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Citations de A. Meredith Walters (41)


Je sentais les larmes de Corin dégouliner sur mon visage. Ses mains dans mes cheveux. J'aurais aimé que ce moment se fige, immobile, pour l'éternité.
Mais nous n'avions ps cette chance.
Notre temps s'était écoulé.
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La dépendance murmurait au creux de votre oreille, vous disait qu’elle était la seule et l’unique. Qu’elle était tout ce dont vous aviez besoin.
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Si certains vivaient en état de grâce, Tamsin, elle, vivait en état de garce.
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Dommage que l'envie et le besoin soient deux choses complètement différentes.
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Je ne pensais pas à mes douleurs. Ni à mes angoisses.
Je me sentais...
Bien.
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C'est vrai. Et s'il y a une chose que j'ai apprise depuis que j'ai failli mourir, c'est qu'il faut se cramponner aux choses qui comptent.Les passions, les personnes qui nous rendent heureux
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- Il faut que vous viviez chaque jour comme si c'était le dernier, Corin. Ne perdez pas de temps à être malheureuse.
Bien qu'aussi douce qu'un murmure, sa voix pleine d'assurance résonna profondément en moi. La vérité contenue dans ses mots m'atteignit en plein cœur.
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Ce que j'essaie de dire, c'est que tu en as plus bavé que la plupart des gens. Ce genre de chagrin laisse des cicatrices. ça change une personne. ça t'a changée, toi.
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- Tu veux connaître mes vrais sentiments ? Je t'aime, Corin Thompson.
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La photo était réussie. Il s'en dégageait une beauté innocente.
- Je pense que c'est ma préférée, dis-je en la montrant à Corin.
Pour toute réponse, elle m'offrit un sourire énigmatique.
Et ça me suffit amplement.
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Cet homme cherchait sincèrement ma compagnie. Et, bien que j'aie du mal à concevoir pourquoi, j'étais flattée. C'était agréable de se sentir appréciée.
Alors, je le suivis à l'intérieur de la boutique.
Comme si c'était la chose la plus naturelle du monde.
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- Cous aviez un cil, expliquai-je d'une voix raque, le pouce levé pour lui montrer le coupable.
Elle me répondit dans un murmure.
- Mince, obligée de faire un vœu, alors, hein ?
- C'est la loi.
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La peur n'est jamais une excuse pour rester terré dans son trou. On devrait tous se réveiller chaque matin en s'estimant chanceux de pouvoir jouir d'un jour de plus.
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"Depuis toujours, mes rêves étaient faits de papillons. De papillons sauvages. Libres. Aux couleurs vives".
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 L’amour nous rendait stupides.
L’amour nous rendait aveugles.
L’amour pouvait nous rendre incapables et impuissants.
Et l’amour pouvait aussi tout arranger.
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- Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. Tu as visiblement besoin qu'on s'occupe de toi. Et je tiens à toi, Maxx. Tellement, dis-je dans un murmure.
Maxx déglutit, ses lèvres tremblaient après mon aveu. Son visage abîmé afficha une émotion que je ne parvins pas à déchiffrer. Il baissa la tête et appuya son front contre le mien, nos nez se frôlant.
- Tu ne devrais pas. Je n'en vaux pas la peine, Aubrey, plaida-t-il dans un gémissement étranglé.
Je me levai lentement une main pour le toucher avec précaution et faire glisser mes doigts sur sa joue. Il laissa aller son visage contre ma main. Il semblait être en guerre contre lui-même.
- Tu en vaux la peine, Maxx. Il faut que tu l'apprennes et que tu le croies, dis-je.
Maxx captura ma main, ouvrit les yeux et me regarda intensément.
- Sache que si tu décides de t'impliquer avec moi, je ne serai jamais capable de te laisser partir. Jamais.
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- Mon dieu, donnez-moi la force..., marmonnai-je (...)
C'est alors que la voix grave de Beckett s'éleva dans mon dos.
- Dieu est assez occupé, mais moi je peux te donner un coup de main.
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Je me sentais seule, même quand je ne l'étais pas. Personne ne devait savoir que mon coeur se donnait, doucement mais sûrement, à un homme qui allait - je le craignais - le détruire.
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Avant de quitter l'établissement, je dus faire un détour par les toilettes pour nettoyer grossièrement mon pull victime de l'Apocafélypse.
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Sierra était en train de saccager l'appartement en beuglant des insultes comme si c'était elle la victime dans l'histoire, alors qu'en fait elle me trompait depuis des mois. Le comble !
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