La vieille femme courbée tel un frêle roseau,
Déploya ses maigres bras pour étreindre son fils.
Okko, sabre à la main, vide de toute compassion et de tout honneur,
offrit à sa mère le baiser macabre d'un fils indigne.
Celui-ci avait le gout de l'acier,
celui-ci avait le gout du sang.