Nous devons être ceux qui affirment qu’il n’y a civilisation qu’à partir du moment où est pris en considération l’homme dans sa valeur d’homme. Et non pas dans sa qualité de puissance, et non pas en partant du nombre de galons qu’il a, du nombre de ses diplômes, de la quantité d’argent et des richesses qu’il possède. Une civilisation se définit finalement par la considération qu’elle accorde à l’homme en tant qu’homme.