Encore un magnifique album dessiné par Agnese Baruzzi qui permet de redécouvrir l'histoire d'Aladin (pas dans sa version Disney..) qui met en garde contre la convoitise des biens d'autrui et la recherche de biens matériels comme unique but de vie.
Le travail minutieux des découpages "en dentelle" fait vivre l'histoire avec toute la magie et le charme qui la caractérise.
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Il faut absolument lire ce classique du genre! Ce roman est à la base de presque toute la littérature (et même du cinéma) de vampires. L'histoire très romantique de Vlad Dracula est à la fois angoissante, mystérieuse, fascinante et terriblement intéressante pour qui s'intéresse à l'histoire de la littérature fantastique.
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Un très bel album, des illustrations colorées et des pages "plastifiées" parfaites pour les petites mains :)
Ici, on joue à se faire peur...puisque derrière chaque serrure, semble se cacher un monstre effrayant. Mais les apparences sont trompeuses :)
Sur la page de gauche, il faut retrouver la clé qui ouvre la serrure, pas si facile, même pour l'adulte que je suis. D'ailleurs, sur l'une des pages, j'ai pensé l'avoir trouvé, et en regardant les solutions, je me suis aperçue que je m'étais trompée ! La page de gauche comprend de nombreux indices sur ce qui se cache derrière la porte ! Il faut ouvrir l'oeil !
Mon seul bémol, est que les clés sont peut être difficile à trouver pour un petit enfant.
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Dans les albums jeunesse pour aborder la propreté avec les petits, celui-ci est vraiment attractif. Par un système de languettes, chaque animal va faire ses besoins là où il doit ou là où il veut.
On chemine, de pauses urgentes en pauses urgentes, jusqu'à l'endroit où l'enfant doit faire sa grosse commission.
C'est peps, coloré, amusant et le message passe tout seul.
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Un cartonné pour les petits peu habituel.
Sur des pages bien épaisses, très colorées, il y a des dessins bien innocents. Lorsque l'on retourne le cache, du bas vers le haut - ou le contraire, cela dépent des pages - l'objet qui apparait est bien différent. De banal on découvre des personnages, animaux et objet divers. Pourtant c'est annoncé : monstres. Certains en sont, d'autres noms. Un robot ? Ce n'est pas un monstre... ni une soucoupe volante, ni...
Enfin bref c'est plutôt cache-cache peur... Car pour les petits lecteurs c'est sensé leur donner quelques sueurs froides. Je parierais presque que le loup oui... cela va les effrayer.Pour le reste ils 'en amuseront plutôt. Et heureusement...
Un album original par le concept, à voir dans le temps si les caches qui pivotent sont solides.
,L'accroche de la première page amène un léger suspens pour effrayer. Alors pour quel âge? Pas facile à dire.
"Mais je suis un crâne qui fait peur"
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J'aime beaucoup quand les maisons d'éditions et les auteurs pensent à tout :) La rondeur des coins pour ne pas blesser les petits. Le style de l'ouvrage pour améliorer leurs capacités de préhension. J'ai toujours connu les pop-up, j'adore ça, le fait de découvrir, tirer, tripatouiller, tourner et avoir ce côté surprenant éblouit toujours les petits et les grands ! Ainsi, en librairie, je suis allée voir au rayon des petits, ce qu'il y avait de nouveau et je suis tombée sur ça. Ce livre qui emploie les faiblesses d'un pop-up. Car oui, tirer, tripatouiller, ça abîme et "Quelle frayeur!" a la chance de ne donner qu'une seule possibilité à l'enfant, tourner et se faire surprendre ! Ici, il faut avoir peur alors sorcière, hibou et fantôme sont de sortie !
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Même principe que "Quelle frayeur" de la même auteure. Joli petit air de campagne avec cet ouvrage carré mais à coins arrondis pour ne pas blesser les petits. Très bonne découverte pour cette nouvelle génération d'ouvrage 'pop-up' !
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Si les illustrations ne sont pas à mon goût, j'ai en revanche apprécié le concept de l'album. Les deux trous présents dans chaque page permettent de glisser deux doigts afin d'imiter le mouvement des jambes des personnages. Si l'album est entre les mains de l'adulte, l'idéal est que ses doigts imitent le plus possible le mouvement que ferait les jambes. Si l'album est entre les mains de l'enfant, à lui de se l'approprier comme il l'entend ! Dommage que le graphisme soit aussi "lisse".
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Frankenstein, un autre classique monstre.
Un autre titre Fantastique adulte récupéré par le folklore jeunesse, pour les fêtes d'Halloween, on ne voit pas Dracula sans son pote Frankenstein. C'est une autre incarnation sympathique de l'horreur avec son loup garou, sa momie et sa sorcière.
Nous avons souvent fait la confusion entre l'homme et la "bête", avant de se plonger dans l'histoire de la créature. Il était pour les conversations plus simples, semble t-il, de nommer la chose par le nom de son inventeur. Frankenstein n'est pas le monstre mais son créateur.
Quoi que.
Qui de l'un ou de l'autre est le vrai monstre?
C'est une part de la réflexion soumise par l'auteure, quel esprit sain pourrait avoir envie de jouer avec des cadavres?
Le roman n'est en réalité pas du tout pour les enfants dans l'état d'origine, sauf avec des versions adaptées comme celle d'Agnes Baruzzi.
Avec l'auteure du roman Mary Shelley, nous touchons à des thèmes très audacieux pour l'époque.
Déterrer des cadavres pour l'apprentissage de l'anatomie d'élèves médecins était strictement interdit et considéré comme amoral.
Un tel scénario, même en se contentant de l'imaginer, pouvait se montrer inadapté, encore plus pour une femme au XIXème siècle.
En abordant l'histoire de ce scientifique qui joue à l'apprenti sorcier et aux dieu mortel, Mary Shelley choquera pour l'époque avec son roman fantastique.
Son Victor Frankenstein souhaitera percer le mystère de la vie, défier les lois divines par ses connaissances de la science et c'est ainsi, qu'il s'appropriera des morceaux d'homme pour en créer un nouveau.
Assembler comme un puzzle, notre créature sera animée de l'étincelle de vie mais bien entendu, nous toucherons à un autre aspect de la réflexion philosophique, celle de l'âme.
La créature se sentira perdue, de ne savoir ce qu'elle est, elle se sentira vide de sens et d'émotions.
Cette confusion créera le "monstre" plein de ressentiment que nous connaissons.
Et la version jeunesse de Agnese Baruzzi dans tout ça?
Elle prend des raccourcis et en vient aux faits qui nous intéresse, l'obsession de ce médecin, Victor Frankenstein.
Nous arrivons directement à la table d'opération au réveil de la créature, après que Victor l'ait désiré si fort.
Victor a un complexe divin indéniable, attendant d'être récompensé de ses travaux par une créature complètement soumise.
C'était sans compter avec l'émancipation progressive de la chose qui cherchera sans cesse à comprendre.
Si la version jeunesse de Michel Piquemal chez Albin Michel Jeunesse s'attachera d'avantage aux tourments de la créature, qui delà deviendra mortelle pour elle-même et les autres, cette version-ci de l'editeur WsKids met plutôt en avant le cauchemar psychologique de Victor qui semble payer son audace.
Ici, la créature devient une ombre qui suit Frankenstein, une ironie à son obsession, l'inventeur devient coupable de n'avoir rien révélé de ses expériences à quiconque et il verra son entourage décimé par sa faute.
La créature y est meurtrière, amère et animée d'une froide rancune d'avoir été crée seule.
Une chose pourrait calmer sa colère, que son créateur lui donne de l'amour et imagine une compagne à son image...
Si les circonstances n'étaient pas si épouvantables, cela pourrait être un conte romantique.
La complexité et la dualité des personnages est passionnante pour le public visé.
Enrichi de double-page en découpe, petits théâtre d'ombres chinoises, le livre deviendra un vrai bel objet à conserver.
Un roman ado frissonnant passionnant.
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Avec les livres-jeux, c'est toujours clé en main pour les jeunes lecteurs.
Deux combos ici avec ce titre : le "Cherche et Trouve" et la proposition ludique du "Labyrinthe". Ainsi les enfants auront deux jeux pour le prix d'un, par double pages:
On cherche donc des objets et des personnages (une quête) et suite à cela, on sort du lieu (mais pour cela, il faudra trouver la sortie). Ces deux choses se complèteront et offriront une progression d'aventure tandis que nous ne serons pas sur une histoire.
Nous l'aurons testé pour vous.
L'aventure offrira des décors plaisants et un peu variés, grâce à la couleur, les formes des labyrinthes et les éléments symboliques du Conte et du Moyen-Âge.
Compter et chercher.
Le titre ne trouvera, de toutes évidences, par suffisant d'inviter le jeune lecteur seulement à chercher, il faudra aussi l'inviter à compter et puis compter chaque groupe d'éléments : des moines, des sorcières, des crânes, des grenouilles, des chevaliers, des couronnes, des hallebardes, des chaudrons remplis d'or, des heaumes et des chauves-souris... Combien y en aura t-il et au total, quel nombre nous obtiendrons?
Oui, les choses seront là, à distinguer pour profiter de cet univers de Fantasy et nous serons aussi curieux de savoir si il y en peu ou beaucoup?
C'est une offre un peu répétitives mais qui pourra fonctionner et plaire avec les enfants puisque si ils se sont amusés avec un labyrinthe, ils en redemandront.
Ils pourront se faire plaisir.
C'est à noter.
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Chaque double-page nous permet de découvrir un petit être vivant dans une grande page vide. Puis en dépliant la page, on voit apparaître autre chose... A l'enfant d'imaginer ce qui se trouve derrière chaque page. A travers le jeu, cet album permet de développer l'imaginaire de l'enfant. Humour et illustrations colorées sont au rendez-vous.
Thèmes : dinosaure, transformation, jeu
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Alice en a assez de manger tout le temps la même chose et aimerait bien visiter le monde.
C'est le prétexte à un joli tour du monde, où Alice découvre entre autre un temple japonais, un palais indien, les chutes du Niagara... et découvre à chaque étape que finalement, les boulettes de viande de maman, c'est pas si mauvais, et que la maison c'est pas mal non plus...
Chaque page de ce livre en format italien, propose une belle création en pop-up ressortant bien sur un fond coloré.
Pas le livre de l'année, mais un album intéressant par sa conception et les lieux proposés.
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