Pendant plusieurs semaines, le fort de Fréfossé devint un lieu de pèlerinage. La troupe maintenait difficilement les curieux à distance, cependant que se répandaient les bruits les plus absurdes. N’allait-on pas jusqu’à murmurer qu’une partie des tableaux les plus célèbres des musées nationaux étaient des faux et que les toiles authentiques étaient rassemblées là, derrière les murailles de l’Aiguille. Des photographies avaient reproduit l’inscription que Lupin avait tracée à la craie rouge sur la paroi de la plus haute salle :