Citation de fanfanouche24
La puissance tragique de ta personnalité. C'est ce qu'il dit. Mon éditeur. (...)
A la vérité, je suis un horrible travailleur.
Parfois, souvent, je suis affaissé.
Le rêve de Nerval, l'évasion de Baudelaire. L'écrasement de Samuel Cramer.
Aujourd'hui, mon corps réclame de la marche, mon oreille du silence, mes nerfs de la solitude. Mais ça ne durera pas Ca ne dure jamais. L'effet balançoire.(....)
C'est comme ça que je suis. (...) Je cherche le centre de gravité. Là où l'on ne penche plus. Le point d'où, sans tomber, on peut regarder dans toutes les directions.
L'éditeur croit que c'est le déséquilibre qui crée. Je pense qu'il se trompe, qu'il affabule. Qu'il prend sa part dans l'entretien d'un vieux cliché. (p. 57)
A la vérité, je suis un horrible travailleur.
Parfois, souvent, je suis affaissé.
Le rêve de Nerval, l'évasion de Baudelaire. L'écrasement de Samuel Cramer.
Aujourd'hui, mon corps réclame de la marche, mon oreille du silence, mes nerfs de la solitude. Mais ça ne durera pas Ca ne dure jamais. L'effet balançoire.(....)
C'est comme ça que je suis. (...) Je cherche le centre de gravité. Là où l'on ne penche plus. Le point d'où, sans tomber, on peut regarder dans toutes les directions.
L'éditeur croit que c'est le déséquilibre qui crée. Je pense qu'il se trompe, qu'il affabule. Qu'il prend sa part dans l'entretien d'un vieux cliché. (p. 57)
