Le fait qu’un vieillard me paie deux millions anciens pour engrosser sa femme était intéressant intellectuellement et financièrement. Car à vrai dire, je suis perclus de dettes, j’ai bouffé toutes mes avances éditeur et plutôt que de faire la pute en écrivant les aventures exotiques et invraisemblables d’un bel agent secret sans cesse occupé à sauver le monde libre, je pouvais bien faire l’étalon.