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EAN : 9782070342907
304 pages
Gallimard (22/03/2007)
3.25/5   704 notes
Résumé :

"Ne rien dire, ne pas s'envoler dans le commentaire, rester à la confluence du savoir et de l'ignorance, au pied du mur. Montrer comment c'est, comment ça se passe, comment ça marche, comment ça ne marche pas. Diviser les discours par des faits, les idées par des gestes. Juste documenter la quotidienneté laborieuse".

"Entre les murs" s'inspire de l'ordinaire tragi-comique d'un professeur de français. Dans ce roman écrit au plus près... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (94) Voir plus Ajouter une critique
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sur 704 notes
C'est bizarre, généralement, les adaptations de livres au cinéma sont souvent moins réussies.
Avec « Entre les murs » c'est tout le contraire.
Pourtant le sujet est forcément intéressant, d'autant que Bégaudeau a vécu de l'intérieur les problématiques liées au métier d'enseignant. Comment faire comprendre à des mômes que la connaissance et la culture peuvent être un atout pour réussir sa vie et les sortir d'un milieu loin d'être idéal, comment garder la niaque lorsque la moitié de votre temps consiste à recadrer, à réprimander, à sanctionner ? Comment cotoyer ces collègues qui n'ont pas forcément la même vision que vous ?
Ou le film trouve sa force dans l'échange incessant entre les élèves et leur prof (Bégaudeau et les ados du film sont formidables), le roman lui, semble par moment désincarné. Bégaudeau dans son livre est plus dans le détachement, le cynisme, l'humour aussi, comme si l'auteur regardait tout cela avec un certain désintéressement aussi et c'est ce parti pris voulu ou pas qui m'a empêché d'apprécier complètement son roman, le film de Cantet palme d'or cannoise est autrement plus emballant. Un petit trois étoiles tout de même.

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En se basant sur son expérience de prof de français en ZEP, François Bégaudeau raconte... le quotidien d'un prof de français en ZEP : dans sa classe, dans la salle des profs ou encore en conseil de classe ou de discipline, mais toujours entre les murs du collège.

Alors que Bégaudeau le prof s'échine à expliquer aux élèves que l'écrit obéit à d'autres règles que l'oral, Bégaudeau l'auteur n'en respecte aucune dans ses écrits ! C'est tantôt amusant et tantôt agaçant... Plus amusant : il se moque de tous ces gens, profs comme élèves, qui répètent sans fin les mêmes phrases ou les mêmes situations, en répétant lui-même certaines phrases ou certains paragraphes. Malgré ce style parfois loufoque, la lecture est très facile et au début plutôt touchante.

Cela dit, au fil des pages, l'ironie semble prendre le dessus et la situation d'échec devenir insurmontable. Bien sûr, on sent que Bégaudeau le prof essaie jusqu'au bout de sensibiliser ses élèves aux problématiques de notre société et de leur apprendre à réfléchir par eux-mêmes. Mais lui-même n'a plus l'air d'y croire vraiment... Il commence à raconter cette situation tragique au lieu d'essayer de l'améliorer; le livre, toujours mordant, devient alors un peu vain à mes yeux.

Merci à Anne/Rabanne pour l'échange.
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Tout se passe entre les murs d'un collège, tout s'affronte dans ce collège, tout se crie, se tord, s'arrache les poils dans ce milieu de l'enseignement. Un collège difficile pour des êtres difficiles (profs comme élèves) aux rapports difficiles en des temps difficiles, sous le regard d'un professeur de français dépassé par des événements désastreux qui le lient à ses élèves, avec lesquels il n'arrive pas asseoir un dialogue sein en tant que pédagogue, tout finit par des emmerdes de part d'autre, aussi bien pour des élevés que pour l'enseignant, on découvre un monde de l'éducation où les anciennes lois et règles n'ont plus la pertinence d'agir sur les élèves, un monde où la transmission du savoir et de la connaissance est remise en question tant elle est capitale...

Prenant cas de son témoignage, l'auteur aborde un sujet très intéressant concernant l'éducation mais son message n'est pas très compris tant le langage, bien que très familier, a alourdit le style de l'auteur, on aurait voulu qu'il ait gardé son regard d'enseignant dans le langage...il faut dire que le film vaut mieux que le livre...
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Voici une petite relecture, pour une lecture commune avec mon amie Mademoiselle_Lecture. Je ne suis pas surprise de voir qu'on a eu le même ressenti sur ce livre.

François Bégaudeau nous livre ici son quotidien dans un collège difficile, en tant que professeur de Français.

J'ai un peu de mal à donner mon avis sur ce livre, parce que le sujet est très intéressant, mais la manière dont est rédigé le livre me dérange. Il est en effet difficile de rentrer totalement dans l'histoire quand on voit l'écriture de ce livre. Un professeur de Français est le premier à nous dire qu'il ne faut pas écrire comme nous parlons, mais c'est le premier à le faire dans ce bouquin. Autant vous dire que je n'ai pas vraiment apprécié.

Venons-en justement, au professeur lui-même. Ayant connu un collège « difficile », la première chose que je me suis dit durant cette lecture était « Heureusement que je ne l'ai pas eu comme professeur, sinon, j'aurai totalement perdu confiance en moi ». Je veux bien admettre que d'enseigner dans des collèges comme celui-ci n'est pas facile, mais enseigner n'est pas facile du tout. Il faut s'adapter un peu à tout le monde, sans en oublier véritablement le programme… Mais ici, j'ai trouvé François Bégaudeau fermé d'esprit, se moquant de ses élèves sans se soucier une seule seconde de l'impact que ça pourrait avoir sur l'enfant, cherchant la sympathie de ces derniers quand il se rendait peut-être compte qu'il était allé trop loin…

Ici, je n'ai pas vu un professeur amoureux de son métier, comme le sont beaucoup de professeur de Français et j'en suis fortement déçue.

Par contre, j'ai eu l'occasion de voir le film « Entre les murs » de Laurent Cantet, et franchement, pour une fois, j'ai préféré l'adaptation cinématographique. J'ai parfois ri, parfois eu de la peine, j'ai passé un bon moment devant ce film.
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N°314 – Septembre 2008

ENTRE LES MURS – Un film de Laurent CANTET [Palme d'or Cannes 2008].

Il est de la “Palme d'or” comme du “Prix Goncourt”, on parle de l'oeuvre qui est couronnée et elle fait débat! C'est d'ailleurs heureux puisque, pour un créateur, rien n'est pire que l'indifférence. Ici, c'est carrément une polémique que suscite ce film et on oscille entre des extrêmes, soit on est laudatif voire inconditionnel, soit les critiques pleuvent...

A s'en tenir au film, qu'en ai-je retenu? D'abord le décor : une classe de 4° dans un collège de ZEP d'une banlieue difficile où un professeur de Français peine à faire son véritable métier, celui d'enseigner notre langue, de provoquer les réactions constructives de ses élèves, de leur donner l'occasion de s'exprimer sur le programme scolaire mais aussi sur la langue, la littérature, la syntaxe, le vocabulaire...

Premier constat : le message ne passe pas et le malheureux enseignant à qui on demande de nombreux diplômes pour être nommé à ce poste a du mal à se faire entendre de ses élèves et en est réduit à faire de la discipline dans sa classe, pour la simple raison qu'il n'y règne pas l'ordre et le silence nécessaires à la transmission du savoir. C'est aussi un paradoxe, ce professeur souhaiterait évidemment plus de sérénité dans son cours, même s'il a été, quelques années avant, un étudiant un peu indiscipliné, voire chahuteur, dans les amplis de la faculté! Cela est souligné par le personnage d'Esméralda, volontiers frondeuse et irrévérencieuse... qui veut plus tard être policière, sans doute par amour de cet ordre qu'elle contribue largement à perturber dans ce microcosme!

Deuxième constat : Les élèves veulent rester dans le système scolaire, même si, d'évidence, il ne leur sert à rien: témoin cette jeune fille au début du film qui ne veut pas être dirigée sur le “secteur professionnel” alors que son avenir est plus sûrement dans ce domaine que dans le milieu scolaire traditionnel d'où elle sortira sans diplôme et donc sans perspective. Cette classe étant composée majoritairement d'enfants d'immigrés, on comprend bien que l'école, qui devrait être regardée comme une chance d'intégration est en réalité une voie de garage. S'ils en sont exclus, ce sera aussi l'expulsion administrative du territoire avec toutes les conséquences qu'on peut imaginer. Dès lors, l'école apparaît comme un moyen des plus artificiels de maintenir un fragile équilibre que les élèves eux-mêmes, en dépit de leur intérêt, ne font rien pour entretenir.

Troisième constat : Les enseignants de ce collège sont conscients de cela, témoin ce professeur de mathématiques qui, en se présentant à ses collègues, se déclare “prof de tables de multiplications”! C'est assez dire le niveau de cette 4° où, d'évidence, les acquis des années antérieures sont nuls! D'ailleurs, on n'entend jamais François Marin parler de littérature, ce qu'il devrait quand même faire! Chacun de ses cours n'est qu'un long et pénible débat, par ailleurs oiseux et sans méthode, avec ses élèves, sur tout et n'importe quoi... Et on se demande bien ce qu'ils peuvent en retirer.

Quatrième constat : L'organisation d'une société à laquelle l'école est censée préparer inclut l'ordre. le professeur devrait incarner l'autorité et, à l'évidence, ne le fait pas puisque non seulement il accepte, au nom sans doute de la dialectique, un dialogue qui se révèle stérile avec des élèves inconsistants dont on comprend vite qu'ils sont ici pour passer le temps, mais surtout perd son sang-froid et se met lui-même dans une position difficile à tenir. le spectateur sent bien que l'autorité dont est censé être revêtu le chef d'établissement, et à travers lui l'école, ne peut rien face à la mauvaise volonté des élèves. La décision du Conseil de discipline prononçant l'exclusion de Souleymane est révélatrice. Il sera expulsé de France [on devine son avenir] et paiera seul ce qui n'était qu'un dérapage partagé né de l'insolence constante de cette classe, mais aussi du manque d'autorité du professeur. [Le spectateur aurait sans doute espéré davantage de mansuétude dans le prononcé de cette sanction!]

Cinquième constat : Ce film montre bien bien que ceux qui sont irrévérencieux sont noirs ou d'origine maghrébine, les blancs et les jaunes méritent félicitations et encouragements, ce qui correspond bien à l'image [malheureuse] de notre société multiraciale pour laquelle l'école veut être une chance d'intégration, ce qu'en réalité elle est rarement! C'est la mère de Souleymane qui présente, dans sa langue, ses excuses personnelles au nom de son fils pour éviter l'exclusion que celui-ci semble maintenant accepter comme une fatalité. Double constat d'échec en matière d'éducation, celui de l'école certes, mais aussi celui de la cellule familiale.

Sixième constat : la faillite de l'école mise en évidence par les dernières secondes du film. Cette séquence pose question. Une élève qu'on n'a pas vue pendant le long métrage, c'est à dire qu'elle ne s'est signalée ni par son insolence ni par son assiduité, vient avouer simplement “qu'elle n'a rien appris pendant l'année”! On suppose qu'elle s'est également ennuyée dans les classes précédentes. C'est là un constat des plus alarmants remettant en cause le fondement même de l'enseignement et, au-delà, de notre société.

Septième constant : à mon avis, le rôle d'un professeur de Français, surtout en 4°, est de donner envie à ses élèves de lire. Cela ne me semble pas évident au vu de ce film, nonobstant l'épisode du journal d'Anne Frank. Je voudrais cependant souligner que l'allusion d'Esméralda à “La République” de Platon, qu'elle dit avoir lu avec intérêt me semble un peu artificiel face à l'image qu'elle a donné d'elle. Soit c'est faux et c'est dommage, soit c'est vrai et François Begaudeau, l'auteur du roman qui a servi de prétexte à ce film, n'a plus qu'à changer de métier, ce que je crois, il a fait.

J'observe enfin qu'un débat s'instaure entre les élèves sur la nationalité française et qu'Esméralda déclare n'être pas fière d'être française. Pourtant, j'imagine que ses parents, eux, ont beaucoup souffert pour cela et ne doivent pas renier leur choix!

Un film est une oeuvre d'art. le rôle d'un artiste n'est pas seulement de créer, c'est à dire de réaliser une fiction, c'est aussi de porter témoignage de son temps. de ce point de vue, Laurent Cantet remplit son rôle, d'autres cinéastes l'ont fait également avec talent, même si ce témoignage est nécessairement partiel, voire partisan. En tout cas, son film ne laisse pas indifférent. C'est là un documentaire plus qu'une oeuvre de création, mais je continue de penser et même d'espérer que l'école reste globalement un moyen d'éducation, voire d'intégration et un des fondements de notre société.
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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Le prof de français pose une question:
“Qu’est-ce qui s’est passé d’important le 10 mai 1981?
Quelques nez ont relevé la tête, s’interrogeant.
- Le 10 mai 81, ça vous dit rien?
Les nez étaient des flaques en histoire contemporaine.
- Le 10 mai 81 il s’est passé deux choses, et on peut dire que l’une a un peu effacé l’autre.
Né le 3 janvier 1989, Aissatou s’activait les neurones sous son bandana noir.
- Un attentat?
- A l’époque, il y en avait pas autant que maintenant. La mode c’était plutôt le disco.
1981 ne réveillait personne. (...)
- Bon le 10 mai c’est aussi l’anniversaire de ma soeur mais ça on s’en fout un peu.
Soumaya a poussé un cri de pétasse.
- Elle a quel âge votre soeur m’sieur?
- Devinez.
Des nombres ont fusé, qui allaient de douze à cinquante-deux.
- OK, j’vous dirai ça une autre fois. Le 10 mai 1981, François Mitterand a été élu président de la République, et Bob Marley est mort. Evidemment on a pas parlé de Bob Marley parce que l’élection de Mitterrand c’était quelque chose de très important à l’époque.
- Il est mort comment, m’sieur, Bob Marley?
- Il est mort quand il a vu que Mitterrand était élu.
- C’est vrai?
- Complètement vrai.
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« Me tournant vers Ming, j'ai dit qu'Autrichien c'était assez connu en fait, mais bon c'était vraiment un petit pays, qu'on s'en fichait un peu des Autrichiens. Tu connais quand même le pays qui s'appelle l'Autriche, Ming ?
- Non.
- Bon ben franchement c'est pas la peine de s'esquinter le cerveau là-dessus, parce qu'en gros, c'est un pays qui n'a aucune importance dans le monde, et pas même en Europe. Est-ce que quelqu'un connaît un Autrichien célèbre ?
Aucun doigt levé, c'était plié.
- Voilà, j'vous le disais. Si une bombe rayait l'Autriche de la carte, personne s'en rendrait compte. »
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- Y'a ma mère qui m'attend.
- Elle attend que tu t'excuses.
- Pardon.
- Pardon quoi ?
- Pardon c'est tout.
- Pardon quoi ?
- J'sais pas.
- Répète après moi: monsieur, je m'excuse d'avoir été insolente envers vous.
- J'ai pas été insolente.
- J'attends: monsieur, je m'excuse d'avoir été insolente envers vous.
- Monsieur, je m'excuse d'avoir été insolente envers vous.

C'était récité mécaniquement, avec une ostensible absence de conviction. J'ai quand même tendu le carnet qu'elle a aussitôt saisi avant de sautiller vers la porte. Au moment de disparaître dans le couloir, elle s'est exclamée

- J'le pense pas.
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Laxiste = permissif.
Faut-il restaurer l'autorité qu'ont connu nos grands-parents à l'école? Je pense que l'on doit laisser le passé derrière nous et que les choses qui ont bien fonctionné auparavant seront peut-être moins efficaces maintenant et dans le futur. Je pense que c'est à l'adulte de s'affirmer et d'imposer ses règles selon ses valeurs, et non pas au nom d'une mode qui reviendrait en force et consisterait à être plus sévère envers des élèves.
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P150: Conflit

J'ai pointé l'index sous son nez et collé mes yeux dans les siens.
- J'ai pas besoin d'tes commentaires.
- Pourquoi vous vous énervez?
- Tais-toi.
- Si j'veux j'rentre dans la classe.
- Essaie un peu pour voir.
Il remontait les marches à ma suite.
- Qu'est-ce que vous allez m'faire si j'rentre? Vous allez m'frapper?
- Bon ok, on va au bureau.
(...)
Bon an mal an, nous étions arrivés derrière la porte du bureau.
- Tu fais moins le malin, là.
- J'm'en fous.
- Tu t'en fous mais tu fais moins l'malin.
Le principal n'était pas là. Dico s'est réjoui en silence.
- Tu t'assieds là, je vais le chercher.
Il ne s'est pas assis.
- Tu t'assieds là et tu t'tais.
- C'est vous qui parlez."
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Vidéo de François Bégaudeau
C'est par la poésie que Gaëlle Josse est entrée en littérature. Elle a publié plusieurs recueils, jusqu'à ce jour où elle découvre un tableau d'un peintre flamand qui la happe littéralement. Sur cette toile, une femme, de dos, dont il devient urgent pour Gaëlle Josse de raconter l'histoire. Son premier personnage est là et le roman naît. Les Heures silencieuses paraît en 2011. En treize ans, treize autres livres suivront : des romans, des essais, un recueil de microfictions. Tous nous embarquent dans des univers différents, font exister des personnages -réels ou fictionnels-, disent la force de l'art -pictural, photographique ou musical-, et mettent des mots sur nos émotions avec une grande justesse.
Au cours de ce deuxième épisode de notre podcast avec Gaëlle Josse, nous continuons d'explorer son atelier d'écrivain : ses obsessions, son processus d'écriture, la façon dont le désir d'écrire naît et grandit. un conversation émaillée de conseils de lecture et d'extraits.
Voici la liste des livres évoqués dans cet épisode :
- Et recoudre le soleil, de Gaëlle Josse (éd. Noir sur blanc) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/20108563-et-recoudre-le-soleil-gaelle-josse-les-editions-noir-sur-blanc ;
- À quoi songent-ils, ceux que le sommeil fuit ?, de Gaëlle Josse (éd. Noir sur blanc) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23044434-a-quoi-songent-ils-ceux-que-le-sommeil-fuit--gaelle-josse-les-editions-noir-sur-blanc ;
- La Nuit des pères, de Gaëlle Josse (éd. Noir sur blanc/J'ai lu) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22564206-la-nuit-des-peres-gaelle-josse-j-ai-lu ;
- Ce matin-là, de Gaëlle Josse (éd. Noir sur blanc/J'ai lu) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/20840891-ce-matin-la-gaelle-josse-j-ai-lu ;
- L'Amour, de François Bégaudeau (éd. Verticales) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22446116-l-amour-francois-begaudeau-verticales ;
- La Sentence, de Louise Erdrich (éd. Albin Michel) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22512129-la-sentence-louise-erdrich-albin-michel.
Invitée : Gaëlle Josse
Conseils de lectures de : Anthony Cerveaux, bibliothécaire à la médiathèque des Capucins, à Brest, et Rozenn le Tonquer, libraire à la librairie Dialogues, à Brest
Enregistrement, interview et montage : Laurence Bellon
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Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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