Comme disent les auteurs : il est plus facile d'imaginer la fin du monde, que la fin du capitalisme. La question est alors de savoir s'il y a des raisons d'espérer (la chute et le remplacement du capitalisme) et de la manière d'y contribuer. La réponse est « oui », mais l'adversaire a bien plus de ressources symboliques et techniques' qui nous font agir à l'encontre de nos intérêts et aux bénéfices des siens et de ses élites concrètes. le premier obstacle à vaincre est de repenser le collectif et nous garder de l'individualisme.
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Noam Chomsky, Fabian Scheidler : La fin de la mégamachine. Une civilisation en voie d’effondrement.