Je l'ai lu, en version originale dans la (bien nommée) collection "la mauvaise chance"
Ce polar était considéré par François Rivière, comme l'un des plus noir de l'époque de l'immédiat après-guerre.
Il y règne une atmosphère morne et sale de vieille banlieue de Paris... de celle que l'on voit sur certains clichés de Robert Doisneau.
Un grand polar, tiré de l'oubli injuste par l'adaptation en bd de Jacques Tardi.
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A la manière d’un cinéaste, Tardi a investi le texte, lui donnant le réalisme poétique de ses dessins. Son découpage est précis, sec. Il représente la bêtise humaine sans méchanceté ni cynisme, mais avec sensibilité et générosité. Il n’excuse pas mais il cherche à comprendre.
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