[...] ignorant qu'elle avait elle-même une de ces âmes bonnes, simples et grandes qui sans y manquer font le bien comme l'eau descend des pentes ; sans doute supposait-elle que c'était là un bien commun qu'elle partageait avec tous les hommes.
[Adalbert STIFTER, "Der Hagestolz" / "L'homme sans postérité" ou "Le vieux garçon", 1844 — traduit de l'allemand (Autriche) par Georges-Arthur Goldschmidt, 1975, éditions Phébus (Paris), coll. "libretto", page 144]