Tous ces morts, toutes ces villes détruites. Plus de ponts, plus de trains, plus de charbon, plus de lumière, plus de liaisons postales, les industries mortes, les familles sans nouvelles, - nous n’avons pas connu cela pendant l’occupation. Et pourtant, c’est dans le demi bien-être d’alors que nous souffrions, et c’est dans le dénuement d’aujourd’hui que nous avons cessé de souffrir.