia a través de sus protagonistas: los obreros, las mujeres, los vecinos de los barrios, los militantes revolucionarios, los campesinos, los quinquis, los presos comunes, los torturados por sus ideas, entre otros muchos. Y también a través del dictador y del rey, de los patronos, militares y espías. Atado y bien atado cuenta historias ocultadas, olvidadas o manipuladas, las que no sirven para construir relatos oficiales, las que empujan la historia para lados contrarios, las que ensucian el fino mantel de hilo que cubre la mesa de quienes pretenden tenerlo todo atado y bien atado. Historias que, en definitiva, componen una memoria colectiva de todos aquellos y aquellas que siguen anhelando desatarse

Au cours d'une visite de sa petite-fille Maialen, Marina évoque le périple qui - 80 ans plus tôt - l'a portée de l'Espagne ravagée par la Guerre civile jusqu'en France, puis au Venezuela. Ses souvenirs de l'exil se croisent et se fondent avec ceux de Sanza, Aina, Chris, Imelda et les autres qui de nos jours fuient la guerre et la violence, les mariages forcés, l'homophobie, l'esclavage sexuel. Sous le pinceau de Javier de Isusi se déroulent les histoires de ceux qui, hier comme aujourd'hui, ont été forcés à quitter leur foyer pour sauver leur vie ou préserver leur intégrité. Des femmes et des hommes à la recherche d'un lieu où vivre dans la dignité et qui, pour franchir des frontières militarisées, subissent des traitements discriminatoires, survivent à la mer, au désert, aux barbelés ; leur détermination n'ayant d'égal que leur aspiration à une existence meilleure.

Le dernier bonheur est le premier volume de la chronique du village de Soledad. À l?heure de la démocratie, les anciens de Soledad regrettent parfois le temps de Franco et résistent aux changements, dans une atmosphère mêlée de traditions, de couardise et d?une certaine hypocrisie. La vieille Sarah est mal comprise de ses compagnes, qui parlent d?elle sans relâche dès qu?elle a le dos tourné. Marco revient après quinze ans d?absence et perd ses illusions. Adolfo ne peut plus vivre avec sa conscience... Le dernier bonheur est l?occasion d?une incursion dans un monde étrange, hors du temps, presque figé et pourtant animé de toutes les passions.

A Soledad, le travail est dur mais les gens en ont l'habitude. Ils vivent heureux loin des rumeurs de la ville. Ceux qui suivent l'actualité savent qu'en Europe, le fascisme triomphe en Allemagne et en Italie. Tiburcio, homme de paix et républicain, se souvient de ces temps tranquilles, mais aussi des premiers incidents politiques que connut Soledad et de la folie meurtrière qui suivit. Le 30 août 1936, l'armée des nationalistes investit et pille le village. Elle laisse place aux vainqueurs, les phalangistes. Ceux-ci sont décidés à instaurer une nouvelle justice, celle de la vengeance aveugle. Tiburcio ne se doute pas encore que dans cette Espagne déchirée, où les combats ressemblent à des assassinats, il vient de commencer une forme d'existence que peu d'êtres auraient pu supporter : celle de vivre caché sous son propre toit, une vie d'homme fantôme. Dans cet album, ainsi que dans L'homme fantôme, qui paraîtront tous deux à la mi-septembre 98, Tito chronique ces années de malheur et de déchirement où vivre debout dans la lumière était une vraie gageure. Passé et présent se mêlent étroitement et le souvenir de ces jours où Soledad vivait à genoux revient en mémoire.

Printemps 1986. Cinquante ans après l'entrée de l'armée des nationalistes dans le village de Soledad, Carmen et Pablo, un couple de Journalistes, veulent écrire l'histoire de Tiburcio. Grâce aux témoignages de ses enfants ils apprennent comment celui-ci vécut caché sous son propre toit, tel un homme fantôme. Une reconstitution à travers des fragments de mémoire...

Une vieille Mercedes, trois hommes ouvrent le feu et tuent le père et son fils. La petite fille cachée dans une trappe a tout entendu et découvert le passé sulfureux de son père. Puis l'un des hommes ouvre la trappe, la voit... un instant, le temps s'arrête. Il referme la trappe. La petite survit. Quelques années après, ils se retrouvent..

Quelle époque ! Après les Tontons flingueurs, voilà les Pépés flingueurs... C'est bien connu : aujourd'hui, les vieux ne respectent plus rien. Et c'est bien triste, allez. Enfin, pas pour le lecteur... Prenez Javier Burgos, par exemple. Un ancien combattant anti-franquiste reconverti dans le kidnapping. Après avoir délesté un mafieux notoire d'un bon paquet de dollars, croyez-vous qu'il se reposerait au soleil sur son confortable matelas de billets ? Vous n'y êtes pas du tout... Le voici en train de préparer le casse d'un casino avec ses deux acolytes aux tempes grisonnantes, tout en scandant un slogan révolutionnaire... Ce n'est pas tous les jours qu'une bande dessinée confie le premier rôle à un senior. Dommage : comme le montre cette (jeune) série, il n'y a pas d'âge pour être un héros... Au fait, est-ce bien moral ? Ça se discute, c'est sûr... En tout cas, c'est franchement drôle. Et pour le lecteur, c'est bien là l'essentiel, non ? --Gilbert Jacques

Ernesto est un grand-père pas très bavard. Il vit à Tours, mais son accent ne trompe pas : on sait bien qu'il vient de l'autre côté des Pyrénées. Le franquisme lui a volé sa jeunesse... Ernesto tait ses blessures. Et la vie file à toute allure.L'Espagne, les oranges grosses comme des melons, les melons doux comme du miel... Un matin, tout l'appelle. Et avec son vieux copain Thomas, le combattant pour la République prend la route.

Antonio est un chasseur, un ramasseur de champignons. Un jour, il prend prétexte d?un devoir d?école pour raconter son enfance à son petit-neveu (qu?on imagine être Alain Munoz, l?auteur lui-même). Il se souvient de la guerre d?Espagne, du terrible Général Franco, des bombes et des raids aériens, de la peur et surtout de l?exil. C?est l?époque de l?exode forcé de milliers d?Espagnols qui fuient le fascisme vers la France, mais qui - comme toute cette génération - n?a jamais pu considérer ce pays autrement que comme une « cachette », les Pyrénées comme une sorte de « talus derrière lesquels on se blottit pour que le grand méchant loup ne nous trouve pas ». Servi par un trait expressionniste puissant mais minimaliste, ce récit personnel nous touche par sa pudeur, celle d?un homme qui s?est toujours senti « d?ailleurs ».

Suggestion de Aïtor. Règlements de compte à New-York en 1939, avec en toile de fond les événements de Barcelone en 1937 et la bataille de l'Ebre.

Suggestion de Chirimoya. L'Espagne de l'après-guerre.

Post-guerre en Catalogne;

L'Espagne de l'après-guerre.

L'Espagne de l'après-guerre

Madrid, noviembre de 1936. Las tropas sublevadas están a las puertas de la capital. El ejército regular ha barrido todo atisbo de resistencia, avanzando a sangre y fuego hasta llegar a Madrid. Mientras tanto una buena parte del pueblo madrileño se conjura bajo el grito de «¡No pasarán!». Para ellos todo parece perdido, el gobierno abandona la capital a su suerte y deja al mando al General Miaja. Pero aún hay un atisbo de esperanza, un hombre capaz de hacer que la balanza se incline hacia el lado republicano. Saeta, un antiguo militar de la república que abandonó su carrera por discrepancias con el gobierno, se encuentra en Madrid para hacer frente a los sublevados y para ello no dudará de dar hasta la última gota de su sangre. Al otro bando Cruzado, Gran Maestre de la orden de Santiago. Al estallar la Guerra Civil el monasterio de Uclés es saqueado y destrozado. Cruzado al tener noticias de esto se une al Ejercito Nacional, convirtiéndose en uno de sus más poderosos soldados: «No hay poder sin dolor»

In Madripoor, Wolverine runs afoul of druglords peddling a new and lethal substance: what is Thunderbolt, and how does it make its users unstoppable? Then, a Yukon vacation turns deadly when Wolverine encounters the mythical Hunter in Darkness! And when Lady Deathstrike attacks, Wolverine and his old Alpha Flight buddy Puck fall through a time vortex and wind up in 1937 - where they must team up with Ernest Hemingway to fight the Spanish Civil War?! Ask not for whom the bell tolls...it tolls for Logan! Lethal Larry Hama's epic Wolverine run begins right here, stylishly illustrated by Marc (CyberForce, UNCANNY X-MEN) Silvestri! Plus, in two classic bonus stories, Wolverine battles Apocalypse in the Savage Land, and struggles with his own inner demons when he meets the Neuri!

Una saga diferente a todas las demás. Lobezno viaja en el espacio y en el tiempo, para luchar contra el fascismo en la Guerra Civil Española. Con Gernika como telón de fondo, el mutante de las garras de adamántium se reencuentra con sus peores enemigos.

Éric et Thierry n’avaient jamais prêté attention à cet insigne sur la veste en cuir de leur copain Andreas. Une vieille décoration militaire parmi beaucoup d’autres. Jusqu’au jour où, dans une boutique de jeux vidéo à Londres, le vendeur, un vieil homme, avait pointé l’index vers l’insigne. Il était devenu livide, s’était mis à crier. Puis il leur avait donné le jeu, leur avait ordonné d’y jouer. – « Choisissez votre mode de jeu », avait demandé la voix. L’Expérience ultime n’est pas seulement un jeu vidéo, mais plutôt un passeport vers l’enfer, qui les renvoie dans le passé, sur le Chemin des Dames en 1917, à Guernica sous les bombes en 1937 ou à Paris pendant les rafles de juillet 1942…

En Las caras de la guerra, Tomás Ortega reconstruye una historia social de la guerra civil española con el hilo conductor de los personajes de cómics de producción española reciente vinculados con el conflicto. El autor traza un recorrido cronológico que funde el gran marco de la Historia con mayúsculas con el pequeño cuadro de las vivencias de los protagonistas de las historietas seleccionadas. Las caras de una guerra con las que el lector se aproxima a la vida cotidiana de los hombres, mujeres y niños que la sufrieron, a los personajes anónimos de los diferentes bandos enfrentados. Sus situaciones, experiencias y anécdotas perfilan una crónica gráfica para provocar un acercamiento y una reflexión acerca de las diferentes miradas de la Guerra Civil

A través de esta fantástica obra Quique Palomo, autor de otras obras como Vida y muerte de Federico García Lorca y Antonio Machado: Ligero de equipaje, adapta la obra de Ian Gibson, en la que trazan un certero recorrido por las vidas de cuatro magníficos poetas de nuestro tiempo: Federico García Lorca, Antonio Machado, Miguel Hernández y Juan Ramón Jiménez. La novela es un estudio estremecedor sobre la lealtad a la causa republicana de cuatro de las mejores voces poéticas de la España del siglo XX, represaliada con la muerte en el exilio, el fusilamiento sin juicio y la muerte en la cárcel.

Machado.

Caricatures presse argentine.

C’est un roman policier sans imperméable ni arme à feu, sans enquêteur ni crime. C’est une histoire d’espionnage, d’agents doubles voire triples. Il s’agit d’une histoire dans laquelle la rencontre d’un garçon avec une fille lui fait découvrir son amour pour une tierce personne. Une histoire sur la répression et la censure qui se produit des années après la mort du dictateur. Une histoire de bébés volés dans laquelle il n’y a pas d’enfant. Une histoire de théâtre.

« Garafia » est le nom d’une commune de montagne située au nord de l’île de La Palma, dans l’archipel espagnol des Canaries. C’est aussi le titre de cette chronique qui relate comment la répression politique de la dictature franquiste et la misère économique ont contraint ses habitants à l’exil. Alors qu’ils embarquent pour l’Amérique latine afin de subvenir aux besoins de leurs familles, les hommes se retrouvent rapidement confrontés à la xénophobie et aux discriminations qui ont, de tout temps et en tous lieux, frappé les migrants. Les femmes, restées au pays, doivent s’occuper des terres, tout en élevant leurs enfants. Peu à peu, elles vont apprendre à vivre seules et à assurer leur survie, sous la menace croissante du régime fasciste. Pour retracer l’histoire de cette communauté, de ceux qui sont partis et de celles qui sont restées, Elias Taño s’est inspiré du parcours de ses propres grands-parents, Inocencio et Gloria. Garafía a reçu le 11e prix international du roman graphique de La Pobla de Farnals (2019), le prix de la révélation au Salón del Cómic de Valence (2022) et le prix de l’illustration au Salón del Cómic de Tenerife (2022).

Le récit d’une vie, d’un sacrifice pour la cause.Londres, 1982. Jorge Semprun, ancien militant communiste, romancier et scénariste à succès reçoit une énigmatique invitation à la Tate Gallery. Un musée, lieu de rendez-vous idéal pour les espions et les agents clandestins. Ici, un homme mystérieux lui remet une enveloppe contenant une douzaine de clichés. Des clichés que Jorge connait bien... Ou plutôt, leur auteur : Tina Modotti. Photographe et artiste italienne immigrée aux États-Unis dans les années 1920 puis militante révolutionnaire et agent du Komintern au Mexique, elle est probablement liée à l’assassinat de Trotsky et à la guerre civile espagnole de 1936. Le 6 janvier 1942, revenue en Amérique, elle décède d’une crise cardiaque. Mais qui était-elle vraiment et quelles sont les véritables raisons de sa mort ? C’est pour élucider ces mystères que, 40 ans plus tard, Jorge va mener l’enquête...Dans ce passionnant roman graphique au souffle historique mais surtout romanesque, Jean-Pierre Pécau nous raconte l’incroyable destin d’une artiste qui a tout sacrifié pour la Révolution et tente, derrière le fantasme de sa disparition, de livrer sa version des faits. Une histoire de femme et d’espionnage, dessinée par un jeune talent issu de l’école espagnole : Alejandro Gonzalez

María, joven parisiense de 17 años, está absorbida por su preparación a la selectividad cuando ha de acudir repentinamente a Barcelona para cuidar de su abuela que acaban de ingresar en el hospital del mar. Ella y su padre la encuentran totalmente desorientada y al descubrir unas viejas cartas en su piso del centro de Gracia, destapan un oscuro secreto. En los años 50, estuvo encarcelada en Les Corts y además estando embarazada. ¿Qué fue de este bebé? ¿Por qué nunca supieron de su existencia? ¿Será uno de los bebés robados durante el régimen de Franco?

Dans Le Poids des héros, David Sala retrace sa trajectoire personnelle très tôt marquée par les figures tutélaires, mais non moins écrasantes, de ses grands-pères, héros de guerre et de la résistance. En convoquant son point de vue de petit garçon, il nous plonge dans une majestueuse et foisonnante exploration de l'enfance et de l'adolescence. Le recours à l'imaginaire permet d'approcher les zones d'ombre et les failles à bonne distance, tout en recomposant un parcours d'apprentissage et de transmission universel pour le lecteur. Sans oublier la saveur impérissable des courses en vélo, de la découverte des premiers morceaux de rap US, des premiers temps d'initiation artistique à l'école Emile Cohl.

LA GUERRA CIVIL ESPAÑOLA COMO NUNCA ANTES LA HABÍA VISTO (NI LEÍDO) NARRADA POR UN BATALLÓN ESPECTACULAR DE AUTORES Nacida como homenaje a la mítica colección Hazañas Bélicas, de Boixcar, esta colección de historias bélicas traslada la acción a la Guerra Civil Española incorporando al reparto a algunos de los protagonistas de aquella contienda, incluidos Franco, Azaña o Durruti. Veintidós relatos escritos en clave pulp por Hernán Migoya (Carvalho. Tatuaje) y dibujados por los mejores autores del panorama: Keko, Calpurnio, Kim, Bartolomé Seguí, Cels Piñol y un largo etcétera. “En estas historias de acción, Migoya desata todas sus facetas narrativas y el dominio de los géneros, para llevar la contienda al territorio que le es propio: el del disparate. Pasiones extremas, delirios, crueldades sadianas y humoradas que subrayan el absurdo guerracivilista componen estos mitos modernos, donde héroes de uniforme y de paisano ponen en escena una historia que creíamos ya contada pero suena nueva en los guiones de Migoya, dibujados por los mejores lápices de España.”

UN MAGISTRAL CÓMIC DE SUSPENSE SOBRE LA ESPAÑA QUE LA DICTADURA QUISO SILENCIAR. Madrid, 1956. Léon Lenoir, hijo de un comunista muerto en la Guerra Civil, y Emilio Sanz, militante falangista, investigan para la sección de sucesos de "La Capital" crímenes que chocan con la imagen idílica que el dictador quiere dar del país. Su temeraria necesidad de revelar la verdad tras un supuesto suicidio los llevará a enfrentarse a la represión de la dictadura y a desvelar una oscura trama que implica a algunos de los médicos más prestigiosos del régimen. Teresa Valero nos ofrece en Contrapaso un ejemplar thriller social que muestra las mentiras de un franquismo capaz de estrangular con sus tentáculos cualquier forma de disidencia.

Una mirada por los más de setenta años y varios cientos de tebeos y cómics sobre la guerra civil española nos recuerda cómo este periodo histórico ha estado y sigue estando presente en el corazón de muchos, en España y en el exterior. También nos muestra cómo la rememoran diversas sociedades, países en distintas épocas y la enorme variedad de sus recuerdos. Cada historieta es a la vez un relato de historia y un objeto histórico, cada una de ellas habla de la contienda pero también, según el momento de escritura, de la España de la Transición o de la España de hoy, o de la Argentina recién salida de sus años negros o de la identidad de los descendientes de los exiliados en Francia. Unas historietas pretenden solo contarnos la guerra y otras, a través de su evocación, hacernos reflexionar, emocionarnos o movilizarnos. Algunas consideran su combate legítimo y otras la ven como un desastre que ninguna razón puede justificar. Algunas buscan ante todo cerrar las heridas del pasado y otras consideran que las fracturas de la guerra se prolongan en otras contemporáneas.

El estudio más completo de la censura franquista contra los tebeos. Documentos que sobrevivieron, testimonios, etc. Un repaso al intento de frenar y acallar a la fábrica de sueños más importante de la posguerra, la editorial Bruguera. La victoria del bando sedicioso en la Guerra Civil supuso el despliegue de unos mecanismos represivos sin precedentes en la historia de España. El régimen que acaudillaba el general Franco fue especialmente beligerante en el control de la información y de la opinión. La censura franquista articuló un sistema coercitivo terriblemente eficaz y cruel en todos los ámbitos de la difusión de la información, la opinión, el pensamiento y la creación artística. Hasta ahora diversos especialistas han estudiado sus efectos en el cine, al radio, la prensa o el teatro o la literatura. Sin embargo, nadie había publicado un estudio ambicioso que abordara la acción de la censura contra las publicaciones infantiles y juveniles. También los tebeos sufrieron, como el que más, sus efectos, especialmente a partir de los años cincuenta, cuando desde el Ministerio de Información y Turismo se elaboraron sucesivas normativas que editores, dibujantes y guionistas tenían que acatar. Dichas normativas recomendaban «no confundir hadas y ángeles» o prohibían rotundamente cuestionar la autoridad paterna. Este libro estudia la censura franquista contra los tebeos. Repasa los documentos que sobrevivieron a la destrucción de archivos durante la Transición y los testimonios que aún pueden dar fe de aquella auténtica caza de brujas.

Memoria y viñetas. La memoria histórica en el aula a través del cómic analiza el periodo comprendido desde la segunda República hasta la transición a partir de algunos de los cómics más relevantes de los últimos años. Es una obra concebida para el profesorado de historia que quiera introducir el uso del cómic en sus clases, también de interés para quienes estudian e investigan sobre el medio. Por este motivo incluye una primera parte teórica: una introducción a la historia del noveno arte y un artículo dedicado al lenguaje del cómic, para luego desgranar en sendos capítulos la relación entre la memoria y el cómic y la memoria de las mujeres en el cómic reciente. Posteriormente, incluye 13 propuestas didácticas elaboradas en base a algunos de los mejores cómics que han tratado el periodo 1931-1982 de la historia de España, como Paracuellos, El arte de volar, Los surcos del azar o Estamos todas bien, entre otros. El libro se completa con: - Entrevistas a Carlos Giménez, el gran pionero del cómic y la memoria histórica; a Jaime Martín, autor de Jamás tendré 20 años y Las guerras silenciosas; y a Antonio Altarriba, guionista de El arte de volar y El ala rota. - Actividades complementarias para cada cómic trabajado, con propuestas concretas de artículos, documentales y otros recursos, también con actividades preparadas para utilizar en el aula. - Orientaciones metodológicas sobre el uso del cómic y como herramienta didáctica. - Un útil anexo informativo con numerosas recomendaciones, tanto de cómics históricos situados en otras épocas como de bibliografía especializada sobre la relación entre cómic e historia. Prologado por Antonio Altarriba, Memoria y viñetas no solo introduce de una forma amena el estudio de nuestra historia reciente, también pone de manifiesto la relevancia alcanzada por el cómic como medio, tanto a nivel artístico como narrativo, además de mostrar su valor y su potencial como herramienta de aprendizaje.

Qué lectura hace el cómic de la guerra civil española? ¿Con qué criterios? Como documento histórico u objeto cultural de memoria, ¿qué aporta el corpus de varios centenares de obras gráficas “de” o “sobre” la guerra? Una infinidad de preguntas que hacen de este corpus un campo de investigación apasionante, abierto durante una conferencia internacional organizada por el laboratorio CELIS de la Universidad de Clermont-Auvergne (Francia) que tuvo lugar en el Centro Internacional del Cómic y de la Imagen (CIBDI, Angoulême, Francia) en noviembre de 2016. Este libro tiene como objetivo explorar la evolución de las producciones y de las miradas sobre la guerra española, desde el tiempo de la propia guerra hasta nuestros días, las diferentes percepciones del conflicto en varios países (sobre todo en España, Francia y América Latina) y la naturaleza del cómic como objeto literario e histórico referente al conflicto. La exploración se efectúa aquí según tres aproximaciones. La primera, “La representación de la Guerra Civil en el cómic, un fenómeno global”, intenta demostrar la universalidad y la extraordinaria diversidad de la producción de cómics sobre el tema. La segunda, “Ostentación y silencios de la Guerra Civil (1936-1975)”, pone en evidencia los periodos de olvido o de reactivación del tema hasta el final de la dictadura, que corresponde a diferentes épocas de silencio y de manipulación de la memoria. Para terminar, la tercera, “Los retos de la memoria gráfica del pasado traumático (1975-)”, demuestra la importancia del cómic como instrumento de memoria indispensable en la construcción de nuestras identidades contemporáneas.

Una mirada distinta, tan cruel y terrible como hilarante, desde el punto de vista de humorismo gráfico, de la etapa más dolorosa de la historia contemporánea española. Las viñetas, historietas y chistes que se publicaron durante la guerra civil española nos sirven hoy como testimonio gráfico de la contienda y, especialmente, de lo que suponía intentar substituir en un país devastado. Los dibujantes — inmortalizados gracias a su trabajo— se erigen en portavoces de la realidad del día a día desde el estallido de la guerra en 1936 hasta su final en 1939. La amplia selección de dibujos refleja la diversidad de ideologías, posicionamientos y puntos de vista de una sociedad herida. Son también un muestrario de todos los matices del humor, desde el más absurdo hasta el más polarizado y revanchista. Los autores han trazado un itinerario que guía al lector a través de distintas temáticas: los bombardeos, la retaguardia, la infancia, la iglesia y las mujeres, sin olvidar el frente ni el panorama internacional. Una visión de la Guerra Civil desde un ángulo al que apenas se había prestado atención hasta ahora.

Mars 1939. Cerbère, à la frontière entre la France et l'Espagne. Les trains ne circulent plus. Les transbordeuses - les "orangères" - ne chargent plus les oranges qui pourrissent sur place. Sur la corniche, un hôtel, "le phallus de l'arrogance et de l'argent", est abandonné. Seuls trois hommes hantent les lieux : José de Villalobos, "peintre officiel", cherche la beauté pour sa grande fresque. Il croit l'avoir trouvée chez Montse, une orangère fière et farouche, qui fait passer des armes aux derniers résistants républicains. Carles Bartomeu Altaió a survécu à la défaite de la Catalogne face aux troupes franquistes. Il est épuisé.Walter Bermann est arrivé à l'hôtel tenant serré entre ses mains un manuscrit. Un "antidote à la folie des hommes", dont Staline veut se saisir, à tout prix. Carles donnera la vie en cuisinant, José traquera la beauté avec une ferveur folle, Walter, accro à la morphine, sombrera peu à peu : trop juif, trop allemand, trop communiste, trop dissident... Où trouver la beauté ? Chez Montse, la résistante ? Dans la mort ou dans la vie ? Une fable tragi-comique, signée par Thomas Azuélos (La ZAD, Le Fantôme arménien) en tant qu'auteur complet.

Al terminar la guerra civil española, cientos de miles de personas cruzan los Pirineos huyendo de las represalias de los vencedores. Un año después, Alemania derrota a los ejércitos aliados y ocupa Francia, partiéndola en dos y dejando un gobierno títere en Vichy.En esos momentos, la Falange Exterior con ayuda de la Gestapo, acecha a los derrotados secuestrando a cualificadas personalidades republicanas. Cuando intentan dar cazar al presidente Azaña, se encuentran con la valentía de los hombres y mujeres de la legación de México en Francia, cuyo embajador, Luis I. Rodríguez, por mandato de su presidente Lázaro Cárdenas, se esfuerza en auxiliar y trasladar a su país al mayor número posible de refugiados hispanos.