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EAN : 9782385630171
96 pages
Les Éditions Mille Cent Quinze (10/05/2024)
4.32/5   11 notes
Résumé :
« Vous avez sans doute entendu dire que les modèles récents ne sont pas juste des robots géants, mais sont aussi organiques, je me trompe ? En fait, ce n’est pas une nouveauté, ça a toujours été le cas : l’organique, c’est l’équipage. Pourquoi ce sont des humains qui font tout ça ? C’est assez évident, non ? On coûte moins cher que des droïdes. »Quand on ne peut plus faire l'économie des combats titanesques face aux assauts répétés de la menace extraterrestre, ne re... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
La vie des Méchas vue de l'intérieur. Comment fonctionnent ces machines de métal gigantesques destinées à protéger l'humanité contre les Titanides, ces hideux et meurtriers extraterrestres qui apparaissent sans cesse, de plus en plus monstrueux, de plus en plus résistants. Mais dans cette novella, on est loin du clinquant de Pacific Rim. Denis Colombi nous plonge dans la réalité dure et peu glorieuse des petites mains, les ouvriers qui permettent à ces vaisseaux de guerre de fonctionner. Car ce n'est pas seulement le pilote, la star des médias, qui leur permet d'avancer et de combattre. Ce sont les dizaines d'inconnus, dans l'ombre de la soute, des bras, des jambes, qui le réparent, l'améliorent à chaque moment du combat. Et d'un coup, notre vision de ces objets de vénération change du tout au tout.

Pour ceux qui aiment les histoires de kaijus vs méchas, il est indispensable de lire cette novella. En moins de quatre-vingt-dix pages, Denis Colombi nous fait découvrir l'envers du décor. En effet, on est habitué à admirer les combats qui opposent ces monstres de chair et d'acier de l'extérieur. D'ailleurs, c'est comme cela que commence le récit. Une femme aborde le lecteur et s'adresse directement à lui. Nous, lecteurices, sommes donc mis en scène alors que nous avons choisi une place idéale pour assister au futur affrontement. Et celle qui nous parle n'est pas n'importe qui. Elle appartenait à ce groupe dont on ignore l'existence : « Je bossais sur les ponts inférieurs. Dans la mécanique. » D'habitude, on ne se demande pas comment marchent les méchas ; comment toute cette machinerie, évidemment extrêmement complexe, fonctionne. Ni comment elle ne se grippe pas pendant la lutte. Comment elle continue à avancer malgré les coups reçus, les pièces arrachées. En fait, c'est grâce à une équipe, nombreuse (une trentaine de personnes), qui s'active avec frénésie pour charger les armes, réparer les dégâts, diriger la puissance vers l'arme la plus efficace. Sans elle, le pilote pourrait toujours appuyer sur ses boutons, au bout d'un moment, rien ne fonctionnerait.

Mais évidemment, on s'en doute, malgré leur travail vital et leur participation à définitive à la survie de l'humanité, les honneurs ne sont pas pour ces travailleurs de l'ombre. Mais ce n'est pas ce qui dérange le plus celle qui monologue durant toute la novella. Non, ce qui l'ennuie, l'exaspère, lui mine le moral, c'est le manque total de prix que l'on accorde à leur vie. Et la situation, si elle n'était pas fameuse au début, se dégrade rapidement. Au fur et à mesure que la lassitude s'installe et que des changements ont lieu dans l'organisation de la lutte contre les Titanides. Et quand un évènement terrible survient, la coupe est pleine.

Quelle brillante idée que ce décalage de point de vue. L'auteur est docteur en sociologie et il utilise avec brio ses connaissances dans ce domaine pour nous offrir un récit vivant et terriblement humain. Même si tout tourne autour de machines phénoménales et de monstres, la novella entière est centrée sur les femmes et les hommes qui vivent avec et pour les méchas. le déséquilibre des pouvoirs, mais aussi la force des médias et du public qui imposent, indirectement, leur volonté. Quand ce dernier se désintéresse des combats, trop habituels, et des combattants déjà vu cent fois, il faut innover afin de maintenir dans les esprits la nécessité de l'effort de guerre. Car c'est bien d'une guerre dont il s'agit. Et de morts. Par dizaines. le fond est sombre. Et le discours peu flatteur pour la société. Et pas nécessairement optimiste pour l'avenir de l'humanité. C'est comme une course en avant dont on ne voit pas la ligne d'arrivée. Et l'on s'y épuise. Jusqu'à commettre des choix plus que discutables. Où certaines vies valent davantage que d'autres. Les mécaniciens, comme les ouvriers auparavant, les paysans autrefois sont ici traités comme quantité négligeable, remplaçable à l'infini. Est-ce tenable ? M.E. O'Brien et Eman Abdelhadi, dans Tout pour tout le monde, envisagent des révoltes populaires menant à l'instauration de communes, qui tendent vers l'égalité et la solidarité. Fabrice Schurmans dans Paris perdus mettait en avant l'inégalité flagrante de nos sociétés et ses conséquences délétères. Et les exemples en littérature sont nombreux de récits qui mettent en valeur ceux qui la société invisibilise. Ceux qui la font tourner, que l'on apprécie quand on en a besoin et qu'on oublie dès que possible pour retourner à notre confort de vie. Denis Colombi, à travers une histoire de machines, parle de l'humain avec finesse et crée l'émotion.

C'est le premier ouvrage des éditions 1115 que je lis et c'est un début très prometteur. Zoé et d'autres avaient déjà attiré mon attention sur certaines oeuvres particulièrement réussies publiées chez cet éditeur. Et je suis ravi d'avoir commencé par Au coeur des méchas tant j'ai apprécié la maîtrise de Denis Colombi pour ce pamphlet de science-fiction contre l'exploitation.
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J'ai lu beaucoup de chroniques qui commençaient par « si vous avez aimé Pacific Rim ou Goldorak, vous allez adorer ». Mais je n'ai vu ni l'un ni l'autre et je ne connais vraiment pas du tout. J'ai donc commencé ma lecture de la novella un peu à l'aveugle. Sûrement aurais-je davantage apprécié ce texte si j'avais vu certaines scènes de Goldorak, puisque la novella semble s'en être pas mal inspirée.
j'ai aussi eu besoin de lire un résumé ici et là pour m'y retrouver parce que j'étais complètement perdue au début.

Les Titanides sont des extraterrestres qui attaquent notre monde. En face, les Méchas sont des robots géants pilotés par des humains d'abord, tellement augmentés ensuite qu'on parle de mutants. Ces derniers sont assistés par toute une foule de technicien.nes et de mécanos à l'intérieur du Mécha.
La narratrice raconte, pendant qu'elle assiste à une baston, ce qu'elle a vécu en tant que mécanicienne, et tout ce que cela implique. C'est ainsi un dialogue fictif tout au long du récit, entre elle et un narrataire fictif, ici le lectorat. Elle nous emmène au coeur des méchas, pendant qu'on est au coeur de l'action et d'une histoire dont on ignore le passé. C'est désarçonnant pour qui aime bien savoir où mettre les pieds, mais ce n'est pas ça qui compte, ici.

Au coeur des Méchas est un texte particulièrement efficace. Finalement, ici, on ne saura jamais quand on est, comment sont arrivés ces extraterrestres ni ce qu'ils veulent (même si on s'en doute). Et ce n'est pas ça l'important. Cette fois, on s'intéresse aux petites histoires, celles des individus inconnus et cachés qui font marcher ces robots géants. J'ai beaucoup aimé la manière dont la mécanicienne évolue au fur et à mesure de son récit. D'abord très enthousiaste, elle évoque ensuite plusieurs fois sa perplexité face à certains événements, pour terminer sur une colère sourde qui lui donne des idées de vengeance. On a donc un texte qui va crescendo dans le discours, en parallèle de la course à l'augmentation sans limites des pilotes.

Recouvrant toutes les fonctions d'un narrateur, la mécanicienne rend son récit vivant en racontant de manière non linéaire, alternant passé et présent avec le recul de celui qui analyse son propre discours et ses actes passés. Ce décalage amène alors une prise de conscience sur son rôle passé et sa propre humanité face à celle des machines. Les machines sont-elles ces colosses robotiques, ou bien les petites mains à l'intérieur qui sont complètement invisibilisées et qui fonctionnent comme de bons petits soldats ? Un texte percutant, efficace et précis, qui manque simplement, selon moi, d'une force émotive. Après, c'est propre à chacun; mais pour ma part, si j'ai aimé ce livre d'un point de vue intellectuel, mon coeur n'a pas bondi ni tressauté.
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Une histoire de petites mains dans un monde de géants.

Lorsque une personne a des compétences dans un domaine et se met à pondre un texte littéraire, ma crainte est : et si son bouquin n'était qu'un prétexte pour nous asséner un cours magistral ? En l'occurrence, il s'agit d'un sociologue, donc de la science molle, ça s'étale mieux ! et de voir de longs passages bien didactiques pour te montrer qu'il est celui qui sait. D'autant plus qu'en le savant n'est pas le plus médiatisé, il faut prouver encore plus son talent. Bref, voici mon état psychologique qu'en j'ai ouvert le livre dont le pitch me faisait bien envie.

Si vous avez déjà vu Neon Genesis Evangelion ou Pacific Rim, vous savez ce qu'est un mécha, un robot géant piloté par un humain. Mais on sait moins d'autres trucs, c'est qu'il y a toute l'équipe d'ingénierie qui se trouvent à l'intérieur de la bestiole pour la réparer. le job de notre protagoniste, c'est mécano, qui raconte son histoire à un quidam venant admirer le prochain combat entre un mécha et un méchant alien.
Un protagoniste goguenard et cynique qui prends conscience de sa place dans la société, un rouage indispensable mais invisible et méprisé. Une réflexion profonde mais jamais lourde sur la condition humaine.

Un texte lu d'une traite, et dont la chute, géniale, permet de continuer l'histoire. Cela m'a fait penser au livre le vieil homme et la guerre de John Scalzi, un sujet proche, de la chair à canon, et un ton léger pour une réflexion profonde. le bémol aurait pu venir d'un univers un peu limité au vue du nombre de pages, la menace alien est présente et peu développé, le peu de personnages idem. Mais je n'ai pas trouvé de manque. J'ai cru à l'univers et au personnages, comme au traitement de l'homme, du moins ici de la femme, car notre mécano est une femme. Une belle réussite, même si les thèmes abordés ne vous séduisent pas d'emblée.

Qu'en est il de l'étalage de sciences de l'auteur ? Il n'y en a pas ! On en redemande. Pas de lourdeurs conceptuelles ni d'étalage de connaissances sociologiques à l'horizon ! Juste une histoire prenante, un personnage attachant et une critique sociale fine et intelligente.

Vous pouvez retrouver une interview de l'auteur sur cette nouvelle sur mon blog : https://lechiencritique.blogspot.com/2024/05/denis-colombi-le-socio-combattant-de.html
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Alors que le monde est régulièrement attaqué par des créatures extraterrestres appelées Titanides, l'armée a mis au point un programme de robots géants répondant au nom de Méchas afin de les combattre. Pour les faire fonctionner, il faut des techniciens, dissimulés à l'intérieur, prêts à réparer la moindre avarie ou à colmater les brèches. Or, l'une d'elle a quelque chose à dire à propos de son expérience passée au sein de ce monticule d'acier. Mais êtes-vous réellement prêts à l'écouter ?

Au coeur des Méchas nous propulse au sein d'un monde apocalyptique tombé sous le joug de menaces extraterrestres qui prend la forme de monstres titanesques. Pour y faire face, l'humanité n'a pas d'autre choix que de construire des machines géantes et ainsi pouvoir jouer sur le même terrain qu'elles. Celles-ci fonctionnent à coup d'intelligence artificielle et d'implants neuronales, mais aussi d'un savoir-faire très humain car finalement les petites mains s'avèrent très utiles pour assurer les réparations d'urgence et ainsi permettre la victoire.

Dans ce futur à la technologie avancée financée par des investisseurs privés, la main d'oeuvre humaine demeure privilégiée car à moindre coût. le progrès est très onéreux et l'armée ne dispose pas des fonds nécessaires pour se passer d'humains. Ils sont donc intégrés à leur programme mais comme quantités négligeables car facilement remplaçables.

Au-delà du côté spectaculaire rappelant des combats de Transformers, Denis Colombi critique surtout un modèle social fonctionnant sur un esclavagisme moderne et cautionné par l'indifférence du plus grand nombre.

Le monde dépeint est d'une grande froideur sans grand respect pour la vie et la sécurité de quelques-uns. L'auteur démontre que cette violence passe par l'invisibilisation de certaines catégories socio-professionnelles. A chaque époque, il y a des sacrifices de personnes dont l'existence ne compte pas pour peu que l'on sauve un maximum. En tout cas, c'est toujours ainsi que cela est présenté comme si cela pouvait tout justifier. Il met en exergue la manipulation facile des masses pour convaincre du bien fondé de tel ou tel agissement, même si celui-ci est innommable comme à travers le remplacement des pilotes de Méchas adultes par des enfants augmentés. Ainsi, en focalisant l'attention sur le divertissement et en changeant la sémantique, l'inacceptable passe et n'est plus contesté.

En quelques pages, il balaie des idées fortes qui viennent habilement questionner la société dans ce qu'elle crée de plus injuste et immorale.

C'est court, incisif et percutant !

Au coeur des Méchas nous conte l'histoire d'une technicienne dont le nom n'est pas partagé pour la laisser volontairement dans l'anonymat propre aux gens qui ne comptent pas car en bas de l'échelle. Par ce biais, l'auteur met ses lecteurs au parfum d'un récit qui s'annonce de suite brutal. On fait donc la connaissance d'une femme qui s'est engagée dans l'armée pour travailler sur un programme militaire qu'elle pensait juste puisqu'il s'agissait ni plus ni moins que de sauver l'humanité. Pourtant un terrible évènement va changer la donne et lui dessiller les yeux. Si au début, elle se laisse aveugler par sa haine et sa colère, elle choisit de l'orienter d'une autre manière afin de détruire le système de l'intérieur en informant ceux qui ne savent car le changement ne peut se faire que collectivement. Y arrivera-t-elle ? A travers elle, l'auteur rappelle le pouvoir des mots, l'importance du partage d'expérience et la transmission de l'information... plus sur Fantasy à la Carte.


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Bonjour à toustes!

👾 Ah, les Méchas et les Kaijus. Qui ne tome pas en pâmoison devant ces immenses animaux imaginaires terrifiants, et leurs antagonistes, robots géants pas moins imaginaires1 utilisés pour les combattre.

🤖 Surtout pas la personnage principale de « Dans le Coeur des Méchas », de Denis Colombi, : C'est en passionnée qu'elle nous accueille, dans son histoire, à hauteur de sa vue à elle. Pas à celle des géants, qui pourtant appelle le regard de tout un chacun.e. Non, par le regard simple et amoureux de quelqu'un.e qui pourrait être vous, moi, nous…

👩‍🔧 Mais notre héroïne, même si elle n'en est pas une2, n'est pas pour autant n'importe qui3. de découvrir dès les premières lignes qu'il s'agit d'une mécanicienne, dont la charge est de dépanner ces fameux Méchas4. Une fois rentrés en sécurité, à l'abri des combats, imaginez-vous ? Détrompez-vous ! Il s'agit bien ici de maintenance « temps réel », et à ce titre, notre amie vit (ou a vécu) bien des combats, à l'intérieur de nos machines adorées.

🧑‍🎓 Denis Colombi, avant d'être auteur d'imaginaire, est avant tout sociologue, agrégé de sciences économiques et sociales, et titulaire d'un doctorat : J'aurais pu être étonné du déroulement du récit si je n'avais pas eu cette information, et si je n'avais pas découvert l'auteur lors d'une table ronde à l'Ouest Hurlant 2024, sur le thème « Quand l'imaginaire défie le Capitalisme ». Ce n'était probablement pas une coïncidence5 😉

🦶 Denis Colombi profite brillamment de ce cadre bien connu de la pop culture pour nous amener à faire ce que j'aime tant en science-fiction et en littératures de l'imaginaire en général : le pas de côté. Et il parvient merveilleusement bien à s'acquitter de sa tâche, à atteindre son objectif. Page après page, non content de nous proposer un récit original, Denis Colombi nous offre un point de vue intelligent et enrichissant sur notre société, et sur notre modèle économique : Culte de la performance, marketing, surpuissance du marketing, de l'image et des médias. Et de l'absence de leur limite lorsque la fin justifie tous les moyens, quoiqu'il en coûte6. Mais je ne m'étendrai pas au risque de gâcher votre plaisir de la découverte.

🤜 Avant de terminer par un final que je n'aurais pas su voir venir, et dont la puissance m'aura donné un coup tel qu'il m'aura fallu un temps pour prendre l'ampleur des analogies développées par l'auteur. Une claque, qui résonne encore en moi, telle une épiphanie sur l'inanité de ce modèle dont il n'existe, nous dit-on, pas d'alternative.

😍 Un coup de coeur, donc, et un coup de maître des éditions 1115, qui publient ici une novella puissante, aux résonances d'essai. Si l'imaginaire seul ne saurait défier le capitalisme, pourrait-il, via les prises de conscience qu'il nous propose, nous amener à collectivement faire le pas7 ?

📖 Résumé

« Vous avez sans doute entendu dire que les modèles récents ne sont pas juste des robots géants, mais sont aussi organiques, je me trompe ? En fait, ce n'est pas une nouveauté, ça a toujours été le cas : l'organique, c'est l'équipage.
Pourquoi ce sont des humains qui font tout ça ? C'est assez évident, non ? On coûte moins cher que des droïdes. »

Quand on ne peut plus faire l'économie des combats titanesques face aux assauts répétés de la menace extraterrestre, ne reste qu'une solution pour sauver l'humanité : l'amputer d'une fraction de sa population en l'envoyant travailler au coeur des Méchas. Mais pour combien de temps, encore ?

🗒️ Notes de bas de page

1 - Sauf si l'autre taré avec ses fusées et ses lances flammes commence à faire l'imbécile avec ça
2 - On n'est pas dans Pacific Rim, désolé ! (film que j'aime beaucoup beaucoup beaucoup. Qui n'a pas de suite. NON IL N'A PAS DE SUITE.)
3 - Même si elle a un peu fait n'importe quoi. J'ai très honte de cette ref.
4 - Son Mécha elle ne lui parle pas d'aventure. Pas sûr qu'il parle d'amour comme il parle de voitures.
5 - Nous Sachons.
6 - Eh merde ! J'ai cité la personne en question. J'ai ripé, désolé !
7 - Je suis un éternel optimiste ! (non.)
Lien : https://20c.fr/au-coeur-des-..
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
C'est rien de dire que les pilotes étaient déjà devenus des stars - mais ça implique aussi qu'ils étaient choisis comme des stars, et en la matière, on le sait bien, ce n'est pas forcément le plus doué qui l'emporte.
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