Poirot et moi étions assis face à la cheminée, les jambes étendues devant les flammes dansantes. Entre nous se trouvait une petite table sur laquelle étaient posés, de mon côté, un grog bien chaud et, du côté de Poirot, une tasse de chocolat épais et sirupeux que je n'aurais pas bu pour un empire ! Poirot avala une gorgée de ce breuvage écœurant et reposa la tasse en porcelaine rose avec un soupir d'aise.
— Que la vie est belle ! murmura-t-il.