Elle saisit sa proie avec ses solides mandibules.
Puis elle aspire l'intérieur du puceron, qui se vide comme un ballon. Slurpp !
La coccinelle mange jusqu'à cent pucerons pars jour au printemps.
L'été, elle se nourrit de chenilles, de nectar ou de spores de champignons.
Dans le désert
C’est l’été. Il fait chaud dans le désert rouge. Pas à pas, une dizaine de chevaux sauvages cherchent les rares brins d'herbes qui ont poussé sur cette terre sèche.
Soudain, l'étalon entend un craquement. Il lève la tête et dresse les oreilles. Fausse alerte ! C'est juste un chien de prairie qui s'enfuit.
(p. 7)
La chenille de la queue fourchue a vraiment une drôle d'allure. Ses ennemis ne savent pas où est sa tête et où est sa queue. C'est une ruse ! (p. 27)
Bientôt, le mugissement d'un grand mâle se fait entendre. Il se rapproche. Il aboie, couine et rugit. Devant la femelle en chaleur, il claque les mâchoires et envoie des baisers bruyants.
Il reste environ 1600 pandas en liberté. C'est peu pour sauver une espèce!
La Terre porte bien mal son nom, car 71% de sa surface est recouverte par les mers et les océans, qui communiquent tous entre eux. Les 6 continents ne sont que des iles dans l'immensité des océans.
Miracle !
Pendant très longtemps, la chrysalide ne bouge plus du tout. On dirait qu'elle est morte, car elle ne mange même pas.
Pourtant, elle respire très lentement et vit sur ses réserves… À l'intérieur, une nouvelle naissance se prépare. Et puis un jour, ô miracle ! un beau papillon tout neuf jaillit de l'enveloppe, qui le retient. Libérant ses ailes encore fripées, il se sèche, puis s'envole...
Comme elles se regroupent en hiver, près des croix des calvaires, on a associé les coccinelles à la religion. C'est ainsi qu'elles sont devenues des porte-bonheur que l'on reproduit sous forme de broches ou de pendentifs.
Le papillon s'accroche avec ses pattes griffues. Sur l'aile du papillon, il y a de minuscules écailles colorées, disposées comme les tuiles d'un toit. (p. 9)
Quand on laboure trop profondément la terre avec une charrue, on blesse les vers de terre. Et quand on la retourne complètement avec une bêche, les vers mettent longtemps à reprendre leur activité normale. Mieux vaut utiliser un outil plus doux, comme « la grelinette », qui aère sans tout chambouler.