Myeong-cheol avait envie de pleurer tout son soul et de tambouriner sur le sol. Mais il ne pouvait pas se laisser aller de la sorte car, parfois, les sanglots étaient considérés comme une rébellion et pouvaient vous valoir la mort. Voilà dans quel monde il vivait. La loi exigeait du peuple qu'il rie malgré ses souffrances et qu'il avale malgré l’amertume. Myeong-cheol marcha, le corps et l'âme écrasés par le désespoir et l'injustice qu'infligeait ce pouvoir absolu face auquel il était impuissant.