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3,55

sur 464 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Que dire de ce livre ?
Une déception , moi qui suis une inconditionnelle de R.J. Ellory
Toute cette histoire pour en arriver à ...........rien ............
C'est le sujet qui m'a dérangé pas l'écriture de l'auteur
JFK n'est pas mort le 22 Novembre 1963 , soit ....et après ?
Et bien justement "l'après " imaginé par l'auteur ne tient pas la route
Je me suis ennuyée , peu crédible , peu palpitant
Et ne parlons pas de la fin !!! Mon dieu !!
Quel gâchis , je suis très sévère mais je suis super déçue


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Seule la postface m'a intéressé. le reste n'est que bla-bla, n'a aucun intérêt et je suis très déçu.
L'an dernier, le chant de l'assassin m'avait ravi, emballé, émerveillé. Je retrouvais l'auteur du chef d'oeuvre absolu seul le silence.
Cette année il m'a ennuyé, il n'a pas cherché à nous passionner, il est parti bille en tête dans son délire sur Kennedy sans faire l'effort de structurer son histoire.
Je me suis ennuyé Mr Ellory et n'ai fini votre livre que par respect pour l'auteur que je sais être un génie quand il en a envie
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👎👎👎Le livre qu'il faut non-lire:
Quand ma copine S. m'a offert ce bouquin, je me suis dit: "mince, j'ai déjà lu un livre de James Elroy sur Kennedy et la mafia." En fait ce n'est pas Elroy c'est Ellory, son anagramme.
Bref c'est une pâle copie. Ellory imagine que Kennedy n'a pas été assassiné en novembre 63 à Dallas et qu'il brigue un 2d mandat en 64. C'est la seule originalité. Sinon tout a été dit, redit, archi redit: Kennedy était un queutard infidèle, il se droguait, utilisait la mafia à son profit... James Elroy le raconte très très bien.
Là c'est l'histoire d'un loser, plus ou moins journaliste, qui apprend que l'amour de sa vie (qui l'a largué 16 ans plus tôt) s'est suicidée alors qu'elle enquêtait sur Kennedy. Ce n'est qu'au bout de 200 pages qu'il décide d'enquêter lui-aussi. Pendant 200 pages il pleurniche sur ses échecs et reproduit même ses lettres d'amour qui ont autant d'intérêt qu'un ticket de caisse de Lidl.
Page 232, je lis ceci: "Son prochain arrêt serait le tribunal de la ville. Il y arriva après 11 heures, montra son accréditation et expliqua qu'il recherchait des informations sur la mafia de Dallas." 🤣🤣🤣 Non mais sérieux, on dirait OSS 117 qui demande à l'ambassade allemande du Brésil s'il n'y a pas une Amicale d'anciens nazis ! C'est ridicule, inintéressant et l'écriture atteint à peine le niveau 3ème. J'abandonne.
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Non, vraiment, ça ne fonctionne pas, ce roman.
Comme nombre de lecteurs, certainement, j'ai été attiré par le titre, songeant à Stephen King, auquel une critique du “Journal du dimanche” fait référence sur la quatrième de couverture.
Le livre s'ouvre, de fait, sur le 23 novembre 1963. Kennedy n'est pas assassiné à Dallas. Bien… Entre alors en scène le personnage principal, Mitch Newman, journaliste. Nous allons suivre sa longue histoire sur près de 500 pages, tandis qu'il enquête sur le suicide de Jean Boyd, la femme qu'il avait aimée.
Bien sûr, Kennedy revient sur le devant de la scène, dans une variante de l'histoire réelle sans aucun intérêt – du moins à mes yeux. Et le final est embrouillé, assez invraisemblable. Je déteste ces auteurs incapables de s'exprimer clairement, surtout au moment de la conclusion.
Pour ne rien arranger, c'est extrêmement mal écrit, au point qu'il faut parfois s'y reprendre à plusieurs fois pour comprendre le sens d'une phrase.
Bref, un ratage complet – ce n'est pas dans mes habitudes d'être aussi catégorique, mais là, sincèrement, je ne vois pas quoi conclure d'autre…
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