Un texte cours qui transforme l’amour en alchimie de sa prose poétique. Une merveilleuse métaphore en continu. Ce n’est pas un écrit, c’est un orbe (four d’alchimiste qui, par la fusion devrait transformer la matière en or). C’est une ode à l’amour originel, celui qui est le père du désir, de la sensualité, suave et lyrique. Magnifiquement par un anonyme de talent.
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Une bande de joyeux drilles festoient le jour du passage à l'an 2000. L'un d'eux, archéologue, explique que suite à une erreur de calcul, on confond l'an un et l'an zéro. Il prédit que l'humanité n'atteindra jamais le troisième millénaire. Sur ces paroles de fin du monde annoncée, les fêtards s'abreuvent et s'envoient gaiement en l'air.
Un texte vraiment court mais d'une écriture soutenue, au vocabulaire riche et d'une rare profondeur. L'auteur est anonyme, quel dommage car celui qui a commis ces quelques pages mériterait d'être découvert(e). Vraiment intense mais cela peut être dû à ce que le texte soit si court.
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Ce livre se présente comme un scénario de film ou plutôt comme l'ébauche d'un scénario. Il décrit une parodie d'une histoire du célèbre vampire renommé ici conte Encula. le rythme est rapide, le texte est ponctué de didascalies. le scénario est complètement déjanté. C'est vraiment drôle même si l'humour ne décolle pas souvent plus haut que la ceinture. À lire juste pour passer dix minutes à sourire, sans plus. Heureusement, c'est gratuit car je doute que ce récit vaut une dépense, même de quelques cents d'Euro.
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