Pour Maciek Berbeka c'est le concept de "l'autre côté du miroir". Si l'on ne vit pas de situations extrêmes, si l'on n'a pas l'occasion de voir à quel point la vie est fragile, on ne peut pas l'apprécier à sa juste valeur. La proximité avec la mort nous pousse à aimer la vie davantage. On s'allonge dans l'herbe avec une fille, un verre de vin à la main, et l'émerveillement est entier. Le vrai sens de ma vie n'est pas de gravir des 8000, mais dans le bonheur de ce qui m'attend au retour.