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Jean Tarse (Traducteur)
EAN : 9782382122471
Akata (22/06/2023)
3.28/5   9 notes
Résumé :
Natsuko est une enfant heureuse. Grâce à son père, travaillant pour l’industrie du lait, elle vit loin du besoin et de la misère. Mais quand un jour, à l’occasion d’un voyage à Hokkaido, elle rencontre une mystérieuse jeune fille dans la brume, elle pourrait bien découvrir certains secrets de famille dont elle ignorait tout.
Quel impact aura cette rencontre sur sa vie ? Quels sont les drames qui ont bousculé le passé de a mère ?
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Depuis son annonce, la collection « Héritages » d'Akata m'enchante. Elle permet de découvrir d'anciens titres importants dans l'histoire du manga qu'on n'aurait peut-être pas eu grâce à eux, notamment les titres féminins, quand on voit la propension à nous offrir ceux des auteurs mais l'absence de ceux d'autrices comme Moto Hagio ou Eiko Hanamura avant eux ! Alors merci.

Avec ce nouveau volume, je peux enfin découvrir le travail d'Eiko Hanamura, artiste morte il y a peu, qui a su imposer sa marque dans le monde du manga en dépit de son sexe. En effet, c'est à elle que nous devons une certaine esthétique qui a pullulé depuis dans le manga destiné à tous les publics : les yeux yeux étoilées avec plein de cils. Amatrice de mode, comme bien de ses successeuses, en plus de proposer de riches et variées histoires, c'est un style graphique qu'elle a su imposer, comme le rappelait l'exposition qui a eu lieu au Carrousel du Louvre du 20 au 22 octobre dernier. Et moi, j'aime les autrices qui imposent ainsi leur patte !

Pour nous la faire découvrir, Akata a peut-être choisi son titre le plus emblématique, à savoir l'un de ses plus longs et le premier à avoir été adapté aussi bien à la télé qu'en roman, une rareté à l'époque pour une femme et pour une histoire dramatique comme celle-ci ! C'est donc un titre très important et vraiment représentatif de son travail que l'éditeur nous présente à grand renfort de témoignages édifiants en fin de tome, un éclairage fort utile. On remerciera Akata pour ce beau travail éditorial, qui va de ces bonus, en passant par une couverture (sous la jaquette) couleur et des pages couleurs aux couleurs des héroïnes de l'histoire.

C'est donc un bel objet d'étude que nous avons entre les mains, représentatif d'une époque et précurseur sur d'autres points. On retrouve dans Autant en emporte la brume une belle ambiance so années 60, avec ces allures d'Enka (chansons populaires japonaises dramatiques, pendant du Fado portugais), mais également un véritable témoignage sur les modes féminines de l'époque à travers les tenues et coiffures multiples des héroïnes, ce qui est charmant. Mais le manga est plus que cela, il offre aussi des thématiques peu voire pas vues dans les titres proposés aux filles pour l'époque. En effet, on parle de kidnapping, d'adoption, de famille reconstituée, de dépression, de tentative de suicide, de mal être et j'en passe. Bien des autrices s'en inspireront ensuite et cela fera même le lie des années 70, avec un style très identifiable chez celles parvenues jusqu'à nous comme Moto Hagio, Keiko Takemiya ou Riyoko Ikeda. J'ai donc aimé découvrir en quelque sorte celle qui avait inspirée mes autrices préférées d'autrefois.

Cependant si je dois me prononcer d'un point de vu plus terre à terre sur l'histoire et la forme que prend cette oeuvre tandis que nous la découvrons près de 60 ans plus tard, je ne peux pas non plus crier au chef d'oeuvre. C'est un titre pétri de défauts formels à l'heure actuelle. La fille de l'autrice nous explique que sa mère a souvent répondu à des commandes et qu'elle était une cheville ouvrière pour son éditeur. Cela se ressent malheureusement ici en dépit de tout ce qu'on peut trouver de louable et précurseur.

En effet, j'ai trouvé, à mon goût, que la narration souffrait très vite d'un trop plein de mélodrame qui a pesé sur celle-ci. Je ne suis pas non plus convaincue par le développement de la psychologie des personnages que je trouve très superficielle et manichéenne finalement, reflet également d'une certaine conception de la femme au Japon, malgré un certain vent de modernité avec quelques portraits de femmes indépendantes. La narration est également maladroite, l'autrice ayant tendance à nonobster les transitions, ce qui donne des changements abrupts. Tout cela rend vraiment la narration datée, plus que n'ont pu l'être des titres parus juste quelques années après, ce qui est peut-être la marque de la césure qu'elle va apporter dans le genre pour celles qui vont suivre. Ici, elle est encore de l'ancien monde, les autres seront dans le nouveau monde.

Je n'ai cependant pas bouder mon plaisir dans cette histoire aux allures de conte familial dramatique comme dans les films d'Audrey Hepburn. J'ai été rapidement touchée par l'histoire, certes totalement exagérée et improbable, de Yuko, une belle femme de chef d'entreprise mariée sans amour, qui regrette son passé et va être confronté à un drame de celui-ci, qui va également bouleverser la vie de sa fille Natsuko. le récit des épreuves de cette première était touchant, l'autrice osant aborder les questions de la pauvreté, du poids de la famille, du mal être et de la dépression avec elle. J'ai plus de réserve avec les autres personnages où j'ai trouvé la valse des sentiments fatigante à la fin même si justifiée. L'autrice a vraiment su peindre une riche fresque familiale à la Dallas, pleine de secrets, de mélodrames, de révélations, de rebondissements et de bouleversements. On ne s'ennuie pas. Seul le final est peut-être un peu trop abrupte venant casser un rythme qu'on venait de trouver et qu'il aurait été bon de prolonger encore quelques pages.

Alors récapitulons : j'ai aimé le portrait d'une époque en plein changement que fut ce titre. La passion de l'autrice pour la mode m'a parlé. J'ai beaucoup aimé qu'elle ait eu son style et qu'elle ait fait des émules. J'ai trouvé audacieux qu'elle ose traiter de sujets plus sombres et complexes qu'auparavant. Cependant, lu, en 2023, je trouve la narration pleine de maladresses et de trous, et le travail sur la psychologie des personnages un peu rapide et léger. Ses successeuses, même pas 10 ans plus tard, ont fait bien mieux. Ce qui m'amène à dire que l'autrice est encore prisonnière de son époque dans ce titre même si elle insufflera ensuite un vent de fraîcheur sur la prochaine génération.

Autant en emporte la brume est donc un texte fort intéressant pour l'histoire du manga et du shojo manga en particulier, mis en lumière par le travail éditorial d'Akata. J'ai beaucoup aimé sa valeur patrimoniale. En tant qu'objet de lecture cependant, le plaisir fut moindre avec une histoire trop mélodramatique et remplie de maladresses narratives pour moi. Je trouve l'histoire assez anecdotiques en elle-même par rapport à ce que le style et les thèmes de l'autrice apporteront plus tard aux autres. Je remercie cependant Akata pour la découverte de ce jalon et j'espère qu'il y en aura d'autres !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Je ne suis pas une grande lectrice de manga mais la couverture de celui-ci m'a attiré ainsi que les dessins.
L'autrice nous raconte une histoire mélancolique, abordant des thèmes difficiles tels que l'adoption, le suicide et la pauvreté. Bien que le déroulement de l'intrigue puisse sembler prévisible par moments et que certains éléments du scénario peuvent paraître excessifs l'histoire reste addictive.
En ce qui concerne les personnages, je trouve qu'ils sont intéressants mais parfois sujets à des exagérations émotionnelles et que certains aspects de leur développement pourraient être approfondis. J'ai apprécié néanmoins la complexité des relations familiales explorées dans l'histoire.
Malgré quelques aspects négatifs, j'ai pris du plaisir à découvrir cette oeuvre. J'ai aimé la morale de l'histoire qui met en avant l'importance des liens familiaux forgés par les moments partagés plutôt que par le sang. le petit plus pour les lecteurs curieux sont des interviews de la mangaka présentes en fin d'ouvrage.
Pour moi ce manga reste une belle découverte.
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Merci déjà à Masse Critique et aux éditions Akata pour l'envoi du manga Autant en emporte la brume qui me faisait vraiment de l'oeil jusque-là et pour lequel je donnerai donc avec joie mon avis. C'est l'occasion également de découvrir Eiko Hanamura, mangaka assez reconnue au Japon apparemment, mais dont j'ignorais jusque-là l'existence (mea culpa, mais il faut dire aussi que le monde du manga est devenu très vaste).

Pour commencer, j'avoue avoir bien aimé les dessins, ça fait très shojoesque pour le coup avec les grands yeux aux longs cils qui montrent bien les émotions des différents personnages. On pourra néanmoins reprocher les décors assez minimalistes (à quelques exceptions près, notamment le passage au cap Erimo qui était assez percutant) et j'ai trouvé la manière de décrire l'action un peu perturbante parfois et pas forcément nécessaire quand le dessin se suffit à lui-même (page 8 par exemple, la mangaka précise : « Yûko ferma soudain les yeux ; comme pour échapper à ses lointains souvenirs… » alors qu'on la voit très bien accomplir l'action, l'air pensif). Mais les descriptions restent néanmoins très bien écrites à défaut d'être un peu trop nombreuses à mon goût.

Le déroulé de l'intrigue reste assez prévisible dans l'ensemble, j'entends par là qu'on se doute vite par exemple de l'identité de la fille mystérieuse que croise Natsuko, l'une des héroïnes, dans les bois étant donné toute l'exposition préalable. Il y a aussi de grosses facilités scénaristiques (). Mais l'histoire demeure malgré tout intéressante entre secrets de famille, romance, jalousie, amitié et sacrifice. J'ai bien apprécié la diversité des thèmes matures abordés : adoption, vengeance, dépression (même si ça reste assez succinct), mort… Mais j'ai quand même trouvé qu'on versait un peu trop dans le mélodrame avec les problèmes qui s'accumulent au point où cela devenait un peu surréaliste () et on ne cesse de répéter que Rika est trop triste, qu'elle souffre sans cesse, je pense qu'on a compris au bout d'un certain temps.

En dépit de ça, les personnages restent intéressants avec une Natsuko Ichijô - fille adoptive de Yûko - pleine de vie au début qu'on découvre un peu plus nuancée que ça lorsqu'elle découvre certaines choses chez Rika Enoki. Cette dernière, quand elle n'en fait pas des caisses pour s'apitoyer sur son sort, est admirable dans sa tendance à se sacrifier pour le bien des autres () même si j'ai trouvé qu'elle pouvait basculer un peu trop vite d'une émotion à l'autre () alors qu'il aurait peut-être été plus pertinent de prendre le temps de développer tout ça. le lien que toutes deux entretiennent avec Yûko, leur mère, était assez intéressant à voir, d'autant plus qu'il aura été régulièrement mis à l'épreuve. Dans l'ensemble, les personnages auront néanmoins parfois eu trop tendance à expliquer ce qu'ils ressentent, là encore on aurait dû pouvoir le ressentir en grosse partie via le dessin sans devoir s'attarder longuement dessus. Les personnages secondaires (amis des deux héroïnes notamment) auraient aussi peut-être gagné à être un peu plus développés, mais c'est du détail.

Pour conclure, j'ai apprécié ma lecture en dépit des aspects négatifs que j'ai pu souligner. C'est une oeuvre qui ne fera clairement pas partie de mes meilleures lectures, mais que j'ai pris plaisir à découvrir. Ça se laisse lire même si j'avoue avoir eu du mal à m'investir complètement dans cette histoire un peu trop larmoyante à mon goût et à m'attacher aux personnages qui tendaient à verser bien trop souvent dans l'exagération. La morale de l'oeuvre reste jolie, à savoir que ce ne sont pas les liens du sang qui priment avant tout, mais bien les moments passés ensemble malgré les querelles que peuvent engendrer les méprises. Une bonne lecture, mais loin d'être inoubliable. Des interviews de la mangaka sont présentes en fin d'ouvrage et s'avèrent enrichissantes pour les plus curieux d'entre vous.
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Autant en emporte la brume de Eiko Hanamura (traduction, Jean Tarse) aux éditions Akata (collection Héritages) est ma première lecture de manga.
Pensez donc, jusqu'à présent, j'ignorais même qu'un manga se lit de droite à gauche et de haut en bas, c'est vous dire le degré de mon ignorance en la matière !
Passé le premier léger inconfort, je me suis rapidement faite à ce type de lecture...
le manga s'ouvre sur la vie d'une famille heureuse résidant dans une banlieue chic de Tokyo.
Le papa, Ichijô, est aimant envers son épouse et son enfant, mais il est peu présent car il s'absente régulièrement pour gérer ses affaires florissantes.
La maman, Yûko, s'occupe de la maisonnée. Très rapidement on sent une certaine mélancolie dans son attitude. Un fort trouble la tourmente et l'empêche d'être pleinement heureuse ("Je voudrais tellement oublier ce jour qui m'a fait tant souffrir... mais mon coeur me ramène contre mon gré vers le passé...").
Leur fille, Natsuko est une adorable fillette, débordant d'énergie, joyeuse, spontanée. Elle est choyée par ses parents.
A la faveur d'un voyage en hiver à Hokkaïdo, nous apprenons que la maman porte un lourd secret...
A l'époque où elle s'est mariée avec le riche Ichijô, elle a décidé de rompre avec Enoki, son amant bien aimé. Ce mariage était le seul moyen de garantir un moyen de subsistance à sa famille (parents et fratrie) très pauvre.
Fort heureusement, son couple fut très heureux et une petite fille, Rika, vint ajouter encore plus de joie dans leur foyer. Mais quelque temps plus tard, l'enfant leur fut enlevée, mystérieusement kidnapée.
Rapidement, Ichijô et Yûko adoptent Natsuko. Ils ne lui révèlent rien de leur première fille kidnapée ni même qu'elle-même a été adoptée.
Pourtant, Natsuko, si vive, fine et intelligente, va ressentir à l'adolescence qu'il manque quelques pièces au puzzle de son identité...
Ce qui est beau, c'est que c'est au travers (!) d'une scène importante du roman graphique que Natsuko va enclencher un processus d'éveil, puis de résilience. Cette scène se passe à Hokkaïdo, île réputée pour ses brumes.
Ce thème romantique nous dit toute l'épaisseur, mais aussi l'évanescence du mystère des sentiments liés à l'amour/la jalousie, le pardon/la vengeance, la joie/la tristesse, mais aussi toute l'ambivalence entre la richesse/la pauvreté, l'homme/la femme, la présence/l'absence, la dépendance/la liberté, le souvenir/le présent...
La brume, le brouillard sont aussi une métaphore poétique qui nimbe le sujet central de la quête d'identité de nombreux questionnements autour de la paternité/maternité biologique ou non. Pour finir, c'est l'amour qui gagne toujours, famille recomposée ou pas.
Il est aussi souvent question d'accablement, même de suicide, face à des événements ou des situations impossibles à gérer ou pour lesquels les pesonnages peinent à trouver une solution.
L'ouvrage se termine avec des explications quant à ce qui est considéré comme le chef-d'oeuvre d'Eiko Hanamura, mangaka et illustratrice japonaise décédée il y a trois ans à l'âge de 91 ans. Elle fut très influencée et inspirée par la peinture lyrique.
Autant en emporte la brume a été publié dans les années soixante, sous forme de feuilleton dans un magzine pour filles, mais pas dans son intégralité.
Il a ensuite été adapté en 1975 pour une série télé, remportant un vif succès. le générique, Ano hi ni kaeritai de Yumi Arai en est devenu un tube archi connu.
Ce n'est qu'avec cette collection Héritages chez Akata qu'une version intégrale de ce manga est proposée aux lecteurs.

Je ne vous cache pas que cette oeuvre mélodramatique est tellement loin de ce que je lis habituellement que j'ai eu bien du mal à accrocher à ce récit truffé de sentiments exacerbés exprimés avec grandiloquence.
J'imagine bien que ce lyrisme est le propre de ce type d'écrits, mais les aventures et rebondissements vécus par les personnages sont tellement invraisemblabes et irréalsites que j'ai eu parfois un mal fou à poursuivre ma lecture.

En revanche, j'ai été très admirative devant les si nombreuses illustrations (notamment l'esthétisme des arbres et en particulier, les bouleux). Je me suis amusée à voir comment les yeux des jeunes filles sont représentés tout étoilés d'immenses cils scintillants pour exprimer des sentiments amoureux ou de joie, de bonheur, ou de mélancolie...
Pour résumer, j'ai aimé découvrir un genre qui m'est tout à fait inconnu, j'ai apprécié les illustrations qui servent admirablement la narration, mais les trop nombreuses invraisemblances vécues par les personnages m'ont ennuyée... Je reste toutefois intriguée par ce genre et curieuse de lire d'autres mangas, à l'occasion.

Je remercie vivement Babelio (opération Masse Critique), ainsi que les éditions Akata pour leur confiance. Cela m'a permis de lire ce livre qui a allumé l'intecelle de ma curiosité vers l'univers des mangas.




Lien : https://www.emmacollages.com..
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Je suis une grande lectrice de manga en tous genres, aussi à la dernière masse critique quand j'ai vu cette nouvelle collection Héritages, j'ai été assez curieuse. Après lecture, c'est sûr qu'il y a un décalage par rapport aux mangas actuelles, voir même de ma génération il y a 20 ans en arrière! C'est assez mélodramatique et cucul la praline, mais j'ai tout de même accroché! Les dessins très kitchs n'en sont pas moins jolis et l'histoire est touchante.
Bref, une belle expérience et je remercie Babelio pour cette belle découverte.
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critiques presse (2)
LeMonde
31 octobre 2023
Si l’âge du récit peut désormais éloigner les lecteurs de son avant-gardisme, la délicatesse du dessin et le lyrisme de son récit opèrent toujours.
Lire la critique sur le site : LeMonde
MangaNews
18 octobre 2023
L'oeuvre vieillit […] très bien, grâce à une narration très littéraire, parfois superbement lyrique […] et prenant le temps de sonder en profondeur les diverses émotions parcourant Natsuko, Rika, Yûko et les autres.
Lire la critique sur le site : MangaNews
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Je voudrais tellement oublier ce jour qui m'a fait tant souffrir... mais mon coeur me ramène contre mon gré vers le passé...
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