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EAN : 9782253908036
480 pages
Le Livre de Poche (27/03/2024)
  Existe en édition audio
4.04/5   2917 notes
Résumé :
Si tu te demandes ce que nous faisons ainsi, loin des hommes, je vais te dire : nous veillons sur notre petit univers, nous veillons les unes sur les autres. C’est ce que font les femmes du bout du monde.

À la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, dans la région isolée des Catlins, au cœur d’une nature sauvage, vivent Autumn et sa fille Milly. Sur ce dernier bastion de terre avant l’océan Austral et le pôle Sud, elles gèrent le camping Mutunga o te ao, l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (388) Voir plus Ajouter une critique
4,04

sur 2917 notes
MAGNIFIQUE !✨️ Coup de ❤️

À la pointe de la Nouvelle-Zélande, au plus près du pôle Sud vivent Autumn et sa fille Milly. Elles gèrent un camping, au bout du monde, au coeur d'une nature sauvage et préservée. Un duo inséparable et une routine bien huilée jusqu'à l'arrivée de Flore, une jeune parisienne en quête d'un nouveau départ. Peu à peu, les trois femmes vont s'apprivoiser...

Entre violentes bourrasques et sublimes couchers de soleil, Mélissa Da Costa nous offre un sixième roman magistral et d'une beauté infinie. Une nouvelle fois, elle parvient à se renouveler en nous livrant un roman plus contemplatif que ses précedents, mais toujours aussi enivrant et émouvant. Les femmes du bout du monde, m'ont embarquées, m'ont fait découvrir leur foyer qui surplombe une baie où nagent des dauphins, caché au coeur de roseaux sauvages. Elles m'ont fait goûter à une certaine liberté. Loin de tout. Où la vue est infinie et la nature occupe la plus grande des places.

Peu à peu, on va en découvrir de plus en plus sur ces femmes, et inévitablement, s'y attacher profondément. Flore, les raisons qui l'ont poussées à partir le plus loin possible, Milly, ses fêlures, les rêves qu'elle voudrait réaliser, Autumn, les blessures qu'elle doit panser.

Un nouveau roman absolument magistral, une vraie ôde à la liberté portée par une plume poétique. Une histoire de femmes, de chemins de vies qui étaient faits pour se croiser. Un cheminement vers le pardon, la reconstruction de soi qui est parfois sinueux. Un roman qui donne envie de partir à l'autre bout du monde, pour découvrir de nouveaux horizons, et surtout, se retrouver.

C'est indéniable, le talent de conteuse d'histoires de l'autrice est immense et j'ai déjà hâte de retrouver cette plume magique.
Je recommande, évidemment ! ❤️✨️

J'espère que vous êtes tenté.e.s? 😇
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Ouvrir un Melissa Da Costa, c'est pour moi la garantie d'un moment de lecture merveilleux. Jusqu'à présent, je n'ai jamais été déçue. le plus surprenant dans tout ça c'est que chaque livres se suivent mais ne se ressemblent pas. L'autrice oscille entre les genres et les thèmes pourtant, sa plume poétique, mélancolique et sincère est sa signature. Celle que je reconnaitrais parmi tant d'autres. Les femmes du bout du monde est un roman magnifique qui m'a bouleversée. J'ai eu le coeur qui s'est serré parfois, me rendant presque mélancolique à mon tour. Les personnages, ce trio de femmes touchant m'a conquise dès les premières pages. Toutes trois si différentes et pourtant, on peut se projeter dans chacune d'elles. Des personnalités intrigantes, travaillées, crédibles et sans fioriture. du vrai.

Que dire du décor choisi ? La Nouvelle-Zélande… le bout du monde. Nombreuses ont été les fois où j'ai eu envie de regarder quel était le prix d'un aller simple pour y aller et finalement me rendre compte que moi, contrairement à Flore, je n'ai rien à fuir. Seulement voilà, moi aussi j'ai eu envie de voir de mes yeux l'heure bleue, les manchots, les dauphins et les baleines. Moi aussi j'ai eu envie de regarder la mer en me disant que de l'autre côté c'est le pôle sud. Tout ça semble tellement inaccessible et pourtant, grâce à Melissa Da Costa, j'ai pu vivre par procuration 1001 émotions.

L'histoire est lente, il y a des longueurs. Je sais que celles-ci peuvent déranger certains lecteurs et certaines lectrices mais pour ma part, elles m'ont apportées ce sentiment de plénitude, c'est contemplatif, magique cette envie de me plonger corps et âme dans ma lecture sans en sortir. Parce que c'est bien ça le problème avec cette autrice : on attend, on attend son livre (et encore nous sommes chanceux car l'attente est raisonnable) et dès qu'on l'a dans les mains, on l'avale en quelques heures. Sensation étrange de se sentir démunie à la fin, un peu vide. Je n'aime pas ça et j'adore ça. Paradoxal oui, mais c'est représentatif de tout ce que je peux ressentir en lisant du Da Costa. Je suis heureuse, perdue, triste… Tout un tas d'émotions qu'elle seule arrive à me faire ressentir.

A travers Les femmes du bout du monde, j'ai vécu plein de choses. J'ai adoré le côté féministe de l'histoire : 3 femmes indépendantes, puissantes qui vont s'apprivoiser avec le temps. Comment faire pour se reconstruire mais surtout pour se retrouver. Comment réussir à appréhender l'avenir plus sereinement. Comment réussir à vivre sa vie sans abimer celle des autres et comment réussir à se libérer de ses démons, ceux qui peuvent pourrir toute une vie… J'ai tout autant aimé l'aspect écologique. Vous n'y verrez aucune paroles moralisatrices, elles ne sont pas nécessaires. Juste des faits, juste des actes, juste la beauté de la nature qu'il faut préserver. Les mythes et légendes maoris racontaient au coin d'un feu, tant d'éléments et d'informations que j'ignorais et qui m'ont enrichies encore et encore. Ici, ce sont les saisons qui donnent le rythme, au fil de chacune, on observe l'évolution des trois femmes, parfois de manière subtile parfois de manière brutale. Je me suis laissée porter, guider. J'ai eu l'impression d'avoir ma place auprès d'elles, j'ai entendu Automn ronchonner parce que je marchais en baskets blanches, j'ai vu Milly m'observer l'oeil humide quand moi-même je me suis vue nager auprès des dauphins, les voir s'approcher de moi et pour finir, j'ai vu Flore sourire lorsque je lui ai tenu la main dans ses moments les plus sombres.

En bref :
Evidemment qu'à mes yeux ce roman est une vraie réussite. J'ai passé un tel moment d'émotions qu'il m'est encore difficile de l'expliquer aujourd'hui. Cette force à travers des personnages aussi vrais, cette nature, ces paysages si revigorants ! Je ne peux rester de marbre face à tout ça. Je ne peux que me laisser envahir, moi qui suis de nature (très) sensible par toute cette douleur qui se transforme en beauté. Mon seul regret : l'avoir déjà terminé et être obligé de dire aurevoir à ces trois femmes du bout du monde.

Foncez, ça fait tellement de bien.
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C'est une toute autre chanson qui m'aura accompagnée durant une partie de ma lecture, une jolie chanson au rythme délicat. S'il est souvent fait référence à « Je connais des bateaux » de Mannick, qui aurait pu être écrite spécialement pour les trois femmes auxquelles il est question dans ce roman, c'est « Tiempo y Silencio » de Cesaria Evora que je retiendrai d'abord.

Parce que du temps et du silence, c'est tout particulièrement ce qui nous est offert dans ce roman, et c'est aussi tout simplement ce dont avait besoin Flore, qui a fui Paris pour partir à l'autre bout du monde. En quête de rédemption, elle a tout quitté pour travailler dans un camping, tenu par Autumn et Milly, se situant à l'endroit le plus au sud de la Nouvelle-Zélande. Là, petit à petit, se tuant à la tâche, au milieu d'une nature sauvage accueillant otaries, phoques, dauphins et autres animaux prodigieux, avec pour vue quotidienne l'océan Austral, elle va apprendre à se pardonner et à renouer avec elle-même. Ses relations aux autres également vont évoluer et c'est là qu'entrent en jeu Autumn et sa fille Milly, femmes ancrées dans la terre néo-zélandaise, et qui ne la quitteraient pour rien au monde.

La particularité de Mélissa Da Costa est de savoir trouver les mots pour mieux lier ses personnages entre eux, toujours dans un cadre qui fait rêver. Elle y réussit à merveille dans ce roman.

Il y a des destinations où j'aimerais me rendre un jour. À défaut (ou en attendant), je voyage par procuration dans les livres. Et ce dernier voyage a été fabuleux. C'est comme si j'y étais, tout y est si bien dépeint – les paysages néo-zélandais, le climat, la faune et la flore – que j'aurais pu y rester définitivement malgré le vent austral quotidien et les tempêtes récurrentes. Se lever le matin et admirer l'océan en espérant apercevoir les dauphins ou les baleines, découvrir une otarie se prélassant sur sa terrasse, fêter Noël en maillot de bain tout en se faisant conter les légendes maories... ne serait-ce pas le pied ?

Et bien accompagnée en plus, puisque j'ai fait la connaissance de trois femmes qui m'ont beaucoup touchée, trois femmes qui portent leurs fardeaux, qui nouent de belles relations au fur et à mesure qu'elles se révèlent et qu'elles avancent dans leur histoire. Autumn et Milly ont bien sûr la même histoire familiale, qu'elles ne vivent pas de la même manière et que la venue de Flore vient quelque peu chambouler. Deuil d'un mari ou d'un père, solitude, mariage raté, chagrins d'amour, culpabilité et rédemption, reconstruction de soi sont les thèmes qui viennent alimenter l'histoire de ces femmes du bout du monde, avec en fond le respect de la nature et la protection des animaux.

C'est beau et émouvant. Que dire de plus ? Si ce n'est que la plume de l'autrice est toujours aussi agréable, sensible et bienveillante, que la psychologie et les ressentis des personnages sont travaillés au poil et que j'ai pris grand plaisir à suivre ces trois femmes, loin d'être exceptionnelles et pourtant si attachantes.

Avec Mélissa Da Costa, j'ai eu des hauts et des bas. Je suis ravie d'avoir retrouvé ce qui m'avait tant plu dans « Les lendemains », de l'émotion avant tout, des personnages que j'avais envie de serrer dans mes bras, et tout en me donnant l'occasion de parfaire mes connaissances, sur la Nouvelle-Zélande ici (culture et légendes maories, faune et flore néo-zélandaises).

C'est un joli roman, qui remplit admirablement ses fonctions du genre dit « feelgood ».
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Flore, jeune femme parisienne, arrive après un très long voyage, dans un camping des Catlins en Nouvelle Zélande en face de l'océan Austral.
Le camping est géré par Autumn et sa fille Milly qui acceptent la jeune dame comme aide aux travaux journaliers. Leur quotidien est difficile sous un climat assez rude. Elles vivent dans des conditions assez spartiates.
Dans un état pitoyable après un mariage raté, Flore est là pour arriver à se reconstruire.
Non loin, habitent Anaru et son fils Kai, tous deux Maoris.
Ils ont accepté les deux dames installées là-bas depuis très longtemps mais attention pas question de mariage entre les Maoris et les Blancs appelés Kiwis.
Petit à petit, Flore s'intègre à ce petit monde.
La nature avec les phoques, les otaries, les manchots aux yeux jaunes qui ont tant de difficultés à se reproduire, les dauphins d'Hector que les touristes doivent absolument respecter, les traditions maories racontées sont intéressantes à connaître, à lire mais c'est toutefois long car une trame de roman existe et a besoin d'évoluer plus vite.
Ce n'est qu'à la page 294, que les faits précis qui ont amené Flore à partir si loin sont connus.
Le noeud de ce mariage raté se démêle enfin. Il avait pourtant si bien commencé.
Dommage que ça arrive si tard et d'un coup, à la page 294, alors que le roman en compte 379.
On peut comprendre que Flore devait prendre la distance nécessaire pour voir clair dans cette histoire.
Néanmoins, malgré la beauté des tableaux de nature, de la vie au camping, le récit a entraîné des longueurs qui m'ont ennuyée à certains moments.
Petite déception pour moi.

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J'ai encore une fois été absorbée par la plume de Mélissa Da Costa. Cette fois, elle nous a embarqués avec elle en Nouvelle-Zélande. J'avais clairement la sensation d'y être, elle nous décrit les paysages, la flore et la faune locale. J'ai découvert des animaux dont je n'avais jamais entendu parler, mais aussi des arbres et des endroits vraiment atypiques de la région des Catlins.

Mais surtout, Mélissa nous dresse le portrait de trois femmes toutes plus attachantes les unes que les autres. Elles ont leurs qualités, leurs failles, elles sont incroyablement réalistes et très bien construites.

J'ai eu un coup de coeur pour Flore, cette Française qui a tout plaqué pour venir au bout du monde, pour oublier, pour survivre. Un petit bout de femme chétive arrivé au camping un hiver avec les affaires qui lui restent : un sac à dos. Parce que Flore a beaucoup de démons, un passé emplit de culpabilité, de tristesse et de colère. Sans rentrer dans les détails que vous découvrirez tout au long de l'histoire, son histoire m'a bouleversée.

J'ai aimé sa sensibilité, mais surtout, son évolution. Elle va tout donner pour le camping, le meilleur moyen pour elle d'oublier. Elle va apprendre aux côtés de Milly et Autumn, que ce soit l'entretien intérieur ou extérieur du camping. Mais surtout, elle va découvrir la beauté de la nature, s'émerveiller de la faune et de la flore de la baie. Une vraie connexion va s'établir, elle va enfin se sentir chez elle, pouvoir penser à l'avenir.

J'ai aussi aimé Milly, la fille de la mer, celle qui est presque née dans la baie. Je l'ai trouvé vraiment touchante, au début effacé, elle va devenir une femme aux côtés de Flore. Sa présence va lui permettre de s'exprimer, de s'épanouir, mais surtout de s'émanciper de sa maman.

Autumn fait tout pour sa fille, elle ne vit que pour elle, a toujours peur qu'elle se décide à quitter la baie, à la laisser toute seule. Elle a beaucoup de mal à se remettre de la disparition de son mari, le père de Milly. Elle continue d'entretenir le camping, un peu comme une routine, elle est devenue grognon avec le temps. Mais l'arrivée de Flore va, elle aussi, la bouleverser dans ses habitudes, l'ouvrir à autre chose.

Ces trois femmes du bout du monde m'ont beaucoup touchées, elles s'apportent beaucoup mutuellement. Sans s'en rendre compte, elles se complètent, se soutiennent, s'entraident. L'auteure nous transmet parfaitement leurs émotions, qu'elles soient belles, tristes ou plus sombres.

Au-delà des magnifiques émotions que ce livre m'a fait ressentir, j'ai aussi aimé découvrir la Nouvelle-Zélande et surtout les légendes et traditions maoris. Je ne m'attendais pas à ça, quelle belle surprise.

Mélissa Da Costa nous parle beaucoup de la vie des maoris, qui sont nombreux sur l'île. Elle nous parle de leurs traditions, de leurs expressions, mais surtout, elle nous parle des légendes Maori. J'ai été captivé par ses légendes racontées parfois par Milly, parfois par Anaru.

Mais cette histoire, c'est avant tout l'histoire de femmes, de ces trois femmes exceptionnelles. Ces trois femmes qui telles des guerrières, font face aux difficultés de la vie, à la dureté du climat de la baie. C'est leur solidarité qui leur permet d'affronter tout ça.

C'est encore une fois un voyage incroyable que nous propose Mélissa Da Costa. Un voyage au bout du monde, en Nouvelle-Zélande, une terre riche en faune, en flore et en légendes maoris toutes plus belles les unes que les autres. Mais c'est surtout un voyage au coeur des émotions de trois femmes exceptionnelles qui vous toucheront en plein coeur.


Lien : https://rowenabookine.com/20..
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critiques presse (3)
LeJournaldeQuebec
24 juillet 2023
Ce roman sublime raconte l’histoire de femmes qui apprennent à pardonner et à aimer.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
LeJournaldeQuebec
06 juin 2023
Nature sauvage, introspection, reconstruction, grande quête personnelle et pouvoir des rencontres et de l’amitié : ce roman raconte l’histoire de femmes qui apprennent à pardonner et à aimer.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Liberation
17 avril 2023
L’autrice française, communicante reconvertie dans le best seller, accoste en Nouvelle-Zélande.
Lire la critique sur le site : Liberation
Citations et extraits (254) Voir plus Ajouter une citation
Le véhicule s'engage sur un chemin de terre qui fait tressauter le plancher, couiner la carlingue. Nid-de-poule sur nid-de-poule. Un cul-de-sac comme l'indique le GPS. Au bout il n'y a rien. Ou si : la mer. Un terrain fouetté par le vent, niché au creux d'une baie. Quelques emplacements à peine délimités par une végétation sauvage. Un préfabriqué pour les quelques employés. Une pancarte : Mutunga o te ao, qui signifie en maori
«bout du monde ».
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Elle songe que le sentiment maternel, c'est quelque chose de doux et d'amer à la fois. On fait tout pour garder son enfant auprès de soi, l'empêcher de s'envoler trop loin, puis un matin on le voit pépier avec un autre oisillon et on ne sait plus ce qu'on ressent : un pincement au coeur ou un trouble attendri. Les deux à la fois.
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Parfois on part pour mieux revenir. Le mouvement, le renouveau, c’est la vie.
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La lumière matinale chasse totalement la nuit. Ça va mieux maintenant qu'il fait jour. Le passé, c'est sournois. Ça attend la nuit et l'obscurité pour s'infiltrer partout. La nuit est dangereuse, elle tourmente. Le jour est plus pragmatique, plus terre à terre.
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"J'irai au bout du monde. Tout au bout. Là où je n'emmerderai plus personne. Vous ne me reverrez plus !"
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