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Critiques de Nojo (8)
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Shikabana, tome 1

Quand j’ai vu la note de manga sur Livraddict, je dois avouer que j’ai eu un peu peur de me lancer dans la lecture de ce premier tome. En vérité c’est si rare de tomber sur une mauvaise note sur ce site que du coup quand c’est le cas généralement c’est justifier.. alors bon, je vous avoue que j’ai lu ce premier tome avec une grosse appréhension au départ. Puis ça s’est vite dissiper en fait. Et finalement je comprends pas trop cette note. Alors c’est sûr ce n’est pas le manga de l’année qui révolutionne le Seinen mais au final il est plutôt très bon ce premier tome!



Dans Shikabana on va suivre le personnage de Tsuyu, un jeune étudiant. Un jour il perd sa petite amie dans un accident de voiture. Elle s’est fait renversé par un camion et est décédé. Cette perte le plonge dans le désespoir le plus profond.. Mais il finit par découvrir une lettre de Mizore. Une lettre pour le moins étrange. En effet elle lui demande de ne pas l’incinérer et de garder son corps, de veiller sur ce dernier jusqu’à ce qu’un miracle se produise.. Après multiples interrogation, il finit pas accepter cette requête assez atypique. Jusqu’au moment où le miracle se produit et qu’il se retrouve avec une Mizore particulière devant lui..



L’intrigue est vraiment prenante et intrigante. Je suis ressortie de cette lecture avec tout un tas d’interrogation. J’ai tout un tas de questions dans ma tête et je vais me lancer dans la lecture du second tome immédiatement après avoir fini cette chronique. J’espère que l’on aura les réponses dans le second opus. L’univers, tout comme l’intrigue, est vraiment prenant. On se retrouve dans un monde où des sortes de zombies que l’on appelle « Kuroe ». On part du principe qu’un oeuf est déposé dans un humain et a force il finit par éclore et devient le monstre à abattre. C’est vraiment hyper intéressant je trouve. Mais il y a aussi les « Mort errant », des personnes qui sont vivants malgré avoir été infecté par un Kuroe.



Le personnage de Tsuyu m’a beaucoup plu. Lorsque l’on voit son passé, il fait vraiment beaucoup de peine. Il n’a vraiment pas eu une vie facile, vraiment pas, jusqu’au jour où il tombe par hasard sur Mizore qui va littéralement le sauver. J’aime bien sa mentalité, il est tellement attaché à Mizore et en même temps ça se comprend parfaitement. Par contre le personnage de Sanae m’intrigue beaucoup. J’ai vraiment du mal à la cerner et au final je ne sais pas quoi penser d’elle. Pas du tout même. C’est vraiment bizarre. Par moment j’ai l’impression qu’iss’agit d’une « gentille » et deux secondes après j’ai l’impression qu’elle joue sur deux tableaux.. Hâte d’en apprendre plus sur elle.



Ce premier tome m’a vraiment donné envie de découvrir la suite. C’est vraiment intriguant et ça donne envie de se plonger dans la série, surtout pour avoir des réponses à nos questions. D’ailleurs je m’en vais de ce pas lire le second opus!
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Shikabana, tome 1

Shikabana - Fleur de cadavre, un joli titre qui fleure bon le spleen baudelairien et le glauque. Shikabana est une courte série issue de la collection seinen de chez Glénat qui sera composé de trois tomes, une série horrifique qui ravira un public friand de Tokyo Ghoul ou divers titres glauques avec une pointe de romantisme à la clé.



Personnellement, j'ai plutôt adhéré à ce premier tome qui m'a fait passer un bon petit moment de lecture. On peut résumer ce premier volume sur deux parties : une première partie plutôt centrée sur du hui-clos horrifique légèrement ventilé par de l'humour noir et une seconde partie un peu plus riche en révélation qui oriente le manga vers un titre un plus porté sur l'action/horreur. Ce qui dénote un peu dans ce titre, c'est l'importance qui est accordée à la relation entre les deux protagonistes principaux, cette "romance" qui est au cœur de l'intrigue. Ce titre fait d'ailleurs forcément penser à la quête de Tanjiro dans Demon Slayer, une quête muée par un objectif personnel qui finit par rejoindre le bien commun. Shikabana se cale un peu dans cette même intrigue avec une accentuation sur l'horreur.



Nous sommes plutôt bien servis dans le style gore avec quelques larges planches bien "zombiesques" ou encore avec les passages portés sur l'éclosion façon The Thing. Mais l'intrigue nous entraine loin des sentiers claustrophobes de la pure horreur. Ce premier volume nous entraîne déjà dans un background plus étoffé dans lequel on devine la future lutte entre deux factions. Dans le genre purement horrifique, Shikabana n'est donc pas la meilleure référence en terme de frisson : les passages un peu gore et effrayants laissent rapidement la place à une intrigue plus convenue autour de la figure du monstre-humain comme on peut le relever chez Tokyo Ghoul, Jagaan, Kaijin Reijoh, etc...



Pour autant, on ne boude pas notre plaisir. Nous pouvons souligner les qualités de traduction de l'incontournable Djamel Rabahi. Nous ne le soulignons jamais assez mais un bon manga ne serait rien sans un bon traducteur et le travail de Mr. Rabahi est parfaitement exemplaire. Il traduit le naturel chez ses personnages avec une remarquable sincérité et une bonne loyauté ( je suppose) envers la version originale. J'ai particulièrement aimé les dialogues de Shikabana qui rendent authentique et tragique la relation du couple formé par Tsuyu et Mizore. En mettant l'accent sur les émotions, sur l'affect des personnages, Shikabana marque un bon point. Ce n'est jamais lourd , le héros est tellement attaché à sa copine qu'il semble limite rongé par la folie. J'ai trouvé cette perspective plutôt réussi et j'ai hâte de voir comment les auteurs vont développer et conclure cette très courte série. En trois tomes, il est probable que Shikabana tire sa petite épingle du jeu.



Côté dessin, Kei Mori s'en sort bien, notamment dans les passages horrifiques où il prend un certain plaisir à faire "sourire" ces personnages. Après, on peut relever quelques traits un peu maladroits (les cous démesurément longs de certains protagonistes :) ) mais rien de vraiment choquant. Nous restons dans une petite ambiance urbano-horrifique qui se laisse dévorer sans fadeur mais sans grande saveur non plus. Le résultat demeure tout à fait correct et nous n'en attendons pas moins d'un titre de genre.



Ce premier volume de Shikabana n'est pas une promesse de frisson frénétique enfiévré mais il n'en demeure pas moins le préambule efficace et attachant d'une courte série seinen dans la lignée de certains titres horrifiques portés sur l'action et les héros tourmentés. Mention spéciale à la traduction de qualité qui, bien évidemment, donne du cœur à l'ouvrage.

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Shikabana, tome 2

J’ai trouvé ce second tome encore mieux que le premier. On rentre un peu plus dans le vif du sujet, on a de l’action quand il faut, des révélations etc. Ce tome a vraiment aiguisé ma curiosité et j’ai hâte de lire la suite en tout cas!



Dans ce second opus, on retrouve donc Tsuyu. Il essaye toujours de retrouver sa petite amie Mizore. Il va intégrer la section 4 de Kyoto. Il doit jouer l’espion pour Sanae et en même temps faire son travail pour la section 4. Il se voit faire mission avec Soufflée, une mort errante. Ensemble ils doivent enquêter dans l’arrondissement de Fushimi. Soufflée va donc en profiter pour apprendre plusieurs choses à Tsuyu et parfaire son apprentissage. Mais il vont tomber sur un kuroe avec qui ils vont finir par se battre..



J’ai beaucoup aimé découvrir de nouveaux personnages, surtout celui de Kanaya un kuroe. Malgré qu’il soit du « mauvais côté » j’ai beaucoup apprécier le découvrir. Je trouve qu’i la quelque chose de touchant, comme si au final il était obligé de faire tout ce qu’il fait. C’est vraiment un personnage qui me plait. J’espère que l’on verra encore un bon moment. J’ai également beaucoup aimé le personnage de Soufflée. Elle est tellement drôle et surtout elle est out le temps dynamique et joyeuse. C’est une vraie bouffée d’air frais. Surtout dans un monde où les Kuroe sont là. C’est vraiment un personnage très plaisant.



Dans ce deuxième tome, l’action est bien présente. Surtout à la fin avec le combat. Les illustrations sont vraiment parfaitement bien faites ce qui nous offre un combat vraiment épique. De plus, on apprend plusieurs choses ici. On découvre plus en profondeurs le monde des Kuroe, on découvre également la section 4 en détail. Pas mal de révélations et pas mal d’actions également.



En bref, ce second tome est une vraie réussite pour moi et ça me donne vraiment envie de découvrir la suite. Il a clairement attisé ma curiosité et les Kuroe sont vraiment hyper intriguant. Plus qu’à attendre la sortie du troisième tome maintenant!
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Shikabana, tome 2

Après un début prometteur qui vendait du rêve et surtout une ambiance folle qui collait parfaitement à sa date de sortie pendant la période de Halloween, j'ai été refroidie par ce second tome. Brouillon, voir incompréhensible, l'intrigue est totalement décousue, au point qu'on se demande s'il n'y a pas eu une erreur d'impression dans l'ordre des pages... et non, c'est bien le choix de Kei Monri dans la découpe du manga.

Tsuyu commence enfin à s'habituer à sa nouvelle nature de mort-errant et la morte figure qui l'accompagne. Grâce à Akago, il comprend peu à peu la nature des kuroes et son rôle dans tout cela, même son introduction dans la 4e section de police (qui n'est pas sans rappeler Psycho-pass). Soufflée est la nouvelle coéquipière de Tsuyu, une adolescente joyeuse et pleine de vie, le contraire même des autres mort-errant. Le flash-back sur son passé explique comment elle en est arrivée là et c'est le début de la fin pour Shikabana. On ne sait plus qui est qui, gentil ou méchant, présent ou passé, même les actions de combat deviennent totalement incompréhensibles.

Yumi et Kanaya sont deux nouveaux kuroes qui apparaissent, ennemis de Tsuyu et Soufflée, et surtout nouveaux narrateurs de l'histoire. Il y a un parallèle entre ce couple et celui de Tsuyu et Mizore, l'importance de l'amour devient prédominant. Tout tourne autour de ce concept qui ferait qu'un être humain est humain, les kuroes souhaitent se l'accaparer et le couple Yumi-Kanaya illustre parfaitement cette volonté.

Même si on apprend énormément de choses dans ce second opus, c'est un peu indigeste et parfois mal amené, un peu comme si on avait dit au mangaka en plein milieu qu'il ne lui reste que tant nombre de pages pour finir Shikabana. C'est probablement le cas d'ailleurs puisqu'il ne reste qu'un seul tome et je suis totalement perdue, je ne sais absolument pas à quoi m'attendre pour la conclusion, mais cela m'intrigue tout de même de voir comment Kei Monri peut gérer tout cela.
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Shikabana, tome 1

Je ne pensais pas aussi bien accrocher au vue de l'histoire et du graphisme qui me changent de ce que je lis habituellement.

La trame de l'histoire a un grand potentiel, les graphismes sont un peu gores mais ils restent très agréables à regarder.



Ce manga me fait un peu penser au manga Spirits Seekers de Onigunsou dans le sens où le kuroe à une entité mère et dans Spirits Seekers les esprits ont un objet mère.



Hâte de lire la série qui se termine en 3 tomes seulement.
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Shikabana, tome 1

Shikabana - Fleur de cadavre est un titre assez intéressant proposé par les éditions Glénat et il est important de retenir le nom de la maison d'édition française, parce que c'est totalement logique au vu des deux plus grandes inspirations de Nojo et Kei Monri pour la création de ce titre fini en 3 tomes. Après avoir lu quelques pages, le chara design va immédiatement vous rappeler celui de D-Gray Man, alors que pour l'intrigue c'est clairement Tokyo Ghoul qui est copié. Il y a aussi un petit quelque chose à la Batman avec un parallèle certain à faire entre Tsuyu et Harvey Dent aka Double Face. Est-ce que ce mélange fonctionne ? Pour le moment, on va dire que oui.

Tsuyu est un étudiant de 19 ans, fou amoureux de sa petite amie Mizore, qui lui a sauvé la vie quelques années auparavant. Mais cette dernière refuse de l'épouser parce qu'il n'a aucun but dans la vie, aucune raison de vivre à proprement parler. Tout va changer lorsque cette dernière va décéder et revenir sous l'apparence d'un zombie. Tsuyu va ouvrir les yeux, se rendre compte de ce qui compte réellement et quel est son avenir, mais une tragédie de plus va lui tomber dessus.

Les personnages de Tsuyu et Mizore semblent mignon à première vu, drôles, pleins de vie et insouciants. Pourtant il cachent tous les deux un sombre passé, des choses qu'ils n'arrivent pas à dire facilement, même à l'autre. Cette ambiance sombre est présente partout, de part les dessins et l'intrigue de la série. Un parasite transforme les gens en zombie et tue tout ce qu'il peut trouver pour s'agrandir. Les hommes qui les combattent sont tout aussi dangereux et dépourvus de scrupules, on en vient presque à se demander qui sont les gentils et les méchants...

Je trouve que Shikabana est parfait pour se mettre dans l'ambiance de Halloween, une petite frayeur bien dosée et une histoire complexe qui pourrait bien nous retourner le cerveau, juste à espère que ça ne nous l'explosera pas en chemin.
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Shikabana, tome 1

Dès le premier chapitre, malgré l'apparente trivialité de cette histoire de jeune couple, il se dégage un parfum de romantisme funeste. On suit la relation entre deux étudiants, Tsuyu et Mizore, à travers leur perception mais aussi selon l'opinion de leurs amis communs. Dans les confessions et les non-dits de l'intimité, chacun exprime ses attentes à sa façon. Et si le passé brutal de Tsuyu est délivré au lecteur, celui de Mizore est plus mystérieux.



La tragédie qui frappe nos amoureux, dépeinte à travers la révolte émotionnelle du survivant, interpelle le lecteur sans pour autant oublier de proposer un récit surnaturel. La première force de Shikabana est de mêler le réalisme de la dramaturgie et la construction d'une ambiance de Fantasy urbaine Japonaise. Car, très rapidement, Tsuyu va être transformé et découvrir que l'humain n'est pas la seule entité de chair et d'esprit qui vit à Kyoto.



C'est là que le récit bascule en terrain connu pour les habitués. Un comble pour une histoire teintée de fantastique ! En effet, à l'apparition de figures archétypales, à savoir un exterminateur vétéran semi-monstrueux et une supérieure hiérarchique mi-cynique mi-roublarde, le sentiment d'avoir affaire à un énième récit de « Monstres contre Chasseurs » peut éclore.

Néanmoins, Shikabana conserve son charme particulier. le parfum de romantisme macabre, combinée à quelques confrontations désespérément brutales, continue de susciter l'intérêt. le dessin expose les alliances contradictoires : les chairs inhumaines altèrent les apparences, créant des frontières au sein même des corps, sans pour autant sombrer dans le définitivement repoussant. Même si la mise en place de la nouvelle situation de Tsuyu s'amorce de façon un peu trop prévisible, certains choix du héros augurent d'intéressantes intrigues pour la suite.



Doit-on laisser sa chance à Shikabana dès ce premier tome ? Oui, car la concurrence grand public table sur le long terme. En fait, s'il est possible d'attendre la parution de la trilogie complète pour avoir un retour définitif, ce début à suffisamment de charme pour faire sa place dans le créneau encore trop mésestimé des mangas courts et efficaces.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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Shikabana, tome 1

A Kyoto, Tsuyu Shitoyagawa est un jeune homme que la vie n'a pas épargné. Orphelin, il s'est retrouvé dans une nouvelle "famille" où les violences étaient monnaie courante. Pour sauver sa vie, il s'est enfui, observant les badauds et se demandant pourquoi lui n'avait pas droit au bonheur. C'est à ce moment-là, lorsqu'il était le plus perdu et désespéré, qu'est apparue Mizore. La belle et douce Mizore, si prévenante et attentionnée, avec qui Tsuyu goûte à présent un quotidien heureux et sans soucis.



Mais un jour, Mizore meurt. Et Tsuyu s'effondre.



Pourtant... un "miracle" n'est-il pas sur le point de se produire ?



Voilà pour le résumé. Intriguant, non ? D'autant plus lorsque l'on se penche avec des frissons de plaisir et d'angoisse sur la magnifique couverture de ce manga de Nojo et Kei Monri, paru aux éditions Glénat. Ce premier tome de "Shikabana, fleur de cadavre" pose les bases d'un univers horrifique particulièrement prenant ! Les graphismes sont ciselés et collent tout à fait à l'ambiance, avec des doubles pages à la violence graphique qui donne comme des coups de poing à la fois dans nos mirettes et dans notre esprit (attention aux âmes sensibles !).



S'annonce alors une enquête, ou, pour être plus juste, une traque surnaturelle de créatures sans pitié qui se fondent dans la masse humaine sans que quiconque ou presque ne le sache. Tsuyu, marqué par les épreuves, dévasté par le chagrin et désormais aux prises avec ses propres démons, est un personnage que j'ai trouvé très touchant et réaliste dans sa manière de penser. Ici, pas de dichotomie, pas de méchants contre les gentils, mais une lutte pour la survie entre deux camps ancestraux, dont les frontières ne sont pas si tranchées que cela. Des indices semés ici et là titillent notre intérêt, et nous poussent à vouloir poursuivre cette enquête, coûte que coûte !



Décidément, les éditions Glénat ont le chic pour trouver de véritables pépites (par exemple, dans un tout autre style, "Centaures", de Ryo Sumiyoshi), et "Shikabana" en fait partie ! J'ai hâte de découvrir la suite, mais j'en tremble aussi d'avance !
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