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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Adèle Moreau vit dans une banlieue assez cossue avec son mari Bertrand et leur petit garçon de huit ans prénommé Lucas. Un jour, en allant chercher son fils au cours de solfège, elle rencontre Hugues Lionel, son professeur de musique. Lorsque ce dernier croît la reconnaître, mais en l'appelant Marie, le léger malaise qui s'installe devient très vite l'élément déclencheur d'un avenir qui part totalement en vrille… la fausse note qui va transformer leur petite vie tranquille en véritable cauchemar !

Dès les premières pages du roman, Barbara Abel annonce le drame domestique qui ponctuera le récit, prenant ainsi immédiatement le lecteur par la main, l'invitant à découvrir ce qui a pu mener au drame, ainsi que l'identité du coupable. S'en suit en roman choral qui passe d'un personnage à l'autre au fil des chapitres, tout en disséquant leur psychologie avec cette précision chirurgicale qui caractérise l'autrice bruxelloise.

Le résultat est à nouveau un thriller psychologique redoutable qui démarre en compagnie de gens ordinaires, mais qui lève progressivement le voile sur leurs secrets et sur leurs défauts. Ce petit garçon un peu trop lunatique par rapport à la moyenne cache-t-il d'autres problèmes ? Et ce père qui ne supporte pas le mensonge, au point d'en faire une véritable obsession, pourrait peut-être réagir violemment s'il en découvrait un gros, non ? Quant à Adèle… quel est donc son lien avec cette Marie, s'il y en a bien un ? À moins que le professeur de solfège ait un sérieux problème ?

Barbara Abel nous invite donc à rentrer dans la tête des personnages, révélant progressivement leurs failles, faisant tomber les masques et dévoilant ce qui se déroule vraiment derrière les portes de leurs domiciles. Un procédé efficace et parfaitement maîtrisé, qui n'épargne aucun de ses personnages et qui ouvre du coup suffisamment de pistes pour tenir le lecteur en haleine tout en le menant en bateau jusqu'à ce final particulièrement habile.

Je ne le dirai jamais assez aux amateurs de thrillers psychologiques: lisez Barbara Abel !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Grande fan de cette autrice, je suis ravie d'avoir pu découvrir son tout nouveau roman que j'ai dévoré presque d'une traite.

Ici pas de scène sanguinolente mais plutôt un thriller psychologique qui vous tiendra en alerte du début à la fin. On fait la connaissance d'Adèle qui vit avec son mari et son fils dans un quartier assez huppé. A priori, leur vie semble bien réglée et sans aucun souci apparent. Jusqu'au jour où Adèle va faire la rencontre de Hugues, le professeur de solfège de son fils. Cette rencontre va fortement perturber Hugues car il connait cette femme, elle s'appelle Marie et pas Adèle, ils se sont rencontrés il y a quelques années et contrairement à elle, il s'en souvient très bien.

Cette rencontre fortuite va être un véritable détonateur, elle va enclencher une machine destructrice pour Adèle et sa famille. le vernis craque, les visages se révèlent, les secrets vont exploser et faire énormément de dégâts. Petit à petit, on redécouvre les personnages sous un autre angle, on se pose mille questions, on ne sait pas qui on doit soutenir, on ne sait pas qui a tort et qui a raison, c'est très ambigu.

La plume de l'autrice est fluide, agréable, addictive, on suit l'évolution de ces personnages qu'elle maltraite à souhait et avec une grande efficacité. L'engrenage est infernal et incontrôlable, une fois la machine lancée, impossible de faire demi-tour.

Si j'avais un petit bémol, ce serait la fin du roman qui pour moi est un peu « rapide », j'aurais aimé une continuité plus aboutie, un fil conducteur.

Je ne peux que vous inviter à découvrir ce roman et à entrer dans cette histoire qui ne vous laissera aucun répit.
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Quartier du Logis,  bordé de fleurs de cerisiers, plutôt cossu , avec des familles sans histoires. Il y fait bon vivre. 

Parmi celles-ci? Les Moreau , avec Bertrand et Adèle,  couple marié et parents du petit Lucas. Vraiment sans histoires ? Lorsque Hugues,  innocent prof de solfège, ressurgit malgré lui du passé, c'est tout un équilibre précaire qui pourrait bien voler en éclat.

Chaque acte porte des retentissements. Chaque mensonge vient frapper tôt ou tard à  la porte de la vérité. 

Je ne vais pas chroniquer sur l'histoire en elle-même afin de ne rien spoiler .

Une chose est sûre,  il est naïf de penser que les mensonges ne finissent pas par un jour vous éclater au visage  telles des bulles du destin pressées de se rappeler à  vous...

Avec tous les enchaînements inattendus de conséquences que cela fait surgir, tel un maillon courroucé. 

Et là, c'est la locomotive des drames qui se met en marche .

D'un énorme mensonge , d'une omission gravissime , d'une vie teintée perpétuellement de faux , Adèle sera victime de ses duperies , totalement dépassée et prise au dépourvu,  et va réussir à  entraîner tout le monde dans sa chute ( et de quelle façon !).

Certaines personnes,  même face à  leurs incohérences, peuvent avoir l'intention de se relever en devenant transparentes,  quand d'autres font du mensonge un allié en toutes circonstances ad vitam æternam. 

Aux tromperies au sens propre comme figuré s'ajoute la manipulation de tous bords et les plus grandes victimes sont souvent celles les plus innocentes. 

Quand on ne vit pas dans l'authenticité,  tout est sujet à  interprétations, même erronées,  et tout crée des situations de confusion où le mensonge n'est tellement plus maîtrisable que tout finit par vous ensevelir sous la lave.

Le problème ce sont souvent les cibles  collatérales,  qui observent , ressentent,  intègrent et grandissent avec des émotions néfastes  avalées,  des traumatismes . Comment dès lors ne pas reproduire les mêmes schémas adulte lorsque le " monstre " a eu le temps de faire sa place en nous , de grossir et de déborder au moindre rappel inconscient de réminiscences de l'enfance ?

On peut faire comme si de rien n'était, longtemps,  très longtemps. Tôt ou tard les omissions nous rattrapent et dévastent tout .

Cette famille ne sera assurément pas celle que vous croyez !

Un bon petit thriller psychologique familial se lisant tout seul que je vous invite à  découvrir !

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Dans son dernier roman, Barbara Abel nous propose une histoire originale et captivante qu'il est difficile de lâcher !

Adèle partage avec son mari et son garçon une vie en apparence des plus classiques. Lorsque le professeur de musique de son fils l'interpelle par un autre prénom, pensant la reconnaître, cette dernière ne réagit pas. Hugues est pourtant certain de l'avoir déjà croisée…Alors pourquoi le nier, que cache-t-elle ?

La structure du roman nous annonce dès les premières lignes qu'un drame est imminent. Les hypothèses sont peu nombreuses mais suffisantes pour nous tenir en haleine. Tour à tour les personnages vont se dévoiler et faire des choix aux conséquences irréversibles.
J'ai trouvé quelques longueurs, vite oubliées grâce à l'écriture ingénieuse de Barbara Abel. Elle est maligne ! Son suspense diabolique conduit à un récit extrêmement captivant et déroutant.
Témoins de la scène initiale, nous sommes impliqués dans l'enquête…et c'est ce qui est déconcertant…on pense avoir une longueur d'avance…à se demander si on a bien lu… J'avais bien lu !
Et vous, êtes-vous prêts à vous remettre en question ?
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Et si, comme si de rien n'était, votre vie bien rangée se trouvait chamboulée du jour au lendemain ? Voilà ce à quoi doivent faire face une mère de famille et un professeur de musique, tous les deux narrateurs de ce récit.

On se retrouve aujourd'hui pour une nouvelle Masse Critique de Babelio, dans le genre thriller, avec « Comme si de rien n'était », le dernier livre de Barbara Abel, sorti le 11 avril 2024.

Adèle, mère de famille plutôt aisée, règle son quotidien comme du papier à musique. Entre un mari d'apparence aimant et un enfant plutôt sage, le lecteur est plongé dans sa vie bien rythmée. Hugues Lionel, quant à lui, est professeur de musique et partage ses journées entre ses cours de solfège et les visites à son père vieillissant. Tout cet ordre apparent bascule le jour où Adèle et Hugues se croisent. Commence alors une mise en abîme dans le passé de chacun, qui aura une incidence sur leur présent… Mais qu'est-ce qui lie Adèle et Hugues que tout oppose ? Je vous laisse le découvrir dans ce thriller haletant.

L'intrigue m'a beaucoup plu et j'ai été happée dès le début, avec cette scène macabre sortie de nulle part. Peu à peu, le titre prend tout son sens et l'alternance des points de vue des deux narrateurs se complète pour fournir une vision d'une réalité bien complexe.

Les personnages sont attachants, même si je me suis davantage identifiée à Hugues, le mélomane, qu'à Adèle, Madame-Parfaite. Mais ils sont humains et cela pourrait être nos voisins. Car sait-on vraiment ce qu'il se passe à l'intérieur des murs de la maison d'à côté ? En tout cas, le quartier paisible où se déroule l'action de ce roman ne s'attend pas à tant d'action !

J'ai juste eu un peu de mal à comprendre le personnage de ce gamin – oui, celui qui sonde ton âme sur la couverture de ce livre, avec ses yeux innocents qui, à la lecture, ne sont plus si innocents… - et j'aurais souhaité que ce personnage soit un peu plus approfondi, car il prend une place prépondérante dans l'intrigue. Je ne comprends pas ce que l'autrice a voulu faire passer comme message à travers certains de ses comportements. Ou alors, il n'y a rien à comprendre puisque c'est un enfant et c'est moi qui va chercher la petite bête où il n'y en a pas.

J'ai entendu beaucoup de bien de la plume de cette autrice et il me tardait de la découvrir. Fluide et agréable à lire, adaptée au genre, elle sait doser la narration et faire monter le suspens ! À chaque fin de chapitre, un rebondissement inattendu nous surprend.

Pour conclure, j'ai passé un bon moment de lecture avec ce livre surprenant et à l'intrigue très bien ficelée. Je vous recommande vivement ce livre et remercie Babelio et les éditions Recamier pour leur envoi et leur confiance.
Lien : https://www.wendybaqueauteur..
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Coup de coeur pour ce thriller psychologique. Premier livre de Barbara Abel et sûrement pas le dernier !!
L'auteure nous raconte l'anatomie d'un drame comme si de rien n'était... Un suspense qui monte petit à petit jusqu'au drame final, implacable.

Le quartier du Logis, ses larges allées à la Wisteria lane , ses maisons cossues et ses habitants sans histoires.

Rue des Mouretiers, où Adèle, architecte d'intérieur, mène une vie bien rangée, rythmée par le caractère manipulateur et colérique de Bertrand et l'éducation du petit Lucas, 8 ans, enfant au caractère introverti.

Jusqu'au jour où Adèle rencontre Hugues Lionel, le nouveau professeur de solfège de Lucas. Il est sur de reconnaître en la mère de famille, Marie , une femme rencontrée neuf ans plus tôt et avec laquelle il a passé une nuit, une seule.

La vie de rêve d'Adèle va vite se transformer en cauchemar.

De la première à la dernière page, ce thriller ne vous laisse pas une minute de répit.

Bref j'ai adoré.
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Je remercie les éditions Récamier et Babelio de m'avoir confié ce livre dans le cadre d'une masse critique privilégiée. Même si ce roman n'a pas été un coup de coeur absolu, j'ai passé un bon moment de lecture et je le recommande !

Il s'agit d'un thriller psychologique comme je n'en avais plus lu depuis longtemps, où chaque petit détail est exploité pour ajouter à la tension. Les personnages, même ceux qui paraîtraient (et sont effectivement) secondaires – ou, pour le dire autrement, moins directement présents dans l'histoire – sont fouillés en profondeur et, surtout, avec tous leurs contrastes, ce que j'apprécie particulièrement. En outre, l'autrice ne nous assène pas ces diverses facettes des personnages, mais suggère chaque petit trait de caractère parfois de façon tellement détournée qu'il faut remettre les choses bout à bout pour bien les saisir… et se rendre compte alors à quel point c'est criant de vérité.

Tout commence très fort dès le prologue qui en dit trop mais pas assez, si bien que tout au long de la lecture, on pense qu'on connaît déjà la fin… puis on doute.... puis on suppute… Surprise !
Puis on débute pour de bon, toujours très fort, avec la sortie du cours de solfège du jeune Lucas, 8 ans. Sa professeure habituelle est remplacée jusqu'à la fin de l'année par Hugues, quadra sans envergure qui vivote de la musique, mais on apprend vaguement qu'il a perdu son emploi précédent (dont on ne sait rien, cela dit), qu'il est célibataire après une relation guère concluante, et qu'il s'occupe avec un dévouement bien un peu désespéré de son père atteint d'Alzheimer. À sa grande surprise, il croit reconnaître la maman de Lucas, qu'il appelle spontanément Marie, attendant clairement une réaction enthousiaste de sa part. Sauf que la maman de Lucas s'appelle Adèle, ne reconnaît vraisemblablement pas cet homme, et souhaite rompre le contact aussi vite que possible…
Hélas pour elle (et tant mieux pour le livre !), Hugues semble s'ennuyer dans sa vie et, ayant ainsi trouvé un os à ronger, le fait qu'il ait reconnu Marie (ou Adèle ?) et qu'elle le réfute va devenir une véritable obsession, une obsession qui va virer au cauchemar, et on ne sait plus très bien, à aucun moment, si Hugues a raison de s'entêter, ou s'il est complètement dérangé – on finit par croire, et je suis bel et bien restée sur cette idée, que la réponse se situe quelque part entre les deux possibilités.

Ainsi, tandis que la vie d'Hugues est peu à peu bouleversée (n'oublions pas son père et Alzheimer), c'est celle de tous les autres protagonistes qui se trouve bousculée, et certainement celle d'Adèle, image même de la femme forte et faible à la fois. C'est difficile de la décrire davantage sans risquer de divulgâcher, et je ne vais pas passer ce commentaire à mettre des sous-commentaire en masqué, mais sachez qu'elle est particulièrement touchante dans son désir (et les chemins de traverse qu'elle trouve afin) d'être bonne mère, bonne épouse, mais aussi elle-même en tant que femme, face à un mari apparemment très aimant, apparemment disais-je…
Ajoutons à ça que Lucas n'est pas en reste, lui l'enfant sans véritable souci, si ce n'est qu'il a tendance à vivre dans son monde à lui et reste généralement assez peu expressif, mais observe les adultes qui l'entourent avec une acuité qui n'étonne même pas tout à fait.

Outre tous les aspects énoncés ci-dessus qui font de ce roman un thriller plein de tension comme on aime, j'ai trouvé à travers toute cette histoire une « réflexion » (ce n'est pas le meilleur mot pour l'exprimer, mais je n'en trouve pas d'autre) autour de : qu'est-ce qu'un père / qu'est-ce qu'être père ? Il y a bien sûr l'histoire d'Hugues et son père atteint d'Alzheimer, il y a l'histoire personnelle de ce père qu'on entrevoit par une toute petite lorgnette, il y a l'histoire du petit Lucas et son père, etc. L'autrice va même arriver à un jeu de superposition, dont je ne dirai pas un mot de plus car ce serait divulgâchant, qui m'a complètement bluffée !

Pour terminer, reste la question que je me pose moi-même : vu toutes les qualités que j'ai relevées dans ce livre, pourquoi donc n'atteint-il pas le statut de coup de coeur ? Je dois dire que les personnages masculins, et certainement Hugues, mais aussi son père et puis Bertrand dans une moindre mesure, m'ont réellement mise mal à l'aise. de même, la couverture a tendance a provoquer ce même genre de sentiment dès que je la regarde – or, ceux qui me suivent savent que je suis sensible à l'impact d'une couverture, indépendamment du contenu du livre. Ce n'est pas que je la trouve moche ou quoi, elle est même plutôt bien trouvée, mais ce visage de femme « coupé » et quelque peu désespéré (je trouve) a quelque chose de flippant. Alors, c'est tout à fait paradoxal : je sais, du point de vue intellectuel, de la connaissance des rouages d'un bon thriller, que ce double « malaise » (induit aussi bien par la couverture que par le personnage particulier d'Hugues) participe justement à faire de ce roman un excellent thriller ! Peut-être était-ce juste un peu trop pour moi ?
Quoi qu'il en soit, au risque de me répéter : même si je ne mets pas la plus haute note à ce roman, je l'ai beaucoup apprécié et je ne peux que répéter à quel point il est réussi, époustouflant même par moments, et je vous le recommande chaudement !
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Encore une bonne lecture grâce à Mme Abel.
Comme toujours, le roman est assez addictif. L'écriture est cisellée de sorte que le lecteur est plongé d'emblée dans l'histoire.
Les personnages sont bien rendus et l'intrigue est au rendez vous. Peut être un peu moins que dans les ouvrages précédents mais c'est là le risque avec les zuteurs de cette envergure. C'est tellement bon que les attentes sont extrêmement élevées 😊
Bref, du très bon, même si cette histoire en particulier était un peu moins goutûe que les autres de l'auteur.v
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*lecture terminée*

💮 Comme si de rien n'était de Barbara Abel publié aux éditions Récamier lu en LC avec @1eredecouv 😁.

Adèle, architecte d'intérieur, maman de Lucas 8 ans et mariée à Bertrand avec qui elle a une relation un peu toxique, essaye de vivre une vie paisible 🤭. Jusqu'au jour où l'inconnu qui s'avère être le professeur de solfège de Lucas croit la reconnaître et l'appelle Marie. Cette dernière ne le reconnait pas et est même gênée par son insistance. Mais Hugues Lionel n'a pas dit son dernier mot...

L'histoire est très prenante, je suis entrée immédiatement dans l'histoire grâce aussi à un prologue un peu sanglant 🤭. Tout le long de l'histoire je me suis demandée qu'est ce qui avait pu amené à cette scène et qui était le coupable. L'histoire est addictive malgré quelques petites longueurs mais je pense qui étaient dû à l'impatience 🤭.
L'intrigue est rondement menée, j'ai tourné les pages à une vitesse folle pour savoir et je n'ai jamais deviné la fin!
L'autrice aborde en plus de l'enquête la maladie et les conséquences qu'elle peut avoir sur les proches. Il y a bien évidemment quelques touches de musique lors des cours de solfège qui m'ont bien intéressé !

Une histoire qui fait le job et où j'ai passé un "agréable" moment ☺️.

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Tout d'abord merci à Babelio et aux éditions Recamier noir de m'avoir proposé Comme si de rien n'était de Barbara Abel dans le cadre d'une masse critique privilégiée. J'ai déjà lu quelques titres de cet auteur toujours avec plaisir. Et j'ai dévoré celui-ci. Nous faisons la connaissance d'Adèle qui forme le couple apparemment parfait avec Bertrand, de Lucas leur petit garçon un peu taciturne et un peu dans son monde, et d'Hugues le professeur de musique de Lucas qui croit avoir reconnu Adèle lors d'un premier contact, mais celle-ci nie tout en bloc. Et à partir de là, comme sait si bien le faire Barbara Abel, la situation va déraper lentement, les névroses cachées de différentes personnages vont se faire jour, le passé va resurgir comme un boomerang et dynamiter le présent. J'ai retrouvé dans Comme si de rien n'était le mécanisme bien huilé qui était présent dans Derrière la haine et que sait si bien actionner l'auteur. Je ne veux pas en dire plus car dans ce genre de thriller on a toujours peur de déflorer les événements ce qui gâcherait le plaisir du lecteur. Mais sachez que si vous ouvrez ce roman que vous allez passer un excellent moment.
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