Je devrais juste avoir les chocottes. Pas une peur agréable, semblable à celle que l’on ressent avant d’entrer dans le Phantom Manor ou Space Mountain. Là où on rit de ses propres frayeurs. Non, une trouille du genre « Prends tes jambes à ton cou, petite imprudente ! » Mes neurones confondent : ce n’est pas Disneyland Paris aux bras du prince Naveen, mais du sexe bestial, brutal et brûlant avec un Dominant qui se dit lui - même ouvert d’esprit.