Crinière de jais et cheveux se mêlèrent dans une vague ondulante et gracieuse.
À cette heure matinale, pas de téléphone, pas d’ex-femme. Ni même de touristes à la peau blafarde en ce début d’été. Le cavalier affectionnait ces rares moments de liberté totale, juste son cheval et lui, en complète osmose avec le paysage.