Les hallucinations imposées à son système nerveux par son subconscient devaient être combattues.
Comme d'habitude, cela marcha. Comme l'eau ruisselle d'un vase renversé, les doutes et les craintes s'écoulèrent. Le poids des fausses tristesses, fausses parce qu'elles avaient été visiblement imposées à son esprit dans l'intérêt de quelqu'un d'autre, s'annula. Il était libéré.
(ed. poche, p. 17)