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Les Arsène tome 1 sur 2

Jeanne Hammel (Autre)
EAN : 9782377423255
168 pages
Poulpe Fictions (12/10/2023)
3.8/5   25 notes
Résumé :
La relève d'Arsène Lupin est assurée !
1930. Arsène Lupin, le célèbre gentleman cambrioleur, a pris sa retraite et s'est trouvé des apprentis aussi ingénieux qu'habiles dans l'art du vol et des énigmes : Libellule, Diane et Octave. Ils vont user de leurs talents pour aider M. de Rossigny, trahi par d'anciens employés, à récupérer sa fortune. Pour cela, les enfants doivent récupérer les morceaux d'une mystérieuse clé composée de trois joyaux précieux. Une quêt... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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"Je suis trop vieux pour ses bêtises", se dit Arsène Lupin en escaladant un balcon et en plagiant Roger Murtaugh de L'arme fatale. Heureusement, au moment où l'escalade manque de mal tourner, Lupin rencontre une main secourable, celle de Libellule, jeune cambrioleuse particulièrement débrouillarde. C'est ainsi que Lupin recrute successivement trois jeunes et prometteurs cambrioleurs. Ils vont l'aider à récupérer trois joyaux formant une clé, clé donnant accès à un coffre qui permettra à M. de Rossigny (ancien ennemi de Lupin) de récupérer sa fortune durement gagnée pour faire le bien.

Après quelques dizaines de pages dans Les Arsène, je me suis dit : "tiens, ça me fait penser à L'école des mousquetaires : même héros vieillissant et pathétique, même style un peu poussif". Vérification faite, bingo : c'est le même auteur, Bertrand Puard, donc, qui après avoir récupéré D'Artagnan s'attaque à Arsène Lupin. La série Netflix a remis au goût du jour ce héros que sa suffisance de mâle blanc hétéro et patriote aurait dû suffire à ranger au placard des has been. Mais, étonnamment, Lupin n'est pas mort et on en trouve maintenant à toutes les sauces : Netflix, BD, manga, bretonne et, désormais, jeunesse.

Jusqu'ici, je n'ai pas encore trouvé une oeuvre qui réchauffe Lupin et qui ait la même saveur (à part des nouvelles "apocryphes" sur Littérature audio). Cet ersatz pour les jeunes ne fait pas mieux. J'avais espéré que cette série serait l'occasion de faire découvrir aux plus jeunes les aventures précédentes d'Arsène Lupin, qui ne sont pas forcément hyper accessibles pour eux mais on a ici une aventure entièrement différente, saupoudrée de quelques allusions. Ces allusions m'ont parues souvent si maladroites que je me suis demandée si l'auteur avait lu autre chose de ces romans que le titre et la quatrième de couverture. Si c'était le cas, il saurait que L'Aiguille creuse se termine justement sur l'abandon par Lupin de ce repaire envahi par la police. Il serait d'autant plus idiot de retourner s'y cacher que tout le monde semble savoir, par les romans, que c'était son repaire et comment y pénétrer. Franchement, à se demander pourquoi le commissaire Ganimard se fatigue à tendre une souricière quand il n'avait qu'à ouvrir un bouquin pour savoir où trouver Lupin !
Si encore c'était la seule absurdité de ce roman...

Cohérence avec l'univers lupinesque mise à part, le roman lui-même ne tient pas trop debout. Je ne compte plus les absurdités et les facilités scénaristiques qu'il enfile comme des perles. Celle qui m'a semblé le plus difficile à avaler, quand même, c'est toute l'affaire qui donne lieu à cette aventure : M. de Rossigny dépouillé par trois proches (on n'arrive même pas trop à comprendre comment), ceux-ci conservant les preuves qui les accablent dans un coffre de banque pour pouvoir confondre leurs complices et, surtout, la clé de ce fameux coffre composée d'un rubis, d'une émeraude et d'un diamant. Je n'arrive déjà pas bien à imaginer comment les trois pierres peuvent être ajustées les unes aux autres pour former une clé mais admettons. le simple fait que la clé soit composée de joyaux ne tient absolument pas debout, cela en ferait une clé qui vaudrait pas loin de toute la fortune volée, si ce n'est plus. le penne à lui seul nécessiterait un diamant d'une taille considérable, même pour une toute petite clé de coffre. Et, en plus, deux de ces joyaux se baladent dans la nature, montés sur de simples bijoux portés par la femme ou la fille de deux des malandrins. Bon, je ne vais pas m'étendre : tout le reste de l'intrigue est à l'avenant. Pour la lire sans lever les yeux au ciel, il faut une suspension d'incrédulité XXL.

Bizarrement, j'avais une certaine impatience de continuer ma lecture mais tout en étant chaque fois déçue par les énormités de l'histoire, le style assez moyen et le traitement du personnage de Lupin. Celui-ci n'a plus grand-chose à voir avec le flamboyant héros de Maurice Leblanc. Tout ce qui lui reste, c'est son haut-de-forme, qu'il porte en toutes circonstances, même chez lui. Il est à peu près inutile à l'histoire, ses trois jeunes apprentis cambrioleurs étant déjà parfaitement opérationnels. Ils semblent n'avoir rien à apprendre de lui et ils ont même parfois tendance à le regarder avec une certaine condescendance. Pour un livre qui s'adresse à des jeunes, cela me laisse songeuse. Qu'est-ce que ce roman jeunesse, comme d'autres au demeurant, dit aux jeunes ? Vous n'avez rien à apprendre des plus âgés. Vous savez déjà tout, vous êtes déjà doués et, eux, ils ont besoin de vous parce qu'ils sont vieux et perclus de rhumatismes. Je trouve cela assez triste.

Je suis un peu désolée de ne pas avoir trouvé quelque chose à apprécier dans ce roman auquel les éditions Poulpe Fictions m'ont donné gracieusement accès sur la plate-forme NetGalley. Alors, certes, je n'ai pas l'âge du lectorat visé (je dois être trop vieille pour ces bêtises, moi aussi) mais j'ai lu et apprécié d'autres romans jeunesse bien mieux écrits et bien plus travaillés que celui-ci. Il y a cependant une chose que j'ai appréciée, ce sont les illustrations style BD, plutôt chouettes. On va au moins sauver ça...

En résumé : si vous cambriolez une librairie, vous pouvez laisser ce Lupin : c'est un faux ! (et n'oubliez pas de passer à la caisse : Lupin n'aurait jamais volé de pauvres libraires !)

Challenge Romans Jeunesse 2023
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L'auteur Bertrand Puard se réappropriera la légende littéraire d'Arsène Lupin de Maurice Lebanc, pour installer sa propre quête de secrets et jouir probablement un peu de cet univers d'intrigues à la française qui lui plaît.
Ainsi une petite bande d'enfants voleurs imaginés par Bertrand Puard vont-ils croiser l'incroyable et insaisissable Arsène, et même lui proposer leurs services.

La bonne blague, me diriez-vous! Pourquoi le grand Lupin s'acoquinerait avec des amateurs en culottes courtes qui pourraient mettre en péril ses pmans parfaits?
Lupin est ici vieillissant, plus fatigué et maladroit, et un petit coup de main, même si elle est plus petite, ne serait pas de trop pour le grand coup qui suit.
Cette mission, si vous l'acceptez, jeunes gens, sera de récupérer trois morceaux d'une même clef, dont le panneton ouvrira un coffre avec les preuves d'un délit hautement plus moralement criminel que les vols de trésors et de bijoux de Lupin.
C'est une caractéristique de Lupin, ce n'est pas un braqueur de banque, il ne tue jamais. Et il ne dépouille jamais de tout. Gentleman, et oui.
Il choisissait, rappelez-vous, parmi ses victimes des gens de la haute à qui un bijoux de grande valeur ne manquera pas et qui pouvaient aussi par vantardise dans le beau monde s'en vanter.
Ces gens étaient selon lui indécents, il n'y avait donc pas de mal selon lui à décharger un peu le dos de ces riches "mûles".
Et ces bourgeois ou parvenus ne seront pas toujours recommandables, comme ce personnage Monsieur de Rossigny par exemple, fortuné de manière malhonnète, en connaissant les bonnes personnes, investissant sur des tromperies indignes.
Rossigny apparaissait dans le recueil "Les huits coups de l'horloge" de Maurice Leblanc.
Puard le choisira comme point de départ de sa chasse aux trésors.

Arsène Lupin - gentleman jusqu'au bout - aura pitié de cet ancien ennemi tombé dans la déchéance et dépouillé de sa fortune par un réseau de malfaiteurs amateurs, employés à son service et qui aura su "graisser les pattes" du système pour couvrir la trace de leur crime.
Il sera victime de son propre art de l'abus de confiance.
Quoi de plus terrible pour un personnage malhonnète que de se faire détrousser par ses propres gens, n'est-ce pas?

Peut-être que Rossiny aura justement pêché par orgueil avec un esprit tactique qui lui souriait, ne voyant rien venir en se frottant les mains et persuadé de rassasier suffisamment les "chiens" à son service.
Erreur, à priori.
Rossigny n'est pas un innocent, certes bien, mais Lupin sera dans la démarche d'un service rendu avec élégance, comme à vieil ami, avec ce passé commun sur le jeu du chat et de la souris. Au service du bon vieux temps et par pitié pour un pauvre bougre qui aura sérieusement perdu de sa superbe, il décidera d'agir et de faire payer ce petit "cercle" corrompu .

Est-il bien raisonnable d'y embarquer des enfants, mêmes doués au chapardage et au renseignement?
Lupin, un criminel sans retraite à la main plus tremblante, Rossigny n'ayant que le fond des bouteilles d'alcool pour oublier, cela semblera la seule solution (et évidemment sans qu'aucun de ceux-là, des enfants, ne réclame de rétributions ou n'envisage de chantage par ma suite.
Ne peut-on donc se fier à personne?
Dans quel monde vivons nous?
Ce gang là pourra peut-être rapporter gros sur le terrain de l'amitié.
Ce tome 1 est le roman d'installation mais nous ne perdrons pas de temps, les challenges seront posés.
Les caractères seront rapidement brossés, suffisamment pour qu'on décide de les suivre sur un tome 2.
Le récit est facile à lire et les trois plans à élaborer pour mettre la main sur trois bijoux, que les malfrats portent sur eux, devraient être un bon appât de lecture.

Petit rappel sur la dite légende de Lupin?
Arsène Lupin était de l'anti-héros élégant. La guigne des riches et le beau frisson des dames, qui auraient donné cher pour être visiter par l'odieux voleur et pour s'en pâmer en soirée.
Arsène était un beau "fantôme" plein de belles manières pour séduire, embrouiller, duper, un as du passe-passe, du déguisement et du plan d'évasion.
Reconnu pour son talent d'as de l'évasion comme un artiste à suivre et aussi pour son art de ridiculiser les forces de l'ordre avec panache, Lupin n'hésitera pas à offrir des sujets aux reporters en créant à chaque fois l'évènement : Arsène prévenait à chaque fois la police de son forfait, l'obligeant à dévoiler ses cartes et déployer ses troupes. Un vrai jeu d'échecs ou de poker menteur.
Il existera d'autres titres en littérature jeunesse qui permettraient d'établir une deuxième marche avant les récits adultes d'Arsène Lupin, à noter le grand format:
"Arsène Lupin : l'étrange voyage", de Maurice Leblanc et superbement illustré par Christel Espié (Albin Michel Jeunesse).
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Sherlock avait ses irréguliers, Lupin aura ses Arsène. L'idée est on ne peut plus séduisante et même, reconnaissons-le, vraiment bonne. le pitch a ainsi tout de prometteur et les premiers chapitres jouent habilement la carte de la familiarité : un jeune néophyte aura envie de découvrir davantage l'oeuvre de M. Leblanc, et les plus âgés qui se risqueront à y jeter un oeil s'amuseront des références et des allusions, qui témoignent d'une véritable connaissance des aventures originales d'Arsène Lupin et aussi très certainement de la passion de l'auteur pour cet univers. Plus qu'un nom sur une couverture, la filiation est donc bien réelle : cette aventure inédite présente plusieurs liens avec le recueil "Les huit coups de l'horloge", sans omettre bien sûr de nombreux clins d'oeil à "L'aiguille creuse", "la demoiselle aux yeux verts", ou encore à Maurice Leblanc comme vrai-faux biographe du personnage. Enfin, l'intrigue imaginée par Bertrand Puard possède l'essence des romans et nouvelles d'origine, faisant de ce premier tome un hommage sympathique au plus grand des voleurs.

Mais (car il y a un mais), un bon pitch ne fait pas forcément la réussite entière d'un livre ; en l'occurrence, on est d'avis que "Les Arsène" présente malgré tout plusieurs faiblesses. Il y a tout d'abord quelques anachronismes, mais surtout des facilités de scénario qui viennent faire froncer les sourcils et grincer des dents. Si l'intrigue partait d'un bon pied, les invraisemblances se multiplient à notre sens trop souvent pour que ce soit totalement excusable. Parmi les éléments qui nous ont fortement fait tiquer, l'utilisation totalement gratuite d'un code secret qui n'a aucune raison d'être (si ce n'est celle de placer un code secret parce que c'est éminemment lupinesque) participe à casser la crédibilité de l'histoire. On pourrait nous faire remarquer qu'on ne fait pas partie du public cible et que l'ouvrage s'adresse à la jeunesse, mais il nous semble que la vraisemblance n'est pas uniquement l'apanage de la littérature adulte...

La superbe couverture restitue merveilleusement bien l'ambiance des romans de Maurice Leblanc : le visuel y est léché, avec un travail sur les ombres qui rend l'ensemble vraiment très esthétique. Les années 30 sont là, ça ne fait aucun doute. L'atmosphère nous évoque à ce titre celle de la série animée "Les exploits d'Arsène Lupin", diffusée en 1996, qui se déroulait également dans les années 30, dans un style entre le film noir et le comic. Les illustrations intérieures souffrent malheureusement du noir et blanc, qui met un peu moins en valeur le sympathique coup de crayon de Jeanne Hammel, dont l'univers graphique a au demeurant tout pour séduire le jeune lectorat.


En bref : Une idée très séduisante que cette série jeunesse racontant les aventures d'un Lupin vieillissant et de ses jeunes recrues. Si l'auteur convoque le meilleur de l'univers de Maurice Leblanc pour construire les fondations de son roman, son intrigue souffre malheureusement de trop nombreuses invraisemblances et facilités. Avis mitigé, donc, mais on reste très curieux de ce que peut donner cette nouvelle série : nous lirons la suite avec plaisir et curiosité, d'autant qu'elle reste une façon originale de faire découvrir le gentleman cambrioleur aux plus jeunes.
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J'ai l'impression que beaucoup d'auteurs jeunesse, et derrière eux, des maisons d'édition jeunesse, surfent sur la vogue de l'adaptation d'Arsène Lupin par Netflix. Alors j'ai lu ce livre, et je vais sans doute le prêter à des élèves qui sont fans d'Arsène Lupin, mais, pour mon compte, je n'ai pas totalement apprécié ce livre.
Le souci n'est pas qu'Arsène Lupin soit vieillissant : là aussi, montrer des héros fatigués me semble une vogue chez les auteurs jeunesse – ou bien l'on choisit l'option inverse, présenter sa jeunesse, comme le fait une certaine Irene Adler, pseudo derrière lequel se cachent deux auteurs italien. le souci est que j'ai trouvé ce titre extrêmement léger. Oui, Arsène reprend du service, pour « passer la main » à trois jeunes apprentis cambrioleurs, qui ont eu une vie difficile, et se son formés, et bien formés sur le tas. Seulement, l'on voit très peu Arsène agir, et quand il agit, ce n'est pas forcément très logique. Qu'il veuille aider un ancien ennemi, soit : après tout, il est un gentleman avant tout, et il ne tue pas. Il est dommage que cet aspect du caractère d'Arsène soit passé sous silence. Que les adversaires de ce nouvel ami soient à la fois extrêmement prudents et extrêmement naïfs. La preuve : des gamins de dix ans s'en sortent beaucoup mieux qu'un cambrioleur chevronné, qui a montré, au fil de ses aventures, à quel point il était doué, même âgé, même blessé. Qu'est devenu le panache d'Arsène Lupin ? Je le cherche encore. En fait, l'on pourrait presque retirer Arsène de cette aventure, lui donner un autre nom sans que cela nuise vraiment à l'intrigue, ce qui est un comble !
J'ai gardé le pire pour la fin : le sort réservé à Ganimard. Non, il ne méritait pas cela, et son successeur, véritable caricature, non plus.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Arsène Lupin, en vieux cheval de retour perclus de rhumatismes, intronisant 3 enfants comme ses dignes successeurs ? Je me suis dit "pourquoi pas". C'est un personnage de la littérature que je fréquente depuis plus de vingt ans et que j'aime beaucoup depuis tout ce temps.
Depuis la série Netflix, il connaît un regain de popularité. Elle a donné envie à beaucoup de lecteurs de découvrir les aventures originales. Mais les écrits de Leblanc ne sont pas forcément adaptés pour un lectorat de 8-10 ans, donc j'étais plutôt curieuse (et contente) de voir que quelqu'un se proposait d'offrir une aventure destinée à cet âge-là.

J'avoue ressortir assez mitigée de ce roman.

Le fait de glisser une allusion au dernier roman de Leblanc "le Dernier amour d'Arsène Lupin", où le héros se transforme en éducateur pour les enfants de la Zône était plutôt bien trouvé : cela crée une continuité dans son envie de transmettre et de veiller sur les orphelins.

Mais pour le reste des allusions, ça m'a paru plus bancale. À commencer par le repaire de l'Aiguille creuse : pourquoi Lupin retournerait-il dans un de ses refuges qu'il a abandonné de manière plutôt publique et que la police connaît bien ? Il y a là une incohérence avec l'oeuvre originale.

Autre détail qui m'a gênée, Lupin est décrit dans le roman comme un vieillard, bien usé, bien fatigué, aux articulations qui craquent... Et en même temps l'auteur lui donne 53 ans ! Alors que le gentleman cambrioleur est un sportif accompli dans toutes ses aventures (et quand bien même il ne le serait pas, avoir la cinquantaine ne transforme pas automatiquement en vieux débris).

L'histoire en elle-même m'a paru un peu simple, avec des rebondissements multiples, certes, mais un hasard qui fait vraiment trop bien les choses. Peut-être que cela plaira quand même à des 9-10 ans et qu'ils s'attacheront aux trois jeunes aventuriers. Lupin, en tous cas, n'apporte pas grand-chose d'autre que son nom et sa réputation (un peu passée) dans l'intrigue.
Pour ma part j'avais largement préféré "Arsène Lupin et le trésor du diable" de Béatrice Nicodème qui m'avait semblé plus fidèle au personnage.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Sais-tu qui est le chef de la Sûreté à présent ? Non ? Eh bien, il s’agit d’Antonin Ganimard, le fils de Justin, le policier qui a passé sa carrière à me traquer, sans grand succès évidemment… Et, attention, j’ose vous le dire… Le fils est beaucoup plus intelligent que le père… Sans commune mesure… Il est dégourdi et aime utiliser les méthodes modernes de la police.
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Vidéo de Bertrand Puard
Bertrand Puard, auteur de « Échec à la reine », le premier spin-off dérivé de la série Netflix « Lupin », nous a accordé une interview pendant le Festival Quais du Polar. Merci à lui !
Découvrir le livre audio « Échec à la reine » lu par Benjamin Jungers : https://www.audiolib.fr/livre/lupin-echec-la-reine-9791035413224/
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