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EAN : 9782226490322
256 pages
Albin Michel (17/01/2024)
3.71/5   47 notes
Résumé :
« J'ai une dette envers mes parents. Je leur dois la vie.
Mais pas le pardon.
Pardonner m'est impossible.
Le long chemin de l'immigration est un lourd héritage, j'ai dû m'inventer contre eux, contre tous ceux présents sur ma photo de famille. »

A la mort de sa mère, découvrant les rites funéraires de ses origines, Farida se replonge dans son enfance, si loin de sa vie d'adulte. Les mots et les souvenirs se bousculent alors qu'elle... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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« Ma mère est morte hier » nous dit Farida Khelfa dès la première phrase de ce recueil de souvenirs. Elle expliquera ensuite que cette mort a été le déclencheur de l'écriture. L'enfance qu'elle nous raconte dans Une enfance française est particulièrement douloureuse, avec deux parents déficients : le père alcoolique, fragile mentalement, violent et incestueux ; la mère en constante dépression, gavée de médicaments, aveugle voire consentante aux exactions du père et, forcément, démissionnaire. Toute la famille est plongée dans cet engrenage de violence, frères et soeurs inclus, jusqu'à cet oncle maternel qui violera Farida alors qu'elle a sept ou huit ans. Une histoire pathétique dans une HLM de Vénissieux, une banlieue lyonnaise… Les confidences s'égrènent, d'abord à mots couverts, puis plus brutalement. L'autrice nous confie les diverses violences, les coups quand le père est ivre, et c'est fréquent, mais aussi l'inceste sur plusieurs des enfants, et l'indifférence, même parfois l'hostilité de la mère. Elle raconte sans entrer dans les détails et nous livre l'horreur brute, la peur constante qui l'habite et son désir d'en finir : elle fera deux tentatives de suicide avant l'âge de 14 ans. Pour mettre fin à cet enfer, elle fugue et « monte » à Paris. Elle fréquente alors un monde interlope, entre dealers et grands noms de la mode, qu'elle rencontre essentiellement au Palace. On reconnaît au passage certaines célébrités de l'époque et d'autres en devenir : Jean-Paul Goude, Jean-Paul Gauthier, Christian Louboutin et aussi Azzedine Alaia. Elle fréquente alors des politiques et des intellectuels, dont Claude Lanzmann qu'elle qualifie d'ami indéfectible et qui a droit à toute sa reconnaissance pour lui avoir fait découvrir Franz Fanon.
***
On se promène ainsi d'anecdotes douloureuses en découvertes enrichissantes. Farida entre dans un monde qui lui était jusqu'alors inconnu, consciente de ses manques, mais forte de ses expériences passées. Elle porte encore, nous dit-elle, les marques indélébiles des enfants d'immigrés, écartelés entre deux cultures, celle des parents et celle du pays d'accueil, et désespérés de n'appartenir entièrement ni à l'une ni à l'autre. J'ai lu avec intérêt le parcours étonnant de Farida Khelfa. J'ai admiré sa force de caractère, sa capacité à se sortir de l'héroïne et des autres drogues, sa faculté étonnante de rebondir après de terribles expériences, sa remarquable résilience. J'ai regretté certaines incohérences, dues probablement aux longues et fréquentes ellipses ainsi qu'à des sauts dans le passé ou l'avenir pas toujours clairs, qui m'ont laissée sur ma faim. Par exemple, comment une mannequin héroïnomane devient-elle directrice de collection, puis réalisatrice ? Une relation amoureuse avec un grand nom de la mode et un mariage avec un homme d'affaires ne suffisent pas à l'expliquer, me semble-t-il. La narratrice laisse donc de côté les étapes de sa réussite qu'elle évoque comme des évidences sans nous en dire davantage. J'ai été surprise par sa vision du monde artistique des années quatre-vingt : en bref, les yéyés votent à droite et les chanteurs à texte plus âgés, à gauche… J'avoue avoir été agacée par la quantité de lieux communs et de généralités qu'on trouve dans ces souvenirs très personnels. Un ouvrage qui vaut pour la franchise et le réalisme de tout ce qui concerne son enfance maltraitée, je crois, plus que par ce qui raconte, plus superficiellement, la vie professionnelle et l'âge adulte.

[Lu dans le cadre du Grand Prix des lectrices de Elle]
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Rien que la vision de ce singulier visage apposé en bandeau sur la couverture de ce livre confession m'évoque Jean-Paul Gautier, Jean-Paul Goude, Thierry Mugler ou Azzedine Allaïa, ces icônes emblématiques des mega-clinquantes années 80 qui faisaient la pluie et surtout le beau temps sur les milieux de la mode et des arts, toujours en avance d'une décennie sur le reste de la population, une avance culturelle qui mettait le métissage à la une, avec les visages atypiques de Grace Jones ou de Farida Khelfa, souvent explosés par les fantaisies créatrices du lutin de la photo découpée.

Bien plus que ne le dit le titre ‘une jeunesse française', c'est un destin français qui nous est donné à lire ici, un destin né sous les années Giscard, celles où les basses syncopées de la sono survoltée du Palace rythmaient les nuits parisiennes avant que ne les bain-douchent les années sida qui allaient faucher bien des étoiles scintillantes, pour certaines, seulement naissantes.

Années sida parce que l'héroïne dont il sera question ici n'a pas seulement les traits humains de l'autrice dont l'enfance maltraitée saura mettre le feux aux poudres de toutes sortes pour s'extraire du milieu malsain et mortifère où elle a vu le jour.

Transfuge et transclasse en transition à la fois éclair et permanente, elle se livre ici dans une autobiographie sans tabous et sans concessions où ses addictions diverses sont abordées, frontalement, comme en écho aux exactions paternelles dont elle su s'extraire pour se tracer un parcours hors normes depuis les HLM de Vénissieux jusqu'au quartiers chics de la haute bourgeoisie parisienne dont elle fait partie aujourd'hui, parcours avec handicap tant la violence familiale et de l'époque est prégnante et laisse des traces dont l'écriture semble aussi servir de thérapie.

Partir pour survivre.

Échapper à un foyer sans chaleur où on ne partage que les coups pour tordre le cou à une destinée mimétique et se retrouver, par hasard et par chance, dans le chaudron bouillonnant des créateurs révolutionnaires, eux-mêmes en rupture franche avec leurs prédécesseurs, au crépuscule des seventies quand le disco endiablé laissait la place à la froide new-wave.

Enfant de l'immigration, de parents algériens déracinés mais restés prisonniers de rites ancestraux à reproduire, il lui fallait fuir pour échapper à une forme de malédiction qui sévissait, silencieuse, entre les murs pourtant fins de l'appartement familial.

Une autobiographie sincère, pas linéaire, une confession décomposée aux ciseaux comme une création de JP Goude, le récit d'une émancipation douloureuse, le voyage d'une femme à qui la vie a souri mais qui trimballe pourtant de lourdes valises où reste tapi le souvenir d'une enfance écorchée à tout jamais, sans sérénité, sans repos.

Contre le passé, y a rien à faire…
 
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Enfance brisée.

Voici l'autobiographie de Farida Khelfa grande figure de la mode.

Dysfonctionnelle ? Non ce terme est bien trop faible pour désigner la famille de Farida Khelfa. Issue d'une famille immigrée algérienne, son enfance est marquée par la misère tant matérielle qu'intellectuelle. Sa mère ? Une manipulatrice prenant en otage ses enfants contre son mari. Son père ? Un homme aussi violent par les coups que par les mots, le jour, et incestueux la nuit. Un climat de terreur règne sur sa famille.

Farida Khelfa m'était inconnue avant de lire cette autobiographie. Elle a été mannequin pour Jean Paul Goude et Jean-Paul Gaultier dans les années 80-90 et reste aujourd'hui une grande figure de la mode.

Ce récit est terrible. L'auteure nous raconte la vie sous les coups et les injures. Les neuf enfants du couple sont tour à tour le bouc émissaire du père. Un mot de travers, la moindre contrariété, suffisent pour que l'enfant le plus proche serve de défouloir à la violence.

Mais c'est aussi le récit d'une fuite, d'une émancipation. Farida Khelfa s'enfuit à 16 ans pour Paris. Devenue une figure de la nuit parisienne, elle est repérée par Jean-Paul Gaultier et devient mannequin. Si cette période est marquée par la consommation d'héroïne pour fuir encore plus la douleur, c'est aussi ses premiers pas dans l'univers de la mode. D'autres futurs grands noms de la mode (Christian Louboutin, Azzedine Alaïa) croiseront sa route.

Bref, c'est un très beau récit d'émancipation et de résilience.

Lu dans le cadre du Grand Prix des Lectrices de ELLE 2024.
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Il est bien difficile de chroniquer un texte comme celui-ci, qui rend compte d'un vécu si fort dans une forme imparfaite.
Alors oui, le style est maladroit, les clichés sont légion (le Japon est « le pays du Soleil Levant »), les phrases sont courtes, comme si elles avaient peur de se déployer et de tomber. Elles sont lâchées avec effort.
Pourtant ces défauts disent dans le même temps des choses touchantes, comme si la petite fille empêchée de parler dans son enfance rudoyée s'y mettait enfin, gagnant le droit de devenir enfin libre. Farida Khelfa ne s'autorise à écrire qu'une fois sa mère morte, comme elle ne s'est autorisée à avoir des enfants que lorsque son père a été enterré. Écrire, c'est laisser la vie reprendre le dessus : cet aspect du livre est émouvant.
D'autres défauts, le côté décousu qui rend certains passages difficiles à comprendre, ou la sécheresse apparente des émotions exprimées, se retournent de la même manière au bout d'un certain temps de lecture. L'émiettement dit la folie "contagieuse" qui guette, conséquence d'années d'abus et d'un atavisme bien enraciné. Il dit aussi le manque de confiance de cette femme jamais sûre de rien, surtout pas d'elle-même.
Cette structure morcelée est la conséquence du travail d'anamnèse procédant par boucles, typique des confessions difficiles. Petit à petit, l'autrice apprivoise son sujet, en tournant et en navigant dans le passé sans boussole, jusqu'à prendre dans ses bras la petite Algérienne misérable qu'elle fut. Il faut lire à cet égard le récit de son rêve d'un bébé en smoking, puis l'analyse qu'elle en fait grâce à son psy. Ce passage, très simplement exprimé, fait partie de ces boucles vertueuses qui émaillent le récit : elles la remettent dans le flux de la vie, lui permettant la réappropriation d'une identité confisquée. En cela, Farida Khelfa est bien une autrice. Autrice de son destin.

Si l'on considère que ce récit est un témoignage qui ne se veut pas une oeuvre littéraire, il devient vraiment intéressant. On y comprend mieux la pauvreté extrême, le problème des Algériens venus en France avec la haine des Français, tous victimes des violences de l'Histoire. On y observe une famille gravement dysfonctionnelle, où l'inceste, la domination masculine, la violence, la folie, l'alcool et l'absence d'amour font des ravages sur les enfants. Cela fait froid dans le dos. Et on se prend d'admiration pour cette femme qui a si bien su survivre alors que tout la condamnait. Sa force de résilience est incroyable. Elle la doit à elle-même, aux amis dont elle s'est entourée, à la psychanalyse, à ses enfants et son mari. La puissance de sa liberté est admirable. Elle coûte cher aussi, l'oblige à s'enfuir, à se couper de ses racines : "il faut parfois risquer sa vie à se couper des siens".

Maintenant, que faire du fait que cette femme n'est pas n'importe qui, qu'elle fait désormais partie du monde des riches et des célèbres ? On ne peut pas s'empêcher de chercher des anecdotes croustillantes sur le monde de la mode, des potins sur Louboutin, des scènes de genre chez Alaïa, le tout un peu mondain... Pourtant elle ne balance pas, elle a appris cela à la cité.
On se demande aussi avant d'ouvrir le livre si ça n'est pas un peu facile, quand on est femme de Seydoux, de revenir sur une enfance de Cendrillon, d'écrire quand le danger est écarté et alors que la parole des femmes s'est libérée, donnant lieu à des thèmes « à la mode » (transfuge de classe, enfance abusée, vie de sans-papiers, femme dominée…). Si ça ne va pas faire un peu conte de fées, un peu vain. Une énième star confessant ses traumas passés ? En refermant le livre, j'ai oublié ces préventions. L'approche simple, sincère, pudique a permis d'éviter ces écueils de manière élégante et touchante. La classe.
La force de Farida Khelfa, c'est de ne jamais prétendre être une autre.
Cette force irrigue puissamment le récit et le nimbe d'une dignité qui en impose.

Lu dans le cadre du Grand Prix des lectrices Elle 2024
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Farida Khelfa, personnalité connue de la mode, a été mannequin, directrice du studio Alaïa, directrice des collections chez Jean Paul Gautier, réalisatrice de documentaires sur la mode, la politique, le monde arabe. Lorsqu'on la voit aujourd'hui rayonnante, sublime, on a du mal à imaginer ce par quoi elle est passée pour en arriver là.
Elle nous raconte son passé dans ce récit autobiographique qu'elle a ressenti le besoin d'écrire à la mort de sa mère. C'est l'histoire d'une enfant d'immigrés algériens arrivés à Lyon dans les années 50, avant-dernière d'une fratrie de 9, née en France. Elle se souvient de son père violent , alcoolique, incestueux, analphabète qui faisait régner la terreur dans la famille, d'une mère dépressive, droguée aux calmants, d'absence totale d'amour sauf entre les frères et soeurs. Elle se souvient d'un oncle, le "dévoreur d'enfants" qui a abusé d'elle alors qu'elle avait 7 ans. Elle se souvient des Minguettes, qu'on n'appelait pas encore banlieue mais ZUP où régnaient trafics divers, violence mais où vivaient ensemble toutes les nationalités et religions.
Elle a dû fuir pour ne pas mourir, pour tenter d'échapper aux crises d'angoisse, aux tentatives de suicide (elle en a fait deux entre 12 et 14 ans). Elle fugue à Paris et se retrouve, par un concours de circonstances comme il y en aura pas mal dans sa vie, au Palace; elle vivra avec Jean-Paul Goude, travaillera pour les plus grands couturiers. Son passé qu'elle essaie d'oublier dans l'héroïne; la hante encore ; consciente de se perdre à nouveau, elle se désintoxique aidée par des séances de psychanalyse qui lui permettent de mettre des mots sur ce qu'elle a vécu.
Ce récit aborde le thème de l'immigration et la difficulté d'être de la deuxième génération, celle qui ne se sent chez elle nulle part, celle qui est rejetée de toute part mais aussi l'impossibilité pour ceux qui ont quitté leur pays, contraints par la misère, de comprendre et d'accepter la culture du pays qui les accueillait, se réfugiant dans la violence, l'alcool, la dépendance aux médicaments, enfermés chez eux par peur de l'extérieur.
Ce qui surprend dans ce témoignage, c'est la quête perpétuelle de liberté qui est passée par la fuite loin de ses parents toxiques, cette sorte de libération à leur mort (après la mort de son père, Farida a pu devenir mère, à la mort de sa mère, elle a pu raconter son passé). C'est aussi le message de volonté et d'optimisme qu'elle délivre: malgré une enfance ravagée, on peut avancer, se libérer et surtout ne pas être vue ou se voir comme victime, se servir de ses blessures pour en faire une force.
J'ai trouvé dommage que l'écriture soit désordonnée; on passe d'un souvenir à un autre, d'une période à une autre, sans lien apparent ce qui rend la lecture hachée. Des personnes apparaissent sur un court chapitre puis disparaissent. Des répétitions auraient peut-être pu également être évitées.
Il n'en reste pas moins qu'on ne peut être qu'admiratif face au courage et à la volonté de Farida Khelfa qui nous livre, sans tabou, un bel exemple de résilience.
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critiques presse (2)
LeFigaro
12 février 2024
Une enfance française est un témoignage parfois insoutenable, d’autant plus surprenant qu’il vient d’une personnalité attachante, symbole de l’intégration culturelle et de la mixité heureuse. Il ne faut jamais se fier aux apparences, surtout quand les apparences sont votre métier.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Elle
02 février 2024
C’est avec un esprit peu commun que cette grande figure de la mode relate l’invention de sa vie, après une enfance hantée par la mort. Un récit d’ombres et de sunlights éclairé par les mots de Frantz Fanon cités en préambule : « Dans le monde où je m’achemine, je me crée interminablement. » « Une enfance française » en est l’écho puissant.
Lire la critique sur le site : Elle
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
La joie va de pair avec le malheur. Le bonheur n'existe pas s'il n'est pas précédé d'un grand désespoir, c'est le glissement de l'un à l'autre qui crée la mélancolie.
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J'ai longtemps pensé que les hommes n'aimaient que les petites filles, qu'ils faisaient semblant d'aimer les femmes, les regards qu'ils nous lançaient le prouvaient. Quoi de plus docile qu'un enfant toujours prompt à satisfaire le désir d'un adulte sans jugement ni comparaison ?
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Que s'était-il passé, quel destin rêvaient-ils pour nous, nous n'en saurons jamais rien, la transmission orale n'est pas de mise au nord du Sahara, pas de griots pour nous dire l'histoire.

Le silence en héritage.
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L'empêchement m'a révélée. Avoir été méprisée, niée, il a forgé ma force de vie. Partir, c'est briser les chaînes. (Page 191).
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Je continue de penser que j'ai une part de responsabilité dans ce qui m'est arrivé.
C'est probablement ce qui m'a sauvée. Si ce qui m'est arrivé est de mon fait, c'est que je peux changer le cours des choses. C'est ce que j'ai essayé de faire tout au long de ma vie. (Page 98)
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Au programme : David Hallyday qui replonge dans ses souvenirs et blessures d'enfance, Natalie Portman et l'importance du cinéma dans sa jeunesse et son combat contre le harcèlement, Kev Adams, Jean Reno, Fanny Ardant qui a toujours refusé de rentrer dans le rang ou encore l'enfance française d'une petite fille devenue iconique de la mode, Farida Khelfa.
Au programme également, Claude Lellouche qui adresse un message à Jodie Foster, Gad Elmaleh nous raconte sa rencontre avec le Pape, Roschdy Zem avec Zinedine Zidane, Nora Johnes et Ray Charles ou encore Laurent Delahousse et Harisson Ford.
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