Nationalité : Allemagne
Né(e) à : Hambourg , le 07/05/1821
Mort(e) à : Vienne, Autriche , le 12/02/1886
Né(e) à : Hambourg , le 07/05/1821
Mort(e) à : Vienne, Autriche , le 12/02/1886
Biographie :
Adolf Schirmer est un écrivain, dramaturge, librettiste et compositeur.
Il a fait ses études à l'Université de Berlin, à Göttingen et à Leipzig. En 1842, il commence une carrière d'acteur au Hoftheater à Schwerin mais a dû renoncer pour des raisons de santé.
Il a vécu à Paris, en Italie, en Suisse, en Amérique du Nord et en Amérique centrale avant de s'installer à Vienne en 1854.
Son opérette "Die Jagd des Regenten" a été présentée au Harmonietheater à Vienne en 1860.
Il est auteur de nombreux ouvrages notamment:
1861 : Düt und dat : Riemels
1862 : Ein Familiendämon
1873 : Der Waldmensch. Roman aus dem Salzkammergute
1874 : Die Rosen-Prinzessin : Roman
1887 : Le ménétrier de la république, épisode de la vie de Cherubini. Traduction fr : J de Rochay.
+ Voir plusAdolf Schirmer est un écrivain, dramaturge, librettiste et compositeur.
Il a fait ses études à l'Université de Berlin, à Göttingen et à Leipzig. En 1842, il commence une carrière d'acteur au Hoftheater à Schwerin mais a dû renoncer pour des raisons de santé.
Il a vécu à Paris, en Italie, en Suisse, en Amérique du Nord et en Amérique centrale avant de s'installer à Vienne en 1854.
Son opérette "Die Jagd des Regenten" a été présentée au Harmonietheater à Vienne en 1860.
Il est auteur de nombreux ouvrages notamment:
1861 : Düt und dat : Riemels
1862 : Ein Familiendämon
1873 : Der Waldmensch. Roman aus dem Salzkammergute
1874 : Die Rosen-Prinzessin : Roman
1887 : Le ménétrier de la république, épisode de la vie de Cherubini. Traduction fr : J de Rochay.
Source : worldcat.org; http://www.biographien.ac.at/oebl/oebl_S/Schirmer_Adolf_1821_1886.xml
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Citations et extraits (3)
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Le compositeur rencontrait à chaque pas des gens à la mine effrayante, dont l'armement très primitif, les sordides aillons, les bonnets phrygiens inspiraient la terreur et le dégoût. Des femmes ivres, d'atroces mégères, des hommes sortis de la lie du peuple, de petits bourgeois ou boutiquiers mal vêtus, hâves, suant la misère, le vice, la haine… ; des drôles envoyés par la banlieue, des fainéants des boulevards …
La soirée du 9 août 1792 était magnifique. La lune brillait dans un ciel pur, envoyant ses fantastiques reflets sur les tours, les clochers, les toitures du labyrinthe d'églises, de palais, d'hôtels, de maisons, qui constituaient le Paris du siècle dernier.
Les Français se montrent légers dans l'excès même de leur bravoure ;
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