Elle avait un aspect féérique. Pas une allée qui ne soit embellie d’un miroir ou d’une fontaine. Les flèches élancées et les vastes coupoles de verre y côtoyaient les grandes avenues et les passerelles audacieuses dans un ensemble gracieux au charme éblouissant. On l’appelait « le miroir de la mer », parce que cette dernière se reflétait à l’infini dans les innombrables baies vitrées qui s’enchaînaient sur les façades des bâtiments.