L’homme peut-il s’enfuir
Du domaine de son Seigneur ?
S’échapper de Sa terre et de Son ciel ?
Les os sont-ils rien d’autre
Que frondaison des branches ?
La sève est-elle autre
Que sang fraîchement versé ?
Comment passer une heure dans la joie,
Sachant que la mort est mon créancier ? (p. 24)