Béroul précise que cette chasuble existe vraiment : des gens l’ont vue et leur témoignage mérite d’être considéré. « On dit que », « on raconte que », « je l’ai entendu dire » : à chaque fois, le conteur mentionne un témoignage oral qu’il serait parfaitement déplacé de mettre en doute. Il trouve dans l’anonymat de la rumeur légendaire une caution indiscutable pour son récit.