Les lecteurs adorent les poisons indécelables, les inspecteurs de police stupides, les filles attachées dans des caves pleines de gaz méphitique, ou se remplissant d’eau – manière bien mal commode de tuer quelqu’un en réalité – et le héros qui vient tout seul à bout de trois à sept méchants. J’ai écrit jusqu’à présent trente-deux romans tous identiques en réalité, comme M. Poirot paraît être le seul à l’avoir remarqué, mais mon unique regret, c’est d’avoir fait de mon détective un Finlandais.